Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 15 février 2019

Virginie Vota : “Défendre la France, pas la République”

Publié par Guy Jovelin le 15 février2019

 

Virginie Vota nous appelle à bien faire la distinction entre la France et la République.

 
 

jeudi, 14 février 2019

110 voitures brûlées chaque jour en France

Publié par Guy Jovelin le 14 février 2019

Par  le 13/02/2019

 

Le phénomène est loin de décroître. Le Nord, le Val-d’Oise et l’Isère sont particulièrement touchés.

L’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) jette une lumière crue sur les feux de voitures, département par département. Les plus touchés ? Le Nord (avec près de 250 feux par mois en moyenne), mais aussi l’Oise, le Val-d’Oise, l’Isère, la Drôme, le Gard, les Pyrénées-Orientales et le Vaucluse. Tandis que la Lozère (30 sinistres seulement en un an), les Côtes-d’Armor et la Mayenne font figure de havres de paix. En tout cas, si l’on s’en tient aux chiffres des pompiers.

Les Services départementaux d’incendie et de secours (SDIS) disposent de données précieuses. Ils se basent sur un taux moyen d’intervention. « En 2017, en France métropolitaine, les taux moyens sont de 7,7 interventions pour 10.000 habitants et de 12,8 interventions pour 10.000 véhicules », rappelle l’ONDRP.

(…) Le Figaro via Fdesouche

lundi, 28 janvier 2019

Liberté d’expression : la France se traîne en bas d’un nouveau classement

Publié par Guy Jovelin le 28 janvier 2019

 

Source : ndf

vendredi, 25 janvier 2019

Traité d'Aix la Chapelle : c'est la France que Macron assassine

Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2019

Cellule Argumentaire du PdF

6a40987b02d150c8ac00658315e28185a6d6c89b.png

Traité d'Aix la Chapelle :  
c'est la France que Macron assassine
 
 
 
