Explosion de la criminalité et des agressions sexuelles lors, par exemple, de festivals musicaux, attaques à la grenade, au laser, avec des pierres, voitures de police détruites, incendies volontaires, violences paroxystiques y compris à l’encontre des pompiers, des secouristes de la Croix-Rouge ou encore des journalistes venant interroger les migrants musulmans vivant concentrés dans les 14 zones de non-droit, « c’est pire que jamais depuis ces dernières années », raconte le sergent de police Peter Larsson à la chaîne NRK.
Alors, face à cette « crise majeure », trois policiers en moyenne démissionnent… chaque jour. Car non seulement ils « [ne peuvent pas] enquêter sur les crimes » faute de temps pour se rendre sur place lors d’appels de victimes, mais ils se plaignent de l’absence de soutien de leur gouvernement « qui ne leur procure pas les moyens pour arrêter l’épidémie de criminalité », selon la chaîne susnommée.
Sans parler, comme le rappelle le sergent de police, de la minimisation en haut lieu – quand ce n’est tout bonnement l’étouffement – des crimes perpétrés par les migrants musulmans. Rappelons, au passage, que la Suède est devenue le deuxième pays après l’Afrique du Sud à enregistrer une augmentation constante du nombre de viols (dont 30 % sont commis sur des filles de moins de 15 ans).
Ces démissions en pagaille ne risquent pas de ralentir de sitôt. Selon les autorités suédoises, la croissance de la population s’élève à 739.000 personnes par an et le nombre de migrants récemment arrivés (en 2016) en représente 77 %… dans un pays de 9,5 millions d’habitants. C’est l’imam de Malmö qui doit être content, qui déclarait, déjà en 2009, sur le site Skånska Dagbladet :« Swedem is the best islamic state… » Le pourcentage de musulmans rien qu’à Malmö (318.000 habitants) est passé de 25 % en 2011 à 50,2 % en 2013.
Et chez nous, pour en revenir aux démissions dans la police ? Le ministère de l’Intérieur, en 2015, a refusé purement et simplement de communiquer sur cette question, et pas davantage sur le nombre de mises en disponibilité parmi les policiers.
Le modèle suédois tant vanté se révèle bien égratigné. Peter Larsson aura prévenu : « S’ils [les dirigeants] ne prennent pas la décision de s’occuper honnêtement du problème, ça va se terminer en désastre. » Et chez nous ?
Source : policeetrealites