Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 31 juillet 2018

Le billet de Franck Timmermans Que lire cet été ? Pour la détente… comme pour la formation… évidemment !

Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2018

franck timmermans,que lire cet été

Petite liste non exhaustive de livres anciens ou récents très recommandables ou utiles à relire.

  • À tout seigneur tout honneur, sur notre transat l’excellent Un Chemin de Résistance de notre Président Carl Lang ,que vous commanderez de suite à l’éditeur Synthèse nationale.
  • Ensuite, les Mensonges historiques du regretté Jean Bourdier (Ed. Dualpha) car oublier son Histoire, comme admettre sa falsification, c’est perdre son identité et sa liberté de penser.
  • Très utile aussi Ce que nous sommes du Collectif Iliade (Pierre-Guillaume de Roux).
  • Indispensable relecture de l’Enquête sur les Anges d’Anne Bernet (Perrin). Admirables et jouissifs : Les Grands discours parlementaires (Armand Colin) et aux heures historiques  Ainsi parlait la France (Ed J-C Simoën) ; les relire équivaut aussi à se former à la modestie. De la même veine, vous assaisonnerez vos adversaires avec le très croustillant le Bouquin des méchancetés et autres traits d’Esprit de F-X Testu (Bouquins, R. Laffont).
  • Pour défier les Khmers LGBT et MeToo, lisez absolument Épouse-la et meurs pour elle et Marie-toi et sois soumise les deux livres irrésistibles de Costanza Mirano (Le Centurion).
  • Un roman de racines et de nostalgies La Nuit d’après d’Yves Viollier (Presses de la Cité). Excellent aussi mais très actuel Dans son cœur sommeille la vengeance de Sonia Mabrouk (Plon). Un essai passionnant également sur la guerre des Boers L’Or, l’Empire et le Sang de Martin Bossenbrock (Seuil). Autre guerre oubliée, celle dévastatrice des Taï Pings en Chine avec cette bio de Caleb Carr, Le Diable Blanc (Pockett). Guerre civile aussi avec La Vendée-Vengé de Reynald Secher (Perrin). Pour mieux démythifier Chavez (et aussi Mélenchon), lire « Les Derniers jours du Commandant, ou la gauche surréaliste au pouvoir, d’Alberto Barreta Tyszka (Gallimard). Lire aussi le récit historique de la reconquête d’une cité musulmane d’Aragon 1064, Barbastro, guerre sainte et djihad en Espagne de Philippe Sénac et Carlos Corbera (Gallimard). En cette décadence cinquantenaire, n’oubliez pas le livre excellent d’Yves Chiron L’Église dans la tourmente de 1968 (Ed. Artèges). Ni de relire l’instructif Les Journées de mai 1968 de François Duprat (Nouvelles éditions latines).
  • Question biographies, vous choisirez le Maréchal De Lattre de Pierre Pelissier (Perrin), le grand Vendéen du débarquement en Provence. Ou celle Il était une foi Mermoz de Bernard Marck (Ed. Jean Piccolec), héros de l’aviation mais homme aussi de combats et de convictions. Chez le même éditeur, vous essaierez de dénicher l’éloquent et sulfureux Bouteflika : une imposture algérienne de M. Benchicou, livre de fait interdit en Algérie.
  • À ne pas oublier dans vos bagages, le livre de Jean-Claude Rolinat La Hongrie sentinelle de l’Europe (Ed. Synthèse nationale).
  • Les amateurs en survivalisme apprécieront et se formeront avec Survivre à l’effondrementéconomique et Rues barbares, survivre en ville de Piero San Giorgio (Ed. Le retour aux sources). Question sources, vous exhiberez sur la plage Vive le Latin ! de Nicola Gardini (Ed. de Fallois) pour afficher modernité et tradition. Avec le Latin, n’oublions pas de sauver le second degré, menacé lui aussi par les nouveaux Conventionnels, en lisant En finir avec l’Ironie ??? de Didier Pourquery chez Laffont.
  • Pour l'Histoire de notre camp, procurez-vous chez Synthèse nationale le Guide sulfureux du Paris trac et facho de Patrick Parment dans lequel vous retrouverez toutes les adresses où s'est écrite le nationalisme. Enfin, pour le plaisir des anecdotes, vous pouvez lire aussi  Incroyables rencontres entre personnalités que rien (ou tout ?) ne prédisposait à cela (de Michel Richard, chez Tallandier). Comme quoi, seul l’improbable est probant. Comme en politique.

Le gouvernement est incapable d’endiguer la délinquance, mais Schiappa veut verbaliser le « harcèlement de rue »

Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2018

Auteur : Pierrot
contre-info

délinquance,harcèlement sexuel,schiappa,

Tout est bon pour détourner le Français des véritables problèmes de notre pays. La police déjà incapable de stopper les violences liées aux banlieues africanisées, serait désormais en mesure d’appliquer efficacement cette loi ? Cette mesurette ne changera rien au quotidien des femmes agressées dans la rue, mais elle alimentera la propagande du gouvernement en direction de la frange féministe de ces électeurs.

