Les cas de très forte désincitation à travailler davantage étaient beaucoup moins fréquents en 2014 qu'à la fin des années 1990, note l'Insee.

Publié par Guy Jovelin le 14 février 2017 Par Guillaume Guichard  Mis à jour le 13/02/2017     Un actif sur deux voit sa hausse de revenu d'activité annulée de moitié par les impôts ou par la baisse de prestations sociales, selon une étude publiée lundi. En France, l'incitation à travailler plus est faible, explique l'Insee dans une étude publiée lundi. La fraction d'une hausse de revenu d'activité mangée par les prélèvements obligatoires (impôts, cotisations sociales...) ou annulée par la baisse ou la perte d'une aide sociale (allocation...

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