La France s’enfonce dans la barbarie (jeudi, 16 juin 2016)

Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2016

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Dr Bernard Plouvier 

La nuit de la Saint-Sylvestre 2015, tandis que des hordes d’immigrés presque tous musulmans s’attaquaient à des centaines d’Allemandes et en violaient des dizaines à Cologne, Hambourg et autres lieux, une crapule sabotait l’installation électrique de l’hôpital de Millau (dans l’Aveyron), risquant de bouter le feu à un centre de soins hébergeant une quarantaine de personnes.

Au mois de juin 2016, d’autres crapules, des gauchistes ameutés par des slogans de syndicalistes, ont brisé les fenêtres de l’hôpital Necker à Paris. Appelons les êtres et les choses correctement : une crapule est un être pervers – soit un individu qui est dangereux pour la santé d’autrui, éventuellement pour la sienne. S’attaquer à un centre de soins ou à un soignant, c’est volontairement ôter une chance d’être secouru à qui est malade, blessé ou en détresse.

On ne cesse de nous tympaniser lorsqu’une synagogue ou une mosquée sont vandalisées (en se moquant des dizaines d’églises et de cimetières chrétiens profanés chaque année depuis plus de dix ans). Il est infiniment plus grave de s’en prendre à l’organisation des soins. Tout le monde ne croit pas en une quelconque divinité… et les musulmans font tout pour que l’on haïsse le nom d’allah. Mais tout le monde a, un jour ou l’autre, besoin de se faire soigner.

En 1914-15 – ça n’a plus été le cas ensuite -, les médecins et brancardiers capturés par une armée ennemie lors d’opérations militaires étaient renvoyés dans leur pays d’origine, via la Suisse. Durant la guerre suivante où un degré de plus dans l’horreur fut escaladé, l’on filma des aviateurs alliés qui tiraient sur des ambulances, notamment lors du bombardement de terreur de Dresde, en février 1945… mais les esprits étaient chamboulés par l’état de guerre.

De nos jours, on n’hésite plus à s’attaquer aux vieillards et aux enfants, on saccage et on incendie par simple ivresse de puissance (toute temporaire soit-elle) et l’on s’en prend aux soignants ou aux malades.

Certes, depuis les années 1980, de nombreuses cités sont périodiquement mises à feu et à sang par les fruits pourris de l’immigration exotique. Certes, les crapules djihadistes assassinent à tout-va et d’autres crapules violent de façon pluriquotidienne en France.

Mais faut-il que des Blancs se jettent eux aussi dans la plus immonde barbarie ? Si des syndicalistes, des activistes trotskistes, des crétins désœuvrés ont un surcroît d’énergie à dépenser, qu’ils le fassent en organisant des milices d’autoprotection contre les trafiquants d’armes et de drogue, contre les racketteurs, contre les centres de prêche du Djihâd.

Si les Français de souche européenne se jettent aussi dans la bagarre, qu’au moins ils le fassent dans l’intérêt de la Nation et non pour le plus éculé des slogans, celui qui a provoqué directement 100 à 120 millions de morts au XXIe siècle : la sordide lutte des classes.

La France est en péril de destruction par l’islam djihadiste et par l’effet d’une immigration-invasion. C’est infiniment plus grave qu’un texte de loi mal torché, issu d’un pseudo-pouvoir qui a peu de chances d’être reconduit, l’an prochain, dans son exceptionnelle faculté de nuisance.

 

Source : synthesenationale

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