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samedi, 12 janvier 2019

La Suède multi-culturelle renie ses racines chrétiennes

Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2019

Bien que le christianisme ait notablement influencé l’histoire de la Suède, après des décennies de multi-culturalisme, de pluriconfessionnalisme, de dialogue inter-religieux, de relativisme et d’invasion migratoire, cette nation scandinave a totalement apostasié ses racines chrétiennes. Se souvient-elle même qu’elle en a eues ?

Il est possible en Suède de personnaliser sa plaque d’immatriculation. Mais toutes les personnalisations ne sont pas permises. C’est ce que vient de découvrir un automobiliste, Cesar Kisangani Makombe, qui s’est vu refusé sa demande par le gouvernement suédois.

Makombe voulait inscrire sur sa plaque une inscription en l’honneur de sa foi religieuse : « Jésus-Christ ». Les services gouvernementaux des Transports ne lui ont même pas donné l’accord pour la simple parole « Jésus » ou « Christ ». Ils ont justifié leur décision en expliquant à l’automobiliste que

« l’autorisation de modifier la plaque en question a été refusée parce que le requérant avait manifesté l’intention d’apposer sur la plaque des paroles au contenu visiblement offensant. L’autorité nationale des Transports retient en effet que des expressions reliées à une religion particulière sont susceptibles de blesser la sensibilité des fidèles d’autres cultes et celle des non-croyants ».

Devant l’aberration de cette motivation des fonctionnaires suédois, Kisangani Makombeaccuse publiquement les autorités de Stockholm de « trahison des racines chrétiennes de la nation ».

« C’est paradoxal, a-t-il dit au quotidien local Göteborg Direkt, que la Suède, un pays chrétien représenté par un drapeau dans lequel trône une croix, considère offensive la figure de Jésus et, par conséquence, nie à des croyants le droit de manifester leur propre foi à travers une simple plaque d’immatriculation. C’est absurde !

Nos institutions sont en train de mener une vraie guerre contre l’identité chrétienne de la Suède. »

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

mercredi, 02 janvier 2019

Suède : alors que la violence continue de grimper, l’UE va contribuer à un programme de lutte contre la haine

Publié par Guy Jovelin le 02 janvier 2019

 Par  le 01/01/2019

La Suède devrait recevoir 7,5 millions de couronnes suédoises (738 248 euros) de l’Union européenne pour les victimes de « crimes haineux », après que le pays a connu un nombre record de fusillades mortelles en 2018.

Le programme vise à apporter un meilleur soutien à ceux qui sont victimes de crimes motivés par la haine dans tout le pays pendant que leurs cas font l’objet d’une enquête ou de poursuites, rapporte le radiodiffuseur suédois Sveriges Radio.

Eva Sund, qui travaille sur les affaires de crimes motivés par la haine pour le Département des opérations nationales (NOA) de la police suédoise, a déclaré que le projet aiderait à soutenir les victimes de diverses manières, notamment en leur indiquant comment déposer correctement une déclaration de crime motivé par la haine auprès de la police.

« Le besoin d’accompagnement et d’explications des décisions prises dans le cadre d’un processus judiciaire est très élevé et cela prend du temps aux policiers enquêteurs s’ils doivent s’asseoir et s’occuper de ces questions », a dit Sund.

Breitbart London@BreitbartLondon
Head of Social Media ‘Hate Speech’ Reporting Group Nominated for ‘Swedish Hero’ Award

Head of Social Media 'Hate Speech' Reporting Group Nominated for 'Swedish Hero' Award | Breitbart

A hate speech reporting group has been nominated for the "Swedish Hero" award by one of the country's major newspapers.   

breitbart.com 

La police et l’organisation suédoise d’aide aux victimes, une association à but non lucratif qui défend les droits des victimes, envisagent également de financer le projet, qui devrait démarrer en 2020.

Le financement de l’UE intervient après que la Suède a connu un nombre record de fusillades mortelles dans tout le pays en 2018, principalement liées à la violence des gangs à travers le pays.

Un nombre record de fusillades mortelles avait conduit l’expert de la police de Stockholm Gunnar Appelgren à affirmer que le pays ressemble à un « État en guerre », alors que le nombre de saisies d’armes à feu et de grenades à main avait augmenté en 2018 par rapport à l’année précédente, ce malgré une baisse du nombre global de fusillades.

En Suède, les fusillades sont effectuées avec des armes importées de régions comme les Balkans, où le procureur bosniaque Goran Glamocanin a déclaré que la Suède était devenue l’un des plus importants marchés pour les armes de la région.

