jeudi, 02 mars 2017
LE « SANS FRONTIERISME » OU LA HAINE DE SA CULTURE
Pourtant les mêmes indignés ne bronchent pas lorsqu'ils se retrouvent bloqués par des contrôles à la frontière marocaine, tunisienne ou algérienne après avoir franchi la méditerranée pour venir dépenser leurs économies dans des complexes touristiques et des marchés exotiques venant ainsi enrichir l'économie du pays visité. Les adeptes de la libre circulation sont outrés qu'une partie de la population ukrainienne des Dombas n'ait pas envie de passer un contrôle douanier lorsqu'ils désirent aller dans un pays voisin qui parle la même langue qu'eux et qui faisait jadis partie de leur...