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mercredi, 14 janvier 2015

Les banquiers rendent hommage à Charlie hebdo

 

 Publié par Guy Jovelin

« Je suis Charlie Nasdaq ». Des capitalistes qui rendent hommage aux anarchistes, marxistes et communistes. Il n’y a rien de très étonnant à cela, puisque les uns comme les autres sont favorables à la disparition des frontières.

Ainsi, après la tuerie de Charlie Hebdo, l’hebdomadaire « insolent », la finance internationale a tenu à rendre hommage à ces gentils trublions bien intégrés au Système.

Tandis qu’à New York, le Nasdaq (la bourse des valeurs numériques) affichait sa solidarité. Si avec cela, les anarchistes et autres communistes ne voient pas qu’ils ne sont en réalité que des jouets du Système (les partisans de Goldstein dans le roman de George Orwell intitulé 1984), il ne reste plus qu’à les euthanasier !

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jeudi, 08 janvier 2015

Médiateur gauchiste, journalistes complices, juges et politiciens coupables : comment le système a aidé Chérif Kouachi

 

Publié par Guy Jovelin

Chérif Kouachi, 34 ans, est le principal suspect de l’attaque contre Charlie hebdo avec son frère, Saïd Kouachi, 32 ans. Ils auraient été aidés par Hamyd Mourad, un islamiste de 18 ans qui s’est rendu hier soir à la police.

Chérif Kouachi et son frère ne sont pas des inconnus. Le premier a été condamné en 2008 à 36 mois de prison, dont 18 ferme. Une peine d’une incroyable légèreté pour une affaire d’association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste. Il avait été reconnu coupable d’avoir participé à une filière islamiste aidant au recrutement et à l’envoi de tueurs en Irak.

Ces deux occupants de Paris s’étaient islamisés au vu et au su de tous, à commencer par les autorités. Ils fréquentaient alors une mosquée de la rue Stalingrad, dans le XIXe arrondissement de Paris, l’un des quartiers les plus envahis de la capitale. Ils avaient alors intégré la cellule et s’étaient mis aux ordres de Farid Benyettou – qui n’avait écopé, lui, que de six ans de prison. Connu comme un salafiste appelant au meurtre, ce dernier avait pu durant des années multiplier les provocations – comme organiser régulièrement des prières de rue au début des années 2000, pendant que Nicolas Sarkozy était ministre de l’Intérieur – et pu mettre en place la cellule terroriste.

Le démantèlement de la cellule avait permis à Chérif Kouachi d’échapper au départ : il avait déjà acheté son billet pour la Syrie, d’où il devait rejoindre les groupes de terroristes en Irak. Après sa libération, il serait parti avec son frère dans les rangs des égorgeurs du Front al-Nosra, lié à al-Qaïda, où il a pu patiemment s’entraîner et se préparer à venir commettre des crimes en France.

Une vidéo, publiée à l’époque par France 3, montre la complicité de la totalité de l’establishment républicain, depuis un pseudo « animateur social » croyant au repentir de l’islamiste, en passant par son avocat, Me Vincent Ollivier, mentant éhontément devant les caméras :

« Mon client a été manipulé. Plus l’échéance de son départ approchait, plus il avait peur. Il ne savait plus comment sortir de cette situation. Il fume, il boit. Ce qui l’intéresse, c’est le foot. C’est une cible idéale[sic] pour les prêcheurs islamistes » affirmait-il. Les journalistes n’ont pas été moins complices, comme ceux de France 3 dans la vidéo ci-dessus, ou encore Patricia Tourancheau, qui écrivait en 2005, à propos du« fragile Kouachi » : « Me Ollivier retouche la carrure du tandem Bouchnak-Kouachi : « Le ministère public essaie de les relier à Ben Laden et Zarqaoui. Mais ce ne sont que deux jeunes de 22 ans qui ont pris un billet pour la Syrie, avec un retour. D’ailleurs, Chérif Kouachi ne cesse de remercier la justice de l’avoir mis en prison. Depuis, une boule a disparu de son ventre. » »

« La tentation du Jihad a bien failli le transformer en chair à canon. Le livreur de pizzas ne veut pas mourir à 22 ans » concluait la très inspirée journaliste du journal d’extrême gauche.

Les juges sont tout autant coupables, eux qui lui infligèrent une peine dérisoire, tout comme les politiciens n’ayant jamais pris la mesure des problèmes causés par l’invasion et l’ayant promue, imposée, contre la volonté du peuple français.

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