Ce mardi 22 janvier à Aix la Chapelle, sans qu'aucun débat national n'ait été engagé en France, Emmanuel Macron et Angela Merkel signeront un nouveau traité de « coopération et d'intégration » France/Allemagne visant à renforcer les liens entre les deux pays et accélérer les convergences en matière de sécurité, de Défense, de fiscalité, d'industrie, de commerce, d’éducation, de recherches, d'environnement, de climat, de santé et questions sanitaires, et de relations internationales. Un renforcement basé sur le socle du traité fondateur de l’Élysée conclu en 1963 par le général De Gaulle et le chancelier Adenauer.
En 1963, le traité était signé à Paris, capitale d'une France ambitieuse et à la manœuvre qui concevait l'Europe comme un moyen de sa grandeur. Quelles que soient, par ailleurs, les fautes commises par Charles De Gaulle, fautes que nous n’oublions pas, il savait que la question allemande devait toujours être abordée par notre pays en se souvenant de cette affirmation nationale établie depuis Philippe Auguste, affirmation structurante d'une politique que les siècles ne peuvent abolir : « Le roi de France est empereur en son royaume ».
En 2019, le nouveau traité sera signé sur le sol allemand. On aurait tort de n'y voir qu'un symbole.
Là où le Traité de l’Élysée créait les conditions d'une étroite coopération entre deux Nations et deux États distincts aux destinées désormais communes, celui d'Aix la Chapelle imprimera dans le marbre un processus de fusion progressive voulu comme inéluctable. Un processus qui, par la force des choses, la faiblesse de nos dirigeants et la complaisance complice de nos « élites », ferait à terme de la France un Land annexé et de l'Allemagne la puissance dominante d'une Europe de la finance, de l'immigrationnisme et de la soumission au mondialisme (cf. le préambule du Traité : France et Allemagne, fermement attachées à un ordre international fondé sur des règles et sur le multilatéralisme dont les Nations Unies constituent l’élément central).
La partie consacrée à l'Alsace-Lorraine est, à bien des égards, édifiante. Si le Traité ne conduit pas à la « vente » de nos deux provinces comme tend à le faire croire une interprétation simpliste (peut être volontairement simpliste, au demeurant, tant il est vrai que les officines du pouvoir savent user des fausses nouvelles et de l'outrance savamment orientée pour mieux discréditer une opposition), il met, en revanche, en place les conditions d'une germanisation linguistique et juridique menant, sous couvert de faciliter la vie des transfrontaliers, à une appropriation culturelle et économique allemande. Barrès et le Daudet de La dernière classe doivent se retourner dans leurs tombes.
Outre la formalisation d'une pratique infâme instituée par Sarkozy d'ouvrir à intervalles réguliers les Conseils des ministres à un ministre de l'autre État, plusieurs éléments particulièrement inquiétants figurent dans le traité comme la création d'un comité permanent de Défense Franco/Allemand, source de paralysie future (faudra-il l'accord du Bundestag pour engager nos troupes sur un théâtre extérieur, ou pour procéder à des exportations d’armes ?) et dont on peut penser qu'il est destiné, à moyen terme, à ressortir la vieille idée de mise en commun de l'arme nucléaire française ; ou la mise en place d’équipes mixtes bi nationales au sein de nos représentations à l'ONU qui préfigurent le partage du siège français permanent au Conseil de sécurité et la codécision en matière de véto. (Article 8 : "Les deux États coopéreront étroitement au sein de tous les organes de l'organisation des Nations Unies (...) Ils mettront tout en œuvre pour aboutir à une position unifiée dans le cadre des organisations appropriées des Nations Unies". Et, toujours dans cet article 8 riche en enseignements, une affirmation en forme d'aveux qui en dit long sur ce qui se trame entre Paris et Berlin : L’admission à un siège permanent au sein du Conseil de sécurité de l'ONU est un objectif majeur de la diplomatie franco-allemande).
On le voit, la philosophie de ce Traité est simple : ce qui est allemand reste allemand et s'impose à la zone euro ; ce qui est à la France sera, à terme transféré à l'Allemagne.
Dès lors que le Traité sera signé, s'engagera un lent mais strict processus qui mènera inévitablement à la mise en œuvre des fins ultimes.
Un Traité peut toujours être déchiré. Et la droite nationale ne s'en privera pas si elle parvient au pouvoir.
Mais il est urgent en attendant que soient freinés les effets de ce « partage » consenti par Macron, partage étant en l'occurrence l'autre nom de la trahison.
L'enjeu des élections européennes est aussi là.
 
   

Nous sommes transportés d'enthousiasme à l'idée que la France va participer à l'augmentation du capital de la banque mondiale à hauteur de 464 millions d’Euros! ! ( loi de finance 2019).  Dans le contexte de pauvreté généralisée des Français,c'est honteux. (20/01/2019)
 
   

Immigration, insécurité, chômage, fiscalisme: Ras le bol ! C'était l'affiche de campagne électorale de Jean-Marie Le Pen à Paris en 1983. Tout était donc déjà dit, il y a 36 ans, et c'est bien dommage qu'il n'ait pas été entendu. (17/01/2019)
 
 

vendredi, 11 janvier 2019

Dette : « C’est du jamais vu » En 2019, la France va emprunter 200 milliards auprès des marchés internationaux

Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 2019

Par  le 10/01/2019
 

L’année 2019 sera bien l’année de tous les records pour les besoins de financement extérieurs de l’Etat. 2018 établissait un nouveau seuil de prélèvements obligatoires à 1000 milliards d’euros, si l’on en croit les prévisions budgétaires, ce record ne sera pas battu. En revanche sur les financements extérieurs, c’est du jamais vu: 200 milliards d’euros seront collectés sur les marchés internationaux. Les besoins de financement de l’état se montant en 2019 à 236 milliards.

[…]

BFM Business via fdesouche