dimanche, 01 mai 2016
Le fils Debré, Caton à la mie de pain et clown méchant

Publié par Guy Jovelin le 1er mai 2016 Debré s’est appliqué à retoquer tout ce qui transcrivait un peu la volonté populaire et transgressait ainsi le politiquement correct L’un a écrit la Constitution, l’autre s’en est cru le gardien. L’un, patriote maladif, rompit ses serments les plus saints dans l’affaire algérienne ; l’autre ne saurait rien trahir, son seul honneur s’appelle fidélité à Jacques Chirac. L’un était le père, Michel ; Jean-Louis, l’autre, est le fils Debré. Journaliste, j’ai suivi le premier vingt ans après le putsch...