mercredi, 02 mai 2018
Si la peine de mort existait pour les violeurs d’enfants, Angélique serait encore vivante

Publié par Guy Jovelin le 02 mai 2018 Combien d’autres petites filles violées et assassinées devrons-nous pleurer avant que la société se pose la question sur le rétablissement de la peine de mort pour les récidivistes ? Combien de jeunes femmes violées et assassinées, par des « monstres », connus des services de police, connus de la justice, tous déjà condamnés et tous remis en liberté… en liberté de récidiver, de violer et d’assassiner de nouveau. Qui sont les complices ? Notre société qui les juge, les condamne...