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lundi, 02 juillet 2018

Mali : attaque terroriste contre des soldats français de l’opération Barkhane (MàJ)

Publié par Guy Jovelin le 02 juillet 2018

Par  le 01/07/2018 

Daphne Benoit
 
@phnou
 

Attaque Gao: l’état-major français confirme une explosion au passage d’une patrouille de Barkhane et un « grand nombre de victimes civiles » mais dément la mort de soldats français annoncée plus tôt par les autorités maliennes


Des soldats français de l’opération Barkhane ont été visés dimanche par une attaque «terroriste» dans la région de Gao, dans le centre-nord du Mali, ont indiqué des sources militaires occidentale et malienne.

«Des militaires francais de l’opération Barkhane sont tombés ce dimanche dans une embuscade tendue par des terroristes à la sortie qui mène vers la localité de Bourem», a déclaré la source militaire occidentale. Une source militaire malienne a confirmé cette information

Les assaillants ont fait exploser une voiture piégée contre un ou deux véhicules blindés à bord desquels circulaient des éléments de Barkhane, a précisé l’une de ses sources. Une fusillade a suivi pendant plus de 15 minutes, a-t-elle dit à Reuters. «Il y a des morts et des blessés», a-t-elle affirmé.

Le Figaro via fdesouche

dimanche, 15 avril 2018

Une base française gravement attaquée au Mali le jour du bombardement de la Syrie par la France: un mort et des blessés

Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2018

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Une base française ainsi qu’un camp de l’ONU à Tombouctou, dans le nord du Mali, ont été la cible samedi d’une « importante attaque complexe » avec tirs de mortier et utilisation d’un « véhicule suicide ». Un casque bleu de l’Onu a été tué et plusieurs autres blessés. D’après le gouvernement malien, dix soldats français ont été blessés, alors que Paris n’a pas encore donné de précisions.

« Des terroristes portant des casques bleus et circulant à bord de deux véhicules chargés d’explosifs, l’un aux couleurs de l’armée malienne, l’autre portant les lettres ‘UN’ (ndlr, pour Onu), ont tenté de s’infiltrer dans ces camps », a précisé le gouvernement malien dans un communiqué. « La situation est à présent sous contrôle », ajoute Bamako. « Les combats ont pris fin vers 18H30 », plus de quatre heures après leur début, selon Bamako.

« C’est la première fois qu’il y a eu une attaque de cette envergure contre la Minusma à Tombouctou », a relevé une source sécuritaire étrangère. « C’est une attaque qu’on n’avait jamais connue », a confirmé un responsable du gouvernorat de Tombouctou.

Pendant ce temps l’armée française revenait de son coup en Syrie…

les chefs d’Etat major des armées française, américaine et britannique étant ce samedi, jour de l’attaque, entièrement préoccupés par les retombées de l’attaque de la Syrie la nuit précédente, le groupe qui a attaqué la base française ne pouvait pas choisir de moment plus propice pour réussir un grand coup. Ce qui n’a pas du tout été le cas de l’agression contre la Syrie par le trio de va-t-en-guerre qui n’a finalement réussi qu’à envoyer un pétard mouillé contre la Syrie et donner un signal fort en direction des djihadistes pour les encourager à continuer à se battre contre les pays anti-terroristes…

Il reste 4000 soldats français stationnés au Mali, auxquels s’ajoutent les casques bleus de la Minusma, la force de l’ONU. La Minusma comptait à fin mars 11.800 militaires et 1700 policiers au Mali.

Pendant que des terroristes islamiques tentaient d’assassiner les soldats français qui au Mali luttent contre le terrorisme islamique dont les premiers groupes en provenance de Libye sont venus y faire souche suite à l’agression de la Libye par Sarkozy, Emmanuel Macron tartarinait suite à l’agression de la Syrie quelques heures plus tôt. La Syrie qui, avec la Russie, est le pays qui lutte le plus efficacement contre le terrorisme islamique au Moyen-Orient.

Derrière le faux prétexte d’attaque chimique le complexe militaro-industriel 

Voilà un étrange paradoxe penserez-vous: La France attaque la Syrie anti-terroriste et se fait attaquer par des terroristes au Mali? Pas tant que cela si on cherche au-delà des apparences et des prétextes, les raisons réelles de ce bombardement de la Syrie, hier.

La France comme la Grande-Bretagne sont derrière les États-unis et la Russie les plus gros marchands d’armes du monde. Or la victoire des Russes en Syrie leur a offert une vitrine extraordinaire de l’efficacité des armes russes. Face à cela la défaite du trio France, Royaume-uni et USA sur le même théâtre de guerre leur est désastreuse sur le plan du commerce des armes. Il leur faut donc démontrer que leurs armes sont de taille à se mesurer aux armes russes. Quant à la guerre que mène la France au Sahel, jusqu’à présent elle n’a pas fait autant d’éclats que nous pourrions le souhaiter.

La guerre en Libye fut un succès pour le commerce des armes françaises

D’ailleurs c’est le seul avantage que la France avait retiré de sa guerre contre la Libye. Si sur tous les autres plans la guerre en Libye a été désastreuse pour la France et pour la paix, en revanche le fait que la France quasiment seule ait fait la guerre contre la Libye a été une démonstration grandeur nature des capacités de l’armée française, et les retombées ont été avantageuses du côté du commerce des armes et de la crédibilité stratégique de l’armée française.

