Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 31 janvier 2019

Terrorisme : Le gouvernement suisse veut protéger en priorité les juifs et les musulmans

Publié par Guy Jovelin le 31 janvier 2019

Par  le 31/01/2019

 

Le Conseil fédéral entend verser jusqu’à 500 000 francs par an pour participer aux coûts de sécurité que doivent supporter les minorités particulièrement exposées au terrorisme ou à l’extrémisme violent. Lors de sa séance du 30 janvier 2019, le Conseil fédéral a mis en consultation l’ordonnance qui servira de base à l’octroi de ces aides.

L’essentiel en bref :

  • Le Conseil fédéral entend contribuer au financement de mesures nécessaires pour assurer la sécurité des minorités ayant un besoin de protection particulier.
  • Chaque année, des aides financières d’un montant maximum de 500 000 francs pourront être versées. Elles serviront notamment à des mesures de sécurité architectoniques et techniques.
  • Les minorités ayant un besoin de protection particulier sont en premier lieu les communautés juives et musulmanes, mais aussi d’autres minorités.

Dans son concept du 17 avril 2018, le Réseau national de sécurité (RNS) a recommandé de renforcer la collaboration entre le Service de renseignement de la Confédération (SRC), la police et les minorités concernées, en premier lieu les communautés juives et musulmanes.

Lors de l’élaboration du concept du RNS, il a été décidé que la Confédération pourrait verser jusqu’à 500 000 francs par an pour contribuer aux mesures de sécurité visant à protéger ces minorités particulièrement menacées.

Soutien à différentes minorités

Le Conseil fédéral a donc mis en consultation une ordonnance prévoyant que la Confédération peut participer aux coûts des mesures architectoniques et techniques visant à réduire la criminalité. Il peut s’agir de clôtures, de murs, de systèmes de protection des entrées comme des caméras de surveillance ou des alarmes. Elle peut par ailleurs contribuer au financement de formations, notamment dans les domaines de la gestion des risques et de la prévention des menaces. Enfin, la Confédération peut aussi soutenir les mesures de sensibilisation ou d’information du public.

L’ordonnance permettra d’apporter un soutien non seulement à des communautés religieuses, mais aussi à des gens du voyage (Yéniches, Roms et Sintés) ou à des groupes qui sont minoritaires en raison de leur orientation sexuelle (homosexuels, bisexuels, transgenres et intersexes). La condition pour bénéficier d’une aide est que le groupement en question entretienne un lien solide avec la Suisse et ses valeurs.

Une participation au financement de personnel de sécurité est en revanche exclue. Les demandes d’aide seront examinées par l’Office fédéral de la police, qui requerra au préalable une appréciation de la vulnérabilité des minorités auprès du SRC.

La procédure de consultation au sujet de l’ordonnance sur les mesures visant à garantir la sécurité des minorités ayant un besoin de protection particulier (OSMP) dure jusqu’au 7 mai 2019.

 

Admin.ch via fdesouche

jeudi, 10 janvier 2019

Pendant la Révolution, l’Islam maintient son objectif : conquérir la France

Publié par Guy Jovelin le 10 janvier 2019

TIENS DONC, MAIS C’EST L’ISLAM QUI POINTE À NOUVEAU SON NEZ ?

En pleines prémisses d’un conflit civil qui va faire des morts entre Français, dans le souvenir encore bien gluant des massacres commis par des musulmans sur le sol français, le président de la République française a tenu à rassurer les mahométans installés sur le sol de son pays.

On va tout faire pour que l’Islam se sente bien en France, c’est juré.

Entre deux crises de fou-rire à peine maîtrisé devant la niaiserie de Choupinet étalée comme du miel sur un baklava, les Kbibech (Marocain), Ogras (Turc) et autres officiers supérieurs du Prophète ont même eu le temps de se plaindre de l’immonde stigmatisation dont ils sont, semble-t-il, les victimes de la part d’un peuple décidément rétif aux enseignement de leurs maîtres. « Ah, M’sio Macron, alors qu’nous, on vous aime d’amour, wouallah c’est dur, la Fronce, faut faire quequ’chose pour nous« .

Promesses choupinesques. Les autres n’y ont sûrement pas cru, mais ils ont fait semblant.

