Nos amis corses ont donné à la France entière une grande leçon de courage et de patriotisme
Dans la nuit de jeudi à vendredi, il s’est produit un fait comme il s’en produit malheureusement tous les jours dans les cités françaises gangrenées par la surpopulation multi ethnique, par la pauvreté, la violence, le racket. Malgré les centaines de milliards d’euros injectés dans les plans de réhabilitations de nos banlieues, les conditions de vie sont toujours aussi déplorables et le « vivre ensemble », si cher à la gauche, de plus en plus utopique.
Dans les années 50-60, les premières cités ont été construite pour loger l’afflux massif de pieds noirs expulsés d’Algérie. Elles offraient aussi la possibilité aux foyers moyennement à faiblement aisés d’accéder à la propriété d’un logement. Les habitants se sentaient heureux. Les enfants jouant au parc au bas de l’immeuble, les gens se rencontrant entre voisins. Mais au fil des années, la politique d’immigration massive a remplacé ce bien vivre ensemble par la peur, la délinquance et le chaos.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, deux pompiers et un policier ont été blessés dans un quartier à Ajaccio au cours d’une intervention. Un incendie a été volontairement allumé pour les attirer dans un guet-apens. Les secours étaient attendus avec des battes de baseball, des clubs de golf et même des bouteilles d’acides. Aucune interpellation n’avait eu lieu. Ces faits devenus malheureusement récurrents en France. Mais les racailles ont oublié une chose importante. Ils ont oublié qu’ils vivaient en corse ! Cette magnifique région française où rien ne se passe comme partout ailleurs est désormais gérée par les nationalistes fraîchement élus aux dernières élections régionales. Dorénavant, la peur a, semble-t-il, changé de camp.
Dans l’après-midi, 600 personnes se sont rassemblées devant la préfecture à Ajaccio en soutien aux policiers et pompiers blessés. 250 à 300 d’entre elles, dont je salue leur courage et leur acte patriote, sont ensuite dirigées vers le quartier des Jardins de l’Empereur, où avaient eu lieu les incidents de la nuit pour rendre justice aux cris de « on est chez nous ! »
Dans un communiqué, le président du Sdis de Corse-du-Sud Charles Voglimacci a eu le courage de dire : « Je dis aux individus de ce soir (…) que nous ne sommes pas dans certains quartiers du continent où règnent la terreur et le chaos. Ici c’est Ajaccio et nous ne laisserons personne dicter ses propres règles, imposer la peur et s’accaparer un quartier de notre ville. »
Même si je condamne fermement le saccage de la salle de prière, nos amis corses viennent de donner à la France entière une grande leçon de courage et de patriotisme. Pour se débarrasser de la racaille protégée par « Tata Taubira », pour que la peur change enfin de camp, la question de se faire justice soit même mérite d’être posée. Mais sur le continent les français auront ils autant de courage que les corses ? J’en doute…
Source : http://lagauchematuer.fr/