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Natalie Weaver est la maman de Sophia, une petite fille atteinte du syndrome de Rett. Extrêmement rare, le syndrome de Rett est une maladie génétique qui se développe chez le très jeune enfant, principalement la fille, et provoque un handicap mental et des atteintes motrices sévères.
Natalie Weaver tombe un jour par hasard sur une photo de sa fille, utilisée pour promouvoir l'avortement. Sur Twitter, elle réagit :
"Cette fois, c'est trop. Cette personne n'a pas le droit d'utiliser la photo de ma fille pour promouvoir quelque chose d'aussi horrible".
Suite à la découverte de cette photo, Natalie Weaver a mobilisé l'ensemble de ses abonnés pour la faire disparaître le plus rapidement possible. Si dans un premier temps Twitter osait répondre à la maman que le tweet en question ne violait pas son règlement, celui-ci a finalement décidé de suspendre le compte de la personne à l'origine du post.
Depuis la naissance de Sophia, sa maman se bat pour l'insertion des enfants malades dans la société. Celle-ci souhaite avant tout montrer que malgré leurs différences, les enfants handicapés ont besoin de notre amour et méritent d'être traités comme tous les enfants. Natalie partage d'ailleurs régulièrement des photos de Sophia entourée de ses parents et de ses frères et soeurs. Des clichés pleins de tendresse qui émeuvent tous les internautes et qui prouvent que la famille de Natalie est une famille comme toutes les autres malgré le handicap de la petite fille.
Dolores O'Riordan, la chanteuse des Cranberries, vient de nous quitter à l'âge de 46 ans. Elle était opposée à l’avortement et déclarait en 1995 :
« Je ne suis pas en mesure de juger d’autres femmes, vous savez ? Mais j’ai envie de dire Idiote, pourquoi t’es-tu retrouvée enceinte ? C’est mauvais pour les femmes de traverser cette procédure et d’avoir un être vivant aspiré de son corps. Cela rabaisse la femme, même si certaines disent Oh cela ne me dérange pas de me faire avorter. Chaque fois qu’une femme avorte, elle broie son amour-propre un peu plus encore. »
The Icicle Melts, la chanson engagée pro vie des Cranberries :
« Il y a une place pour le bébé qui est mort (...) Comment as-tu pu blesser l'enfant ? Maintenant est-ce que cet acte te satisfait (...) »
"Crapules", "déchets de l'humanité", "cas irrattrapables"... Maeva Anissa s'est emportée mercredi sur Twitter après les critiques virulentes dont elle a fait l'objet. En cause : un message polémique de la chroniqueuse de l'émission Le Mad Mag diffusée sur NRJ12 remettant en cause l'avortement. "Je veux pas casser le délire de certaines filles mais vu comme ça même à 2 mois ça craint d'avorter", a écrit la jeune femme sur le réseau social en postant une photo représentant le corps d'une femme et un foetus au cours des neuf mois de grossesse.
Notamment interpellée par Gilles Clavreul, chargé de mission auprès du secrétaire général du ministère de l'intérieur, Maeva Anissa a tenté de se justifier avec des explications pour le moins étonnantes. "Hey j'ai le droit d'avoir un avis ? Une vie ? Une liberté sans que des matons du net viennent me casser la tête ???? MOI JE CONNAIS DES FILLES QUI AVORTENT 5 fois par mois !!!!!", a-t-elle posté, répétant que "l'avortement n'était pas une contraception".
Simone Jacob, épouse Veil, est donc morte en ce 30 juin, quelques jours avant son 90e anniversaire, la veille de la Fête du Très Précieux Sang, comme un symbole de celui qu’elle a fait verser. Peut-être vit-elle actuellement le sort que Jean Alessandrini lui réservait dans le premier tome des Contes d’Europe ? Terrassée par une crise cardiaque en plein conseil des ministres, elle serait condamnée par Dieu à errer dans les limbes jusqu’à la fins des temps, entourée par les millions d’enfants exterminés par sa loi (au bas mot 8,5 millions de petits Français liquidées par ses soins) et qu’elle doit consoler ? Hélas, si la miséricorde nous impose d’espérer pour elle qu’elle ait eu le repentir avant d’expirer, il est à craindre que le feu éternel ne la dévore, torturée par les anges maudits dont elle a accompli l’oeuvre de damnation.
