Le Mobilier national, établissement public dépendant du ministère de la Culture, a embauché, avec l’argent du contribuable, deux déviants sexuels notoires, connus pour leurs « œuvres » marquées par le mauvais goût et la laideur. Le portrait de la putain algérienne (Zahia Dehar) – qui comporte dans le décor des rats ou un étron humain, et est éclairé par une boule à facette – a été placé dans un salon de la Galerie des Gobelins, au milieu d’œuvres classiques et d’époque, dans une exposition intitulée « les Gobelins au Siècle des Lumières ».
Au total, 35.000 euros ont été dépensés pour insulter l’histoire de France, un prix équivalant à trois manufactures de tissage pour une institution dont le budget a été sévèrement réduit par l’État ces dernières années (-12 %).