L’actualité récente a été marquée par une forte recrudescence de ce que les médias appellent parfois le « terrorisme low cost », c’est-à-dire les attaques au couteau ou avec un véhicule.
Que ce soit en France, en Espagne ou en Finlande, les attaques de ce type sont désormais quasi quotidiennes et ignorées des médias.
Comme s’il était anodin que des milliers de personnes en Europe soient assez fanatisées pour tenter d’assassiner leurs voisins.
Ces attaques sont évidemment un cauchemar pour les forces de sécurité.
Elles échappent totalement aux radars des services de renseignement et une personne qui est prête à mourir est pratiquement impossible à arrêter.
Mais, si la prévention de « ce terrorisme low cost » semble à peu près impossible, on peut, du moins, éviter de créer les conditions dans lesquelles il se développe.
Rien n’impose aux États européens d’accueillir un flot toujours ininterrompu d’immigrés (dont la plupart, comme vient encore de le rappeler l’organisme de l’ONU en charge des réfugiés, ne viennent pas de pays en guerre).
Rien n’impose d’avoir des frontières passoires ou même d’aller chercher les clandestins, aux frais des contribuables, jusque sur les côtes libyennes.
Rien n’impose non plus de leur donner rapidement la nationalité française qui les rend quasiment inexpulsables.
Rien n’impose de donner à n’importe qui toutes sortes d’allocations (combien de djihadistes se sont-ils préparés à leurs méfaits en gagnant le RSA sans rien faire ?).
Et, surtout, rien n’impose de faire la guerre avec un bandeau sur les yeux. Tant que nos dirigeants refuseront de voir la responsabilité de l’islam dans la genèse de l’islam radical, et de l’islam radical dans la genèse du terrorisme islamiste, nous ne lutterons pas sérieusement.
Désormais, le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, imagine d’utiliser les hôpitaux psychiatriques pour lutter contre le terrorisme. Logique, puisqu’il n’y voit que des « déséquilibrés » ! Mais, outre que cela rappelle les sombres heures de l’Union soviétique, qui ne voit qu’en autorisant une bonne centaine de mosquées salafistes à diffuser leur propagande haineuse, nous n’aurons jamais assez d’hôpitaux psychiatriques pour « soigner » tous les terroristes ?
Je préfère la version polonaise, où le ministre de l’Intérieur ferme les frontières pour éviter d’avoir des enclaves musulmanes où les terroristes pourraient s’abriter. Là, au moins, je comprends la logique !
Source : les4verites