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mercredi, 14 novembre 2018

France TV pour les jeunes : « Avant j’étais hétéro, puis bi, puis gay, puis re-bi… c’est normal ? Non, la norme n’existe pas et c’est tant mieux »

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2018

Mis à jour le 14 novembre 2018 Auteur par Pierrot
contre-info

bourrage de crâne,france tv

Le bourrage de crâne des peuples et en particulier de la jeunesse, s’accentue à mesure que les Français perdent les derniers repères moraux et civilisationnels. Ci-dessous, une vidéo incroyable du service public (France TV slash) à destination de nos adolescents. C’est de la propagande digne des pires cauchemars d’Orwell, diffusée par une chaîne financée à 100% par les impôts et taxes obligatoires. 

francetv slash@francetvslash
 
 

"Avant j'étais hétéro, puis bi, puis gay, puis re-bi... c'est normal ?"

Non, la norme n'existe pas et c'est tant mieux bourrage de crâne,france tv

 

 

voir la vidéo : https://twitter.com/twitter/statuses/1061189222965501952

JEUDI 15 NOVEMBRE SUR RADIO LIBERTÉS : Jean-Claude Rolinat NOUS PARLE DE "LA BOMBE AFRICAINE ET SES FRAGMENTATIONS"

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2018

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L'INTERVENTION DE JEAN-CLAUDE ROLINAT LORS DE LA 12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE (RUNGIS - 14 10 2018) 

 

Source : synthesenationale

Le violeur afghan de Budapest démontre l’incompatibilité culturelle

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2018

Les Afghans ne comprennent pas pourquoi le viol est interdit chez  nous

« Cette fille était consentante ! » a affirmé Ahmad Bilal Saf­radi, l’homme qui a violé une jeune stewardess de 22 ans, dans la nuit du 8 au 9 septembre 2018 à Budapest, dans les toilettes d’un fast-food, le kebabier « Tibi Atya ». D’après les caméras de surveillance, le viol a duré plus de 27 minutesEnsuite, Safradi a laissé repartir la jeune femme, il a pris l’argent de la caisse et il a pris la fuite. Il avait un logement dans la cité des enfants de Fot, entièrement gratuit pour lui. L’éducatrice qui s’occupait de lui a dit :

« Ce jeune, dont l’âge réel est incertain (ndlr : comme pour la majorité des mineurs requérants d’asile non accompagnés), a toujours été à  problèmes. »

Les jeunes Afghans ne comprennent pas pourquoi nous avons emprisonné leur compatriote : « Chez nous ce genre de choses se règle entre les familles. Si cette femme traînait dans la rue en pleine nuit et n’était pas couverte, il ne faut pas qu’elle s’étonne ! » (Ndlr : La jeune femme rentrait du travail, elle a juste eu besoin d’aller aux toilettes sur son trajet, c’est pourquoi elle s’est retrouvée en situation de proie facile.)

Ils croient tous qu’une femme seule est un proie à prendre

(image d’illustration)

Selon nos informations, Ahmad Bilal Saf­radi nie les accusations et sa ligne de défense est pour le moins surprenante : selon lui, il n’y a pas eu viol puisque la femme n’a pas demandé à être payée à la fin de l’acte sexuel. Qu’est-ce qui peut se cacher derrière ce raisonnement si curieux ?

« Ils ont un regard totalement différent de nous sur les femmes et les filles, à cause de différences culturelles et religieuses profondément enracinées en eux », explique Georg Spöttle, analyste politique à l’institut « Nézöpont ». (Ndlr : Spöttle a travaillé comme officier en Afghanistan, il parle le pachtoune et connaît bien la culture.)

Spöttle : « J’ai discuté avec de jeunes Afghans. Ils m’ont dit qu’ils considèrent comme des prostituées les femmes qui ne se couvrent pas, qui sortent seules en public, et attirent l’attention sur elles. Ils ont cette croyance erronée qu’une femme vertueuse se couvre le visage et se fait accompagner par une personne de sexe masculin, sinon, elle est une proie à prendre. En plus, pour les musulmans, les chrétiennes sont stupides comme du bétail, car elle ne croient pas en la promesse d’Allah... »

Voilà pourquoi ils ne considèrent pas comme un crime le viol de femmes européennes, et voilà pourquoi Ahmad Bilal Saf­radi croit qu’on lui reproche de ne pas avoir payé pour l’acte sexuel. Bien sûr, il sait que ce qu’il a fait est inacceptable chez nous, c’est pourquoi il a pris la fuite. Néanmoins, selon sa culture et ses traditions, le viol n’est pas un crime. Quant aux femmes musulmanes, ils les considèrent comme des objets du patrimoine, c’est pour cela que ses camarades MNA afghans de son foyer ont dit que ce genre de choses se règle entre les familles. Spöttle ajoute : « J’ai rencontré des hommes afghans qui ont laissé mourir leur épouse malade car cela aurait coûté plus cher de la faire soigner que de prendre une nouvelle épouse. »

Pour eux, c’est la faute de la femme si elle a été violée

Le dossier d’Ahmad Bilal Safradi comprend également deux cas d’attentat à la pudeur, commis au centre de Budapest (exhibant son pénis en croisant des femmes, ceci accompagné de gestes). Comme il est sous protection du droit d’asile et qu’il a 18 ans selon ses documents d’identité (bien que son âge réel soit inconnu), il sera jugé comme un jeune adulte.