Ce résultat en terme de gros sous pour l’industrie militaire a été concluant. Car ce fut un test grandeur nature qui a coûté en réalité très cher à la population française, puisque depuis, cette guerre a déstabilisé la Libye, ce pays riche et stable politiquement qui servait de tampon à l’immigration d’Afrique vers l’Union européenne. La chute du régime et le chaos qui s’en est suivi a ouvert les vannes à l’immigration musulmane de masse et au terrorisme islamique en France notamment. En effet les terroristes islamiques qui ont servi de piétaille aux pays occidentaux et notamment à la France, contre le pouvoir établi en Libye se sont trouvés désœuvrés après la fin de cette guerre libyenne et se sont répandus en Afrique vers le Mali et les pays alentours où, maintenant nos soldats se font tuer… mais M. Macron a préféré, hier, en remettre une couche !

C’est ainsi, tant que des pays comme les USA , la France et la Grande-Bretagne mettront les intérêts de leurs complexes militaro-industriels avant les intérêts de leur population, jamais ils ne se battront pour la paix.

Bon, d’accord, du côté d’Emmanuel Macron comme de Donald Trump et de Teresa May, l’enjeu de cette guéguerre n’était pas uniquement en faveur du complexe militaro-industriel, il y avait aussi les contestations internes desquelles il fallait détourner le regard des actualités… mais ces raisons circonstancielles tombaient à pic pour une tentative de pub en faveur des marchands d’arme qui commencent à s’impatienter…

 

Source : medias-presse.info

dimanche, 14 janvier 2018

L’État islamique dans le grand Sahara revendique l’attentat qui a blessé 3 soldats français au Mali

Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2018

Posté dans AfriqueOpérationsTerrorisme

 par Laurent Lagneau Le 13-01-2018

 

Le 11 janvier, trois militaires français ont été blessés (dont un gravement) lors d’une attaque suicide contre leur convoi menée avec un véhicule bourré d’explosifs (VBIED), sur l’axe reliant Ménaka à Indélimane, près de Gao, au Mali.

La date coïncidant avec le cinquième anniversaire du lancement de l’opération Serval, l’on pouvait penser que le Jamaat Nosrat al-Islam wal-Mouslimin (Groupe pour le soutien de l’islam et des musulmans – GSIM), une organisation qui réunit plusieurs groupes jihadistes ayant fait les frais de l’intervention française, allait revendiquer cette attaque.

Finalement, l’État islamique dans le Grand Sahara (EIGS) a envoué, le 12 janvier, un communiqué à l’agence de presse mauritanienne ANI pour « proclamer sa responsabilité » de l’attaque ayant visé les militaires français ainsi que de celle menée en octobre dans la région de Tongo Tongo (Niger), au cours de laquelle 4 commandos des forces spéciales américaines avaient été tués. Cette dernière n’avait jusqu’à présent pas été revendiquée.

« Les soldats du califat ont attaqué hier jeudi 11 janvier au petit matin une colonne de l’armée française avec un véhicule piégé », a ainsi affirmé l’EIGS, qui a, par la même occasion, revendiqué plusieurs autres attaques au Mali, au Burkina Faso et au Niger.

A priori, il s’agirait de la première attaque de l’EIGS contre la force Barkhane au Mali. Cette organisation est dirigée par Adnan Abou Walid Al-Sahraoui, un ancien membre du Front Polisario ayant rejoint le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao).

Après le rapprochement de ce dernier avec « Les signataires par le sang » de Mokthar Belmokthar pour former le groupe « al-Mourabitoune », Al-Sahraoui fit, en mai 2015, publiquement allégeance à Abou Bakr al-Baghdadi, le chef de l’État islamique (EI ou Daesh). Mais ce ralliement fut officiellement accepté 18 mois plus tard, c’est à dire en octobre 2016.

En décembre dernier, il a été rapporté que le GSIM et l’EIGS avaient noué une alliance. Ce qu’a confirmé un récent rapport des Nations unies sur la situation au Mali. « La MINUSMA [mission de l’ONU, ndlr] a reçu des informations selon lesquelles les deux groupes agissaient en parallèle et probablement en collaboration », y lit-on.

Apparemment, le GSIM se concentre sur le nord et le centre du Mali tandis que l’EIGS est surtout présent dans la région frontalière avec le Niger.

 

Source : opex360

mercredi, 09 août 2017

Mali : attentat d’Al-Qaïda contre des “croisés” français…

Publié par Guy Jovelin le 09 août 2017

Le 8 août 2017par 

Des “croisés (soldats français) ont été blessés dans cet attentat à la bombe revendiqué, dans un style aussi pompeux qu’inimitable, par Al-Qaïda…

 

Source : christianophobie

vendredi, 27 novembre 2015

Mali : un soldat français engagé dans l’opération Barkhane décède

Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2015

26 novembre 2015 par Pierrot

Un soldat français, membre des forces spéciales, est mort six semaines après avoir été blessé lors d’une opération dans le nord du Mali, a annoncé l’Elysée dans un communiqué ce jeudi matin.
«C’est avec une grande tristesse que le président de la République a appris la mort cette nuit d’un sergent-chef du commando parachutiste de l’air N°10 », explique l’Elysée dans son communiqué.

Mali

 

Source : http://www.contre-info.com/