Obama : Bon débarras ! (jeudi, 19 janvier 2017)

Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2017

POSTÉ LE 18 JANVIER , 2017

obama-1.jpgDans le film Quo Vadis, tiré du livre de Henryk Sienkiewicz, Pétrone fait ses adieux à Néron qui se croyait un grand artiste : « Passe encore, Néron, que tu aies assassiné ta mère et ton épouse, incendié Rome et autres ignominies, mais comme tu as massacré la musique, comme j’ai souffert à écouter tes vers insipides… »

Pareillement, on pourrait tenir à Obama ce langage :
« Passe encore, Barack, que tu aies voulu transformer l’Amérique à ton image, en en faisant une république bananière, l’endettant plus à toi tout seul (20 trillions de dollars) que tous tes prédécesseurs, tout en accroissant la pauvreté et le chômage alors que toi, tu passais plus de temps à jouer au golf, à lever des fonds pour ton parti, ou encore à te prélasser en vacances luxueuses de 3 semaines avec une suite pléthorique, plus de temps qu’à travailler.

Peu importe, du reste, que tu n’aies jamais sérieusement travaillé, utilisant ton « téléphone et ton stylo » comme un gangster son arme à feu, pour décider et signer, unilatéralement, des décrets présidentiels ineptes et même des accords internationaux sans consulter le Congrès : 90 % de tes décisions et lois anticonstitutionnelles, dont ton abominable Obamacare, pourront être annulées.

Passe encore, Barack, que tu aies menti au peuple américain, avant et pendant toute ta présidence funeste, sur tout, et rejeté le blâme pour tous tes échecs sur Bush, les républicains, Fox News ou des pays étrangers… Que tes deux élections soient dues à des mensonges élaborés avec un cynisme rare (2008), des faits sanglants soigneusement travestis et des trahisons cachées au public (2012) et que tu te sois tiré de l’obscurité, et aussi toujours tiré de tout, grâce à la discrimination positive : le peuple a fini par voir quel charlatan tu étais et il a choisi ton exact contraire pour oblitérer ton œuvre maligne.

Passe encore, Barack, que tous les scandales de ta présidence aient été étouffés par les médias complaisants et par tes ministres de la justice, outrageusement politisés comme tous tes agents gouvernementaux ; que tu aies délibérément créé ou attisé les divisions nationales, en jouant la carte de la race et des droits civils, tes obsessions. Tes scandales seront tous jugés tôt ou tard. Tu as bradé l’Amérique aux ayatollahs et aux Frères musulmans et, de Benghazi à Alep, par ton manque de leadership et tes politiques absurdes, tu as du sang sur les mains. Et là, il devient impossible de ne pas te condamner, Barack, d’autant que tes victimes, ce sont aussi tous les citoyens américains qui subissent tes libérations de prisonniers récidivistes, ou encore les policiers, blancs et noirs, abattus par une vermine que tu soutiens ouvertement.

Ton cas est accablant, Barack ! Non seulement tu n’as jamais été un vrai président des États-Unis, plutôt pantin placé à la Maison Blanche par ceux qui tirent tes ficelles, chargé de miner le pays et la civilisation occidentale de l’intérieur, mais tu ne montres aucun signe de réflexion sur toi-même, encore moins de contrition, et en plus, tu persistes à te croire moralement supérieur à ceux, majoritaires désormais, qui te méprisent.

Surtout, toi, l’individu mal élevé et sans culture, tu crois vraiment au mythe bâti dans un but politique, selon lequel tu serais « un être d’exception, cérébral et grand orateur » ! Tu ne mérites pas plus cette réputation surfaite que ton prix Nobel. Il y a des cerveaux dans la gauche radicale américaine, ô combien pervers, mais toi, Barack, tu n’es qu’un bon exécutant.

Quant à tes discours, ils nous auront assommés par leur longueur, leurs platitudes et tous les mensonges révisionnistes, les contre-vérités, les statisti­ques truquées, les vantardises et tes plaisanteries tellement minables suivies des gros rires des crétins qui t’écoutent, au point que, oui, Barack, nous avons toujours fini par zapper tes oraisons comme tes geignardises.

Et, sans ton téléprompteur, tu sais bien que tu bégaies.

Voilà où tu rejoins Néron, Barack, dans cette illusion ultime sur toi-même, entretenue par les sycophantes américains et européens, qui te fait croire que tu peux continuer à nuire et te pavaner à Washington, au lieu de retourner à Chicago, dans le but précis, autant que mauvais, de diriger une obstruction systématique et organisée contre ton successeur, à la tête d’un groupe financé par Soros, dit Obama Inc., et de faire de toi le président en exil de tous les irrécupérables d’extrême gauche ! Sera-t-on, un jour, débarrassé de toi ?

Même ta sortie manque de classe, Barack. Jamais canard boiteux n’avait boité si bas ! »

 

Source : les4verites

Écrit par . | Tags : amérique, cynisme rare, obama : bon débarras, scandales | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer |  Facebook | |