Au moment où les premiers blessés de la guerre civile contemplent leurs moignons sur des lits d’hôpital, et leurs visages énucléés dans les miroirs de l’infamie, quand Luc Ferry suggère que l’on mate la révolte des citoyens en tirant dans le tas, en d’autres termes, que l’on reconstitue le Mur des Fédérés quelque part du côté des Champs-Élysées, les « Musulmans de France » se plaignent de n’être pas aimés. Est-ce que quelqu’un, par simple compassion, peut me sortir de cet abominable naveton ?

[...]

source: via lesobservateurs

vendredi, 26 octobre 2018

Le Canada célèbre le “Mois de l’histoire et de l’héritage islamiques”

Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2018

Par  le 25/10/2018

 

Article du site musulman oumma sur la célébration au Canada du “Mois de l’histoire et de l’héritage islamiques”.

Dans un Canada qui s’est paré de ses plus belles couleurs automnales, le mois d’octobre flamboyant, comme chaque année à la même période, est placé sous le signe de l’hommage rendu à la communauté musulmane pour ses précieuses contributions, sa pierre apportée à la consolidation du vivre-ensemble , sous la bannière lumineuse du « Mois de l’histoire et de l’héritage islamiques ». […]

En sa qualité d’historien, il est revenu à Hessam Monir, lors du discours inaugural, l’insigne honneur de retracer la genèse de l’islam sur le sol canadien il y a 150 ans de cela, soit dès la fondation du pays en 1867. Chiffres à l’appui, ce dernier a mis en lumière l’augmentation notable de la communauté musulmane depuis 1931, passant de 645 personnes à 33 000 en 1971, jusqu’à représenter de nos jours 3,2% de la population globale, comptant en son sein plus d’un million d’individus.

Il a également insisté sur les bonnes relations que les immigrés de confession musulmane ont toujours entretenues avec les autochtones, tout en se félicitant qu’une mosquée ait récemment ouvert ses portes à Whiteworse, la capitale du territoire de Yukon, et que des phares de l’islam aient pu émerger dans toutes les provinces du pays, certains rayonnant même à plusieurs kilomètres à la ronde. […]

De son côté, Pablo Rodriguez, le ministre de l’Héritage culturel, a tenu à exprimer à la communauté musulmane, au nom de la nation, ses remerciements et sa gratitude pour l’ensemble des services qu’elle a rendus au Canada.

« Les musulmans ont enrichi notre société et nous ont aidés dans de nombreux domaines.J’invite tous les Canadiens à participer aux programmes de ce mois, pour être informés sur ces services. La civilisation islamique n’appartient pas exclusivement aux musulmans mais à tous les Canadiens !», a-t-il clamé avec un lyrisme qui a profondément touché les musulmans et sied à ce mois d’octobre qui leur est dédié, enchanteur à plus d’un titre.

oumma via fdesouche

jeudi, 18 octobre 2018

Amsterdam : Une école publique remplace Pâques par la Fête du sucre des musulmans.

Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2018

Dans un bulletin d'information, l'école écrit que la fête chrétienne sera échangée contre "une plus grande attention aux différentes coutumes au sein des différentes cultures", au cours de laquelle on expliquera aux élèves ce qu'est la fête du sucre et pourquoi elle est célébrée.

L'école Theo Thijssenschool enseignera aux élèves d'autres cultures en célébrant différentes fêtes, cette année l'islam sera à l'honneur, c'est pourquoi le festival du sucre sera célébré lors d'un petit déjeuner commun, mais d'autres fêtes religieuses seront également abordées.

"Nous avons choisi d'accorder plus d'attention aux courants spirituels dans les années à venir afin que les enfants en sachent un peu plus et comprennent pourquoi quelqu'un peut croire en Allah, quelqu'un ne croit pas et l'autre croit en plus d'une divinité", explique une lettre sur le site de l'école.

L'annonce sur le site Web suscite pas mal de discussions et de réactions dans les médias et les réseaux sociaux. le conseil souligne dans la lettre qu'il s'agit d'une école publique, où tout le monde est le bienvenu, mais où il faut se comprendre les uns les autres,

Il y a aussi une raison pratique pour célébrer la fête du sucre, car Pâques tombe pendant les vacances de mai, c'est pourquoi il était prévu d'organiser le petit déjeuner plus tard dans l'année scolaire et de l'appeler petit déjeuner de printemps : "De toute façon, le petit déjeuner n'a aucun contenu religieux."