Comme si le principal problème des femmes dans  Dans un entretien accordé au Parisien, la ministre déplore ne pas être surprise par la vidéo publiée ce week-end dans laquelle une jeune femme est frappée au visage par un homme devant un bar parisien. « La réponse politique doit être forte et elle l’est. Dans le projet de loi qui doit être adopté en fin de semaine, il sera établi qu’importuner, suivre, menacer une femme… est interdit », affirme Marlène Schiappa.

Les premières amendes devraient être mises en automne

Dans le nouveau projet de loi, la palette de comportements condamnables sont élargis (commentaires, sifflements, regards appuyés, propos sexistes, suivre dans la rue…) seront répréhensible d’une amende de 90 € à 750 €. En cas de circonstances aggravantes, elle pourra atteindre jusqu’à 3 000 €, en plus d’un stage de civisme. « Il n’y aura évidemment pas un policier derrière chaque femme, comme il n’y a en pas un derrière chaque panneau Stop. Le temps de la promulgation de la loi, les premières amendes devraient être mises à l’automne. Il s’agit de poser un interdit social clair et de l’accompagner de pédagogie », estime Marlène Schiappa.

Source : Valeurs Actuelles

L’Inde envisage de déchoir 4 millions de personnes de leur nationalité

Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2018

Auteur : Pierrot
contre-info

déchoir,inde,musulmans,nationalité,

Selon Le Figaro : L’Inde envisage de déchoir quatre millions de personnes de leur nationalité dans l’Etat d’Assam (nord-est), selon un projet controversé présenté aujourd’hui et qui est accusé de viser la minorité musulmane. Les autorités, qui disent vouloir lutter contre l’immigration illégale depuis le Bangladesh voisin, ont présenté un projet de Registre national des citoyens (NRC).

Il recense les habitants de l’Etat d’Assam qui ont été capables de prouver que leur présence remontait à avant 1971, année où des millions de personnes s’y étaient réfugiées en provenance du Bangladesh en pleine guerre d’indépendance. Des craintes se sont toutefois manifestées de voir les nationalistes hindous –l’Assam est gouverné depuis 2016 par le Bharatiya Janata Party (BJP) du Premier ministre Narendra Modi– profiter de ce recensement pour s’en prendre à la minorité musulmane dans cet Etat.

Plus de 30 millions de personnes avaient demandé à figurer sur la liste. Mais un peu plus de quatre millions n’ont pas été retenues dans le projet de NRC, a déclaré lors d’une conférence de presse Shailesh, le chef de l’état-civil indien qui n’utilise qu’un seul nom « Aucun vrai Indien ne doit s’inquiéter parce que toutes les opportunités leur seront données d’inscrire leur nom sur le NRC définitif », a-t-il dit à Guwahati, la plus grande ville de l’Etat.

Il a précisé que ceux qui ne figuraient pas sur la liste pouvaient faire appel selon « une procédure dûment établie » à partir du 30 août. La liste d’état-civil définitive doit être bouclée en décembre. « Nous allons fournir une aide à quiconque ne figure pas dans la liste et souhaite formuler une réclamation à ce sujet », a-t-il ajouté. L’Assam est le seul Etat indien à établir un registre de citoyens.

Des organisations de défense des droits de l’Homme ont fustigé ce processus, en estimant qu’il rappelait le sort tragique des Rohingyas, devenus la plus grande population apatride du monde après avoir été privés de leur nationalité birmane en 1982.

L’organisation Avaaz, basée aux Etats-Unis, a affirmé que les procédures d’appel étaient inefficaces et que les personnes déchues de leur nationalité n’auraient pas le temps de former un recours. « Ce ne sont que les musulmans qui vont devoir se lancer dans un appel compliqué et injuste, sans droit à un conseil, avec aucun espoir de rester s’ils perdent », a déclaré dans un communiqué Ricken Patel, le directeur général d’Avaaz.

Les habitants de l’Assam doivent prouver que leurs ancêtres figuraient soit dans le précédent registre d’état-civil de l’Etat établi en 1951, soit sur une des listes électorales publiées avant le 24 mars 1971 –date de l’indépendance du Bangladesh.

 

Source : contre-info

lundi, 30 juillet 2018

Le burkini, une histoire belge pas comme les autres…

Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2018

SN Burkini.jpg

La chronique

de Philippe Randa

À Gand, le tribunal de première instance a rendu deux jugements pour le moins surprenants : aucune piscine publique n’aura en effet le droit d’empêcher les dames de se baigner en burkini… alors que le port du short pour les hommes (et pour les femmes, parité oblige !) reste, lui, prohibé pour des raisons d’hygiène ou de sécurité !

Le motif fourni par l’administration flamande vaut son pesant de frites car elle aurait « des preuves scientifiques qu’il n’y avait pas de problèmes dans ces domaines », rapporte le site LesObservateurs.ch.