Je laisse à mes confrères le soin de rappeler qui était cette femme, tout au plus me bornerais-je a rappeler qu’elle avait consterné ses fans à la fin de sa vie en participant à la Manif pour tous contre le mariage gay. Un peu comme si Dutroux manifestait contre les violences conjugales.
Quelques minutes avant d’apprendre sa comparution devant le tribunal divin (et ses talents d’avocate ne lui serviront à rien), je recevais un article de la féministe pro-avortement Nicole Valentine qui dans les colonnes de Medusa Magazine du 21 juin prône l’avortement pour la race blanche (dont elle ne fait pas partie) : « Femmes blanches, c’est le moment de faire votre travail ! Vos enfants blancs renforcent la société du suprématisme blanc qui vous bénéficie. Si vous prétendez être progressiste et que vous voulez donner naissance à un enfant blanc de votre propre choix, alors vous êtes hypocrite ». S’en suit un long laïus appelant à l’extermination des blancs.
Généralement, on remarque que les partisans de l’avortement sont les mêmes, exactement les mêmes, que ceux du métissage, de l’invasion migratoire, du communisme et de l’ordre moral républicain… Ce qui n’est que logique, puisque la haine de la vie est le moteur de cette idéologie démoniaque. Le Père Jean-Jacques Marziac disait dans son livre La Troisième guerre mondiale est commencée, mais Dieu règne que l’on était actuellement en pleine troisième guerre mondiale opposant les forces des ténèbres et celles de Dieu. Le dissident Henri de Fersan disait dans L’Eglise catholique et le nazisme que la Seconde Guerre Mondiale opposait les forces spirituelles aux idéologies matérialistes. Quant à la Première Guerre Mondiale, il s’agissait du combat entre l’Eglise et les Loges.
Comme le disait l’autre, un fait qui en rejoint un autre est une coïncidence, deux une présomption, trois un complot. La guerre est totale, sur tous les fronts, et aucune victoire n’est possible sans une désinfection totale de la société des miasmes qui la contaminent. Cela va sans dire, cela va encore mieux en le disant…
Pour finir, un petit intermède musical, approuvé par un prêtre de mes amis qui la considérait comme « un démon incarné ». Non, ce n’est pas un requiem…
La nouvelle administration Trump des États-Unis a refusé, jeudi 22 juin, d’approuver un paragraphe d’une nouvelle résolution du Conseil de l’ONU des droits de l’homme condamnant les abus et discriminations à l’encontre des femmes. Car tout en déplorant « la persistance et l’omniprésence de toutes formes de violence à l’encontre des femmes et des filles dans le monde« , ce texte est aussi un moyen de propagande pour l’avortement en tant que moyen de contrôle des naissances.
Dans le paragraphe non-ratifié par le représentant américain, le Conseil de l’ONU appelle en effet les pays à faire en sorte que leurs services de santé procurent aux femmes des soins « complets et de qualité concernant la sexualité et la procréation« , y compris « un avortement sûr lorsque de tels actes sont autorisés par la législation nationale ».
« Les États-Unis soutiennent pleinement le principe d’un choix volontaire concernant la santé maternelle et infantile et le planning familial »,
a déclaré Jason Mack, le représentant américain aux Nations unies.
« Mais nous ne reconnaissons pas l’avortement en tant que méthode de planning familial, et nous ne soutenons pas l’avortement dans nos programmes d’assistance à la santé en matière de procréation »,
a-t-il également ajouté.
Une décision qui choque les tenants de la culture de mort onusiens qui se cachent derrière une défense de la femme pour imposer l’avortement comme moyen de contraception.