L'un des principaux objectifs du ministère de l'Éducation est que les élèves apprennent les principales questions relatives aux courants spirituels qui jouent un rôle important dans la société multiculturelle néerlandaise et que les élèves de l'école Theo Thijsenschool n'entendent donc pas seulement parler du Festival du sucre le printemps prochain,

At5.nl / Sceptr.net / Hartvannederland.nl

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

mardi, 09 octobre 2018

France : les conséquences de l’islamisation de l’école pointées par une note des services de renseignement

Publié par Guy Jovelin le 09 octobre 2018

Auteur : Pierrot


Capture-1.png

« Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes » disait Bossuet. La France est, avec la complaisance des politiques, colonisée un peu plus chaque jour par différents peuples musulmans. En augmentation croissante, la oumma commence progressivement à mettre la pression pour imposer aux Français ses interdits religieux. Les enfants des élites cosmopolites ne se mélangent pas au peuple, et sont scolarisés dans des établissements épargnés par la volonté farouche des musulmans de nous voir les servir. Le point de non retour est proche.

Europe 1 a pu consulter en exclusivité une note ultra-confidentielle des services de renseignement, reçue par le cabinet du président de la République, du Premier ministre et de Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’Education nationale, sur les signalements de cas de communautarisme musulman dans les établissements scolaires.

Des cas parfois extrêmes. Si le nombre des faits rapportés est stable, les motifs sont de plus en plus inquiétants. Certaines choses ne sont tout simplement plus faisables dans toutes les écoles, pour des motifs religieux. L’exemple le plus frappant, le plus nouveau, signalé dans cette note, est celui d’élèves qui refusent d’avoir cours dans des classes comportant du mobilier rouge, jugé « haram », c’est-à-dire interdit par le Coran. Cet exemple remonte d’un établissement du Nord de la France.

La note mélange différents types de cas, plus ou moins préoccupants. Selon elle, certains enfants refusent de dessiner des représentations humaines (un interdit religieux formel pour de nombreux musulmans). D’autres se bouchent les oreilles quand on passe de la musique en classe, et de jeunes garçons refusent de donner la main à une petite fille. Par ailleurs, les enfants pratiquent le ramadan de plus en plus jeunes, et cela peut poser des problèmes dans l’organisation des cours. À Troyes, des élèves de 6ème ont refusé d’aller à la piscine avec leur classe de peur de « boire la tasse et de casser leur jeûne ».

Les repas, moment de crispation. De nombreux incidents sont d’ailleurs liés à la question des repas. Dans les Bouches-du-Rhône, certains élèves refusent de déjeuner à côté de ceux qui mangent du porc. Dans un collège de Saint-Denis, lors d’un voyage scolaire où on s’apprêtait à servir du poulet et des frites au repas, un incident est survenu. « Sur une cinquantaine d’élèves, 35 d’entre eux ont refusé de manger la cuisse de poulet qui leur était proposée au dîner, parce que ce n’était pas halal. Nous n’avions pas été prévenus, donc nous avons jeté ces 35 cuisses de poulet et ils n’ont mangé que des frites », raconte Yannis Roeder, leur professeur d’histoire.

Plus préoccupant, en Seine-et-Marne, des élèves musulmans sont aussi stigmatisés par d’autres élèves parce qu’ils mangent de la nourriture ordinaire (non halal) à la cantine. De même, dans le Nord des élèves musulmans sont insultés par d’autres élèves musulmans quand ils mangent des produits qui ne sont pas halal.

De nombreux signalements. Pour certaines familles, il est inconcevable que leur enfant ne mange pas halal, même l’espace d’une semaine. De fait, en Haute-Savoie par exemple, certaines écoles n’organisent plus de séjours en classes de neige, parce que c’est devenu « ingérable », selon elles.

Il y a quelques mois, l’Education nationale a mis en place une plateforme permettant à un enseignant qui se trouve face à une question touchant à la religion de recevoir une réponse, un soutien dans les 24 heures. Elle enregistre environ 30 signalements par jour.  


Source : contre-info