Des preuves scientifiques d’hygiène ? On veut bien croire qu’une femme musulmane n’a pas plus de raison que toute autre croyante de négliger son hygiène (et de respecter celle des autres), mais que vient donc faire la science là-dedans ? Et quelles pourraient bien être les preuves scientifiques (sic !) permettant de conclure que les porteurs de short seraient moins propres que les autres ?

Néanmoins, tous les Belges n’entendent pas se soumettre à cette décision judiciaire loufoque : l’échevin d’Anvers N-VA (Nouvelle Alliance flamande, premier parti à la chambre des représentants) Fons Duchateau, est entré en résistance, affirmant que « l’interdiction du burkini ne doit pas être fondée sur l’hygiène et la sécurité », mais « parce que nous n’en voulons pas en fonction de nos normes et valeurs sociétales. »

De son côté, la secrétaire d’État à l’Égalité des Chances Zuhal Demir (également N-VA), considère que ce vêtement représente « une provocation volontaire » contre l’égalité.

L’administration flamande apportera-t-elle des preuves scientifiques du contraire ? Plus sûrement, comme aurait pu chanter Jacques Brel :

Faut vous dire, Monsieur,

Que chez ces fonctionnaires-là

On ne prouve pas, Monsieur

On ne prouve pas, on juge…

Lisez EuroLibertés cliquez ici

 

Source : synthesenationale

Affaire Benalla ? Non ! Affaire Macron et affaire "Ve République"

Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2018

 

ob_27ba53_macron-benalla.jpg

Jean-François Touzé

Membre du Bureau politique du Parti de la France

Contrairement à ce qu’il est de bon ton d'affirmer, l'affaire Macron/Benalla sur les péripéties quotidiennes de laquelle il n'est pas utile de revenir ici, ne constitue pas, factuellement et par elle-même, une affaire de première importance. Elle est, en revanche et à coup sûr, sinon une affaire d'État (pour cela il faudrait qu'il y en ait un), une affaire de régime. Une de plus.

Au-delà de l’étrange personnalité du principal protagoniste, de sa proximité avec Emmanuel Macron et de la protection qui en découlait, cette affaire resterait subalterne si elle ne confirmait pas ce que nous savions de la Cinquième République, ce que nous pressentions de celui qui en est aujourd'hui le Président, et ce que nous ne cessons d'affirmer de la piteuse condition de la classe politique française.

Conçue dans l'imposture et le mensonge, entrée en pratique dans la trahison et l'illusion, pérennisée dans l'aveuglement, la lâcheté, la procrastination et les scandales, cette Cinquième République a, depuis soixante ans, opéré une triple confiscation. Confiscation de la souveraineté populaire par une caste tentaculaire. Confiscation de L’État par une oligarchie consanguine. Confiscation de nos libertés par des institutions bancales mais totalitaires.

Élu par défaut sur la base de promesses de renouveau n'engageant que ceux qui voulaient les entendre, Emmanuel Macron qui prétendait à la fois incarner l’autorité gaullienne de la fonction et la proximité « moderne » avec les Français ne pouvait que s’épuiser rapidement dans cette recherche de l'impossible, à la manière d’un caméléon parcourant en tous sens un tissu écossais. Instabilité personnelle et fragilité sont depuis le début de ce quinquennat la marque d'une présidence hasardeuse, brouillonne et incertaine. Une grille de lecture qui met en lumière la faiblesse clinique et la puérilité politique d’un Président immature et paranoïaque que le besoin d’être rassuré conduit à jeter les bases d'une police parallèle et à resserrer toujours au plus près son réseau de fidèles dont faisait partie Alexandre Benalla, Rastignacaille ébroïcienne issue de la « diversité », éblouie par les lumières du Palais et enivrée de sa trop rapide ascension assurée par la grâce du Prince, apparemment friand de petites frappes.

Spectacle pathétique, enfin, que celui donné une fois de plus par la classe politique, majorité comme opposition, dans l’agitation et l’emballement de la chaleur estivale. De commission d’enquête pittoresque à l’Assemblée nationale, en dépôts de deux motions de censure folkloriques, en passant par la respectueuse frilosité des questions posées à la hiérarchie élyséenne et ministérielle contrairement à celles, bien plus inquisitrices, posées aux responsables policiers, la nomenklatura, par sa prudence et sa servilité d'une part, son agitation artificielle et stérile de l'autre, consolide ainsi l’opinion de nos compatriotes sur sa déconnexion d’avec la réalité des factions partisanes.

Il faut en finir avec cette Ve République, ses pratiques, ses méthodes, ses mystifications. Et d'abord en refusant de composer avec elle.

Pour le Parti de la France dont l'honneur est la constance de son combat, la fierté, son refus du Système et la force, sa cohérence politique, seule la fin de ce régime dépravé permettra à la France de se relever, dans ses forces reconstituées, ses libertés retrouvées et son identité reconquise.

Objectif : l’État national.

Source cliquez ici