- Par Fabrice Valery
- Publié le 18/08/2015 | 08:15, mis à jour le 18/08/2015 | 08:15
Montauban-sud : le péage autoroutier le plus c... du Monde ? (mardi, 18 août 2015)
Publié par Guy Jovelin le 18 août 2015
En ces jours de vacances et de grands déplacements, il convient de s'interroger sur une incongruité autoroutière de notre région.
Généralement, sur autoroute, les bouchons se forment à l'avant des barrières de péage. Les véhicules arrivent, s'entassent dans les différentes files d'attente. Puis s'égrènent devant la machine du péage avant de repartir une fois la barrière levée. Ça se passe partout comme ça sauf... à Montauban !
Le péage de Montauban-sud entre A62 et A20 a en effet cette particularité de générer des bouchons... après les barrières ! Il faut être passé ici au moins une fois un jour d'assez forte affluence pour avoir vécu le phénomène. Dans le sens Toulouse-Cahors par exemple, les véhicules qui sortent de l'A62 par la bretelle se retrouvent face à pas moins d'une quinzaine de portiques de péage. Largement suffisant pour évacuer le flot des voitures, même les jours de grands départs : sauf que dès que la barrière est passée, ça se corse. En moins de 200 mètres, pour accéder à la rocade de Montauban,les quinze voies de péages se réduisent à... une seule ! Et voilà un bouchon en forme d'entonnoir où chaque automobiliste tente de comprendre comment sortir de ce bourbier !
Ne cherchez pas : dans l'autre sens, la punition est la même. Les automobilistes arrivant du nord, par la rocade de Montauban, passent le péage et s'engouffrent après les barrières dans un maëlstrom de quelques dizaines de mètres pour accéder au goulot d'étranglement qui sert d'accès à l'autoroute A62 direction Toulouse.
Une photo satellite de l'endroit, grâce à Google, permet de mieux comprendre :
Sans doute les ingénieurs des ponts et chaussées qui ont conçu cette barrière de péage avaient-ils une contrainte plus forte qu'ailleurs : cet embranchement entre deux autoroutes et une rocade urbaine dans un lieu urbanisé est un casse-tête pour les concepteurs de routes. Mais s'est-on seulement posé la question de l'évacuation du flux de voitures après le péage ?
Généralement, sur autoroute, les bouchons se forment à l'avant des barrières de péage. Les véhicules arrivent, s'entassent dans les différentes files d'attente. Puis s'égrènent devant la machine du péage avant de repartir une fois la barrière levée. Ça se passe partout comme ça sauf... à Montauban !
Le péage de Montauban-sud entre A62 et A20 a en effet cette particularité de générer des bouchons... après les barrières ! Il faut être passé ici au moins une fois un jour d'assez forte affluence pour avoir vécu le phénomène. Dans le sens Toulouse-Cahors par exemple, les véhicules qui sortent de l'A62 par la bretelle se retrouvent face à pas moins d'une quinzaine de portiques de péage. Largement suffisant pour évacuer le flot des voitures, même les jours de grands départs : sauf que dès que la barrière est passée, ça se corse. En moins de 200 mètres, pour accéder à la rocade de Montauban,les quinze voies de péages se réduisent à... une seule ! Et voilà un bouchon en forme d'entonnoir où chaque automobiliste tente de comprendre comment sortir de ce bourbier !
Ne cherchez pas : dans l'autre sens, la punition est la même. Les automobilistes arrivant du nord, par la rocade de Montauban, passent le péage et s'engouffrent après les barrières dans un maëlstrom de quelques dizaines de mètres pour accéder au goulot d'étranglement qui sert d'accès à l'autoroute A62 direction Toulouse.
Une photo satellite de l'endroit, grâce à Google, permet de mieux comprendre :
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