Qu'il prenne garde, le trotskyste Cédric Herrou ! (mardi, 14 février 2017)

Publié par Guy Jovelin le 14 février 2017

 

Cédric Herrou se présente comme un paysan. Il lève le poing gauche, et parle pourtant plus comme un révolutionnaire bien formé, bien aguerri aux méthodes de l'agit-prop, que comme un céréalier, un maraîcher ou un éleveur ! Il est paysan comme la moindre personne dans la rue est Pape ou roi d'Espagne ! Quand on le voit à la télé, il est assez souvent vêtu « façon clown », bonnet de laine jaune vif, écharpe rouge vif aussi, pantalon d'une autre couleur encore. Mais ce clown, plutôt burlesque, a un je-ne-sais-quoi de trop sérieux ; voire même d'inquiétant dans le regard. Son vrai « métier » ? : prêter la main au passage de la frontière par des clandestins, et, donc, de fait, se faire l'un des maillons de la chaîne des « passeurs », en clair, des trafiquants de chair humaine, des négriers des temps modernes. Le beau paysan que voilà !

Il vient d'être condamné symboliquement à 3.000 euros d'amende, mais avec sursis. Autant dire, rien. D'ailleurs, enhardi par ce succès, et par l'aide des trotskystes, ses frères, il annonce, fièrement, qu'il continuera.

Fort bien.

Mais qu'il prenne garde, le trotsko Herrou. Il s'est trouvé, en Allemagne et en France, lors des derniers attentats meurtriers, quelques terroristes de Daech déguisés en « clandestins ». Oh, pas beaucoup ; pas des milliers, ni des centaines, juste quelques-uns. Mais pour les braves types (hommes, femmes et enfants) qui ont croisé leur route, qui se sont trouvés, comme dit la chanson, « au mauvais moment au mauvais endroit », ces « juste quelques-uns » ont signifié la fin de leur existence ; des familles brisées, détruites, ravagées.

Alors, nous n'avons qu'un seul commentaire à faire, face à ce désolant personnage, à son action scélérate, et à ce non moins désolant verdict. C'est qu'il vaut mieux pour lui - le trotsko Herrou - que, dans les jours, semaines et mois qui viennent, il n'y ait pas d'attentat meurtrier commis par un seule de ces « clandos » qu'il a fait passer en France.

Car, si tel était le cas - comme, on vient de le dire, cela l'a été déjà en Allemagne et en France - alors les citoyens français, à défaut d'une justice clémente envers ceux qui se mettent hors la loi pour aider des hors la loi - seraient en droit de venir sonner à la porte de sa maison, dans les Alpes maritimes, vallée de la Roya, pour lui demander des comptes...

 

Source : lafautearousseau

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