Celui qui possède notamment la mosquée Ahl-Ill Bait, située dans l’arrondissement Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce, à Montréal, a d’abord demandé à l’entrepreneur de ne pas faire de travaux le vendredi pour ne pas nuire au jour de la prière. Cette requête lui a été refusée en raison des retards qui en auraient résulté.
Il a ensuite réclamé que les femmes ne soient pas visibles les vendredis sur le chantier à proximité de cette mosquée. Cette clause est d’ailleurs écrite noir sur blanc dans le contrat signé par l’entrepreneur.
La mesure vise trois femmes, deux signaleuses et une inspectrice, que l’entreprise G-Tech a dû réaffecter ailleurs, selon une information obtenue via le compte Facebook de TVA Nouvelles.