En Afghanistan, les femmes ont une interdiction totale de sexualité hors mariage et si le mari s’aperçoit que sa femme n’est pas vierge lors de la nuit de noces, il peut la tuer, les autorités fermeront les yeux. Les femmes ne laissent pas voir leur corps, leur visage, et même évitent qu’on parle d’elles, et ce sera en général la faute de la femme si elle est victime de viol.

Ils surjouent leur ignorance des lois européennes

Clara Marton, dans son étude sur l’intégration des réfugiées afghanes, a écrit que passé 15 ans, elles ne supportent plus de s’habiller à l’occidentale (minijupe ou décolleté) et ne se marient qu’entre Afghans. Un ado afghan lui a dit que s’il regardait une fille afghane, le père de la jeune fille le tuerait et tuerait également sa propre fille. Pour eux, les filles afghanes sont tabou, mais pas les filles chrétiennes.

Selon la loi islamique, la charia – qui est la source du droit dans bien des régions d’Afghanistan – la femme a besoin de quatre hommes de bonne réputation pour témoigner qu’elle a été victime de viol. Si elle n’arrive pas à réunir ces conditions, cela signifie, si c’est une femme seule, qu’elle a forniqué et a sali l’honneur de la famille et sa bonne réputation, et si c’est une femme mariée, cela amène le divorce.

Il se peut que Ahmad Bilal Safradi « surjoue » le fait qu’il ne sait pas ce qu’il a fait de mal, tout en sachant que ce n’est pas autorisé par les lois hongroises. Mais c’est un fait que dans son pays, la vision du monde, de la femme, du bien, du mal, est totalement différente. Tout cela ne l’excuse pas, bien entendu.

Source : – Nem értik az afgánok, miért tilos nálunk a nemi erőszak

Traduction Cenator pour LesObservateurs.ch

 

Un ami d’une victime du 13 Novembre : « J’ai la haine de ceux qui crachent sur la France et des politiques qui ont laissé le fanatisme islamiste se développer »

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2018

Par  le 13/11/2018 
 

Depuis trois ans, je pense à lui chaque jour qui passe sans exception, le matin quand je me lève et le soir quand je me couche.

Mon expérience de prof d’histoire-géo dans les Yvelines m’avait beaucoup appris sur une bien inquiétante réalité: celle du développement d’une société quasi parallèle composée de personnes qui pensent autrement, sans être nécessairement radicales d’ailleurs.

Lors de nos échanges, Guillaume trouvait mes inquiétudes exagérées, certaines remarques extrêmes même. Il avait peut-être raison mais je n’avais pas tort. J’ai enseigné en collège et en lycée de zone « difficile » et même plusieurs années en milieu pénitentiaire. Je refuse le terme de zone défavorisée, elles ne le sont pas et, dans la Manche où j’ai grandi, comme Guillaume du reste, j’ai vu des zones rurales vraiment défavorisées. Arrivé à 23 ans en banlieue, à Mantes-la-Jolie, j’ai vu un monde que je ne soupçonnais même pas et que mes amis restés en province ont encore du mal à percevoir, presque encore du mal à me croire.

(…) Je sais faire la part des choses et je sais que les liens entre banlieue, islamisme et terrorisme sont complexes. Mais ils existent et je les ai vus. Beaucoup affirment ne pas avoir de haine, ce que je peine à comprendre mais que je respecte. Moi je ne peux pas. Depuis trois ans, j’ai de la haine, profonde. La haine de ceux qui ont lâchement tué mon copain et tant d’autres malheureux depuis et qui ont meurtri la vie de tellement de personnes. La haine de ceux qui troublent nombre de mes nuits. La haine de ceux qui les soutiennent, je les ai vus. La haine de ceux qui ne les condamnent pas franchement, je les ai vus. La haine de ceux qui crachent sur la France et les Français, je les ai vus. Mais aussi la haine de ceux qui, responsables politiques de tous bords, ont laissé le fanatisme islamiste se développer et gangréner des territoires entiers depuis tant d’années. Ils sont en grande partie responsables.

(…) HuffPost.fr via fdesouche

Radicalisation : les maires seront informés des risques dans leur commune

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2018

Par  le 13/11/2018 
 

Le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner doit signer mardi une circulaire permettant aux maires d’être informés des risques de radicalisation islamiste sur leurs communes. C’était une promesse faite en mai par Emmanuel Macron lors du congrès des maires de France.

Il y a trois situations majeures dans lesquelles un maire pourra recevoir de l’information

– Un maire pourra ainsi être informé du risque encouru sur sa commune lorsqu’il organise un événement.

– Il sera informé du suivi des personnes qu’il a lui-même signalées aux autorités. « Jusqu’à présent le maire pouvait signaler, il n’avait aucun retour. Je souhaite que systématiquement, quand un maire donnera une information, il puisse avoir un retour précis sur son information », a dit le ministre sur BFMTV.

– Un maire sera également informé des risques de radicalisation d’agents publics lorsqu’il s’agira de « postes sensibles » comme un employé de crèche ou un éducateur.