«Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde», écrivait Albert Camus. Le lobby LGBT qui a inventé le mot «homophobie», en a acheté la censure par la Loi auprès de nos dextres députés de gôche à droâte, à vendre donc, et voulu l’imposer par la propagande idéologique dès l’école maternelle comme une norme de la bien-pensance, ferait bien de s’instruire un peu avant de vouloir jouer aux femmes savantes avec l’argent de George Soros.
En effet, remarquons tout d’abord qu’à son commencement, le mot « homophobie» fut construit et imposé par des ignares et des imposteurs, car il mélange une racine latine et une racine grecque, procédé linguistique que nos si belles sciences rationnelles réprouvent dès la Renaissance. Notre précieux dictionnaire de la langue française est donc désormais entachée par un mot bâtard et d’une stupide préciosité (mais que fait l’Académie Française ?), puisque son sens est ambigu, obligeant votre serviteur à en préciser une définition tout juste supportable, pour parvenir finalement à la conclusion qui s’impose : Laurence Rossignol est homophobe.
Puisque dans la Socialie heureuse, il est désormais admis de relativiser le sens des mots, essayons de racheter les erreurs passées et donnons notre propre définition de l’homophobie. Homo : «homme» ou «humain» ou encore «être humain», désigne communément l’Homo sapiens (homme savant), de l’espèce des primates, appartenant à la famille des hominidés, seul représentant actuel du genre Homo. Phobie : du grec «phobos», crainte démesurée et irrationnelle d’un objet ou d’une situation précise. Ainsi l’homophobie est, dans cet article, le rejet craintif du genre humain. Il semble bien que Laurence Rossignol soit homophobe, voire misanthrope.
Ainsi, le député Jacques Bompard fait remarquer : Pour la ministre Laurence Rossignol, «l’aide médicale à la procréation» deviendra une nécessité au jour où il faudra «lutter contre l’idéologie de la famille» ! D’où nous tirons un premier argument aux fins de notre démonstration : pour Laurence Rossignol, il n’y a pas de famille en dehors de sa prétendue idéologie dont elle exprime publiquement sa crainte anxieuse au micro de BFM/TV. Or les phobies font généralement partie de la catégorie des affects psychologiques liés à l’anxiété, et Laurence Rossignol a peur des hommes et des femmes qui choisissent de construire une famille : Laurence Rossignol ne veut plus être assaillie par «La famille homo sapiens» dont le donné anthropologique primitif serait selon la ministre, une «pure idéologie», au point qu’elle veut la faire disparaître au milieu «des recompositions familiales» d’un ministère iconoclaste. Assurément, Laurence Rossignol est homophobe.
Mais plus grave que les simples symptômes d’une embolie cérébrale, la crainte obsessionnelle du genre humain de Laurence Rossignol va jusqu’à vouloir «redéfinir le cadre de l’exercice de l’autorité parentale dans notre code civil», va jusqu’à vouloir imposer «un statut de beau-parent contre les forces conservatrices et ultra-réactionnaires» qui tout simplement, aiment encore aujourd’hui leurs enfants comme au temps de la préhistoire, va jusqu’à vouloir interdire aux parents d’asseoir leur autorité parentale sur leurs enfants au moyen de la fessée qui serait injuste par nature, mais dont elle admet avoir usée en tant que mère, «mais je le regrette» sniffera t-elle chez Bourdin. Pour Laurence Rossignol, «les défenseurs de la vie sont des hypocrites». A n’en point douter, Laurence Rossignol est bien homophobe.
Source : 24heuresactu