Un étranger islamiste a été arrêté dans le cadre de l’enquête sur la profanation du cimetière Saint-Roch de Castres. Le caractère antichrétien de l’acte est donc totalement confirmé, d’autant plus que l’étranger répète en boucle des passages du Coran depuis son arrestation. C’est bien par haine de la France et de la religion catholique que l’islamiste – dont les médias ont caché l’identité – a profané plus de 200 tombes. Ce n’est pas un hasard si le carré réservé aux juifs a été épargné par l’islamiste qui s’est acharné au contraire sur les symboles chrétiens, notamment les crucifix et une statue de la Vierge Marie.
Le profanateur est possiblement venu profaner le cimetière après s’être rendu dans un lieu de culte islamiste situé tout près du cimetière. Il portait d’ailleurs le vêtement islamiste traditionnel, une « djellaba » quand il a commis son crime.
L’évident caractère antichrétien de l’acte a été nié par le procureur Charlotte Beluet. Reconnaissant qu’il s’agissait d’un étranger musulman, portant un vêtement typique, répétant des prières islamistes en boucle, elle a pourtant prétendu qu’il n’y avait « pas de revendication religieuse » (rigoureusement sic). La volonté de faire échapper le criminel à la justice est évidente : « On poursuivra des investigations pour mesurer son degré de responsabilité et savoir si à un moment il est audible ou non » a-t-elle déclaré alors que son jugement semble déjà fait : l’islamiste a d’ailleurs été interné, avant de minimiser les faits, à l’image de son homologue David Charmatz en février dernier : « On n’est pas sur des tombeaux ouverts, ce sont des croix décrochées, jetées par terre. »
Il s’agit de l’œuvre d’un fou, il n’y aurait jamais de procès : la technique est hélas trop connue.
Le maire de la ville, Pascal Bugis, a pourtant lui-même souligné l’évidence : « Le symbole de la croix était principalement visé. Ce sont clairement des atteintes aux symboles de la foi chrétienne ».
Au chapitre des mensonges, il faut encore rappeler que de nombreux médiats, à commencer par les médiats publics, ont menti non seulement sur le caractère antichrétien de l’acte, ici comme les autorités, mais encore sur l’étendue du crime, n’évoquant que « quelques dizaines » voire « quatre-vingts » tombes touchées, alors qu’aujourd’hui, tous concèdent que ce sont au moins entre 200 et 300 tombes qui ont été visés, comme l’avait annoncé immédiatement le maire de la ville.