Les grenades à main sont également devenues faciles à obtenir en Suède selon Appelgren qui a admis en janvier 2018 que les bandes criminelles avaient un large accès aux armes explosives. Un ancien criminel organisé suédois a déclaré qu’il était possible d’obtenir des grenades pour seulement 1 000 couronnes suédoises (96,5 €).

Breitbart via fdesouche

mardi, 27 novembre 2018

Suède : un jeune migrant afghan viole une suédoise de 15 ans mais ne sera pas expulsé car il pourrait être violé en Afghanistan

Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2018

Par  le 27/11/2018

 

Rohollah Karimi, 17 ans, a obtenu l’asile en Suède l’année dernière. Pour son statut de réfugié, il avait déclaré craindre d’être agressé sexuellement en Afghanistan, son pays d’origine, où il existe une tradition de « bacha bazi » ou de « garçons dansants » violés en bande par des hommes plus âgés. Cependant, moins d’un an après son arrivée il participa à un viol en bande sur une Suédoise de 15 ans. Il est condamné mais ne sera pas expulsé car il risque toujours d’être violé en Afghanistan.

(…)

NyaTider via fdesouche

lundi, 15 octobre 2018

Suède : un migrant célèbre sa naturalisation en violant une femme et lui dit : « Maintenant je peux faire ce que je veux »

Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2018

Un migrant de 29 ans a été condamné à la prison pour avoir violé une femme dans un bain public sur l’île d’Ingarö, près de Stockholm, rapporte Fria Tider.

La femme ne savait pas bien nager : il l’a poussée à l’eau à partir d’un quai de baignade en béton, et a commis le viol dans l’eau.

Quand elle a tenté d’appeler à l’aide, il lui a tiré les cheveux pour lui mettre la tête sous l’eau, à plusieurs reprises. Il a également mordu la femme, qui pleurait et le suppliait d’arrêter, terrorisée par le risque de se noyer.

Ensuite, il lui a dit de n’en parler à personne, précisant qu’il pouvait lui faire ce qu’il voulait maintenant qu’il était devenu citoyen suédois.

Au tribunal, il a affirmé que les rapports sexuels avaient été consentis – ce qui n’a pas convaincu.

Il a aussi admis que ce qu’il avait fait était mal (haram), ajoutant qu’il avait conseillé à la femme d’aller voir un imam, car une bonne musulmane doit rester vierge jusqu’au mariage. Au lever du soleil, il a demandé pardon à Allah.

L’homme a été condamné à trois ans d’emprisonnement et 12’000 € de dommages et intérêts.

Il ne peut pas être expulsé, en vertu de la législation actuelle, car il a été naturalisé.

Source : Voice of Europe

Traduction libre Cenator pour LesObservateurs.ch

jeudi, 27 septembre 2018

Suède : plus de 50 % des violeurs ne sont pas européens

Publié par Guy Jovelin le 27 septembre 2018

La télévision publique suédoise SVT brise un tabou : pour la première fois, une étude sur les viols et les viols collectifs a été publiée qui tient compte des origines des auteurs.

Il en ressort que 58% des violeurs sont nés à l’étranger, dont 51% hors d’Europe. Pour les viols aggravés (viols avec agression par surprise et viols collectifs), ces proportions montent à 75% et 74% respectivement. Encore l’étude ne tient-elle compte que du lieu de naissance : parmi les personnes nées en Suède, elle ne distingue pas les Suédois de souche des personnes issues de l’immigration.

Au mois de mai déjà, les journaux Aftonbladet et Expressen avaient publié des études sur les origines des auteurs de viols collectifs. Conclusion : 88 % étaient issus de l’immigration.

Dans une étude publiée en 2015, le Gatestone Institute notait déjà : « 40 ans après que le parlement suédois a décidé à l’unanimité de transformer la Suède autrefois homogène en un pays multiculturel, les crimes violents ont augmenté de 300 % et les viols de 1472 %.2

Dans les viols collectifs, 74% des auteurs ne viennent pas d’Europe. Tous les auteurs non européens venaient du Moyen-Orient, d’Afrique ou d’Afghanistan.

Il n’y a donc pas eu un seul Américain, Australien ou Asiatique de l’Est condamné pour viol collectif en 2012-2017.

Bien sûr, des critiques sont immédiatement venues des milieux de gauche, y compris des politiciens. Selon eux, l’origine géographique n’a rien à voir avec ces crimes.

C’est plutôt la mauvaise situation économique ou les « normes de virilité » qui en sont responsables. Ceux qui mentionnent l’origine des violeurs sont volontiers taxés de racisme et d’incitation à la haine.

 

Source : wochenblick.at

Extraits traduits par Cenator pour LesObservateurs.ch