Maria avait 19 ans. Par « amour », elle s’était convertie à l’islam malgré les avertissements de ses parents. Son corps a été retrouvé dans une forêt près de Berlin, lardé de coups de couteau et brûlé. Elle était enceinte de plusieurs mois, et ce serait parce qu’elle aurait refusé d’avorter que son ancien compagnon, un Turc comme l’Allemagne en abrite des millions, et l’un de ses congénères – qui a avoué – lui aurait porté plusieurs coups de couteau au ventre avant de la brûler alors qu’elle agonisait.
Il s’agissait au départ de l’un de ses beaux contes multiculturels comme le système aime les vendre aux enfants d’Europe pour leur faire accepter la disparition de leur propre race et de leur propre culture. Maria P. avait rencontré « l’amour de sa vie », un occupant turc musulman. Elle fréquentait alors avec plaisir le quartier envahi de Neukölln à Berlin, le mirage multiracial. Elle avait même décidé de se convertir à l’islam pour complaire à son « compagnon ».
Mais celui-ci n’avait absolument pas envie de se marier avec elle et ne voulait que profiter de l’une de ces Blanches détruites par le système. Et lorsqu’elle lui apprit qu’elle était enceinte, il avait voulu l’obliger à avorter. Malgré ses demandes répétées, elle a refusé de le faire. Quelques semaines avant l’accouchement, il est passé à l’action.
Jeudi, elle a été conduite dans la forêt de Köllnische Heide par ses deux tortionnaires. C’est là où ils lui ont porté deux coups de couteau au ventre. La jeune fille s’est débattue et pour se débarrasser d’elle, alors qu’elle était encore vivante – l’autopsie l’a confirmé – l’ont aspergée d’un liquide inflammable et ont incendié la jeune femme et son enfant à naître.
Ce cas est hélas loin d’être isolé dans l’Allemagne occupée de 2015. Il y a quelques mois, un Afghan à papiers allemand a assassiné sauvagement de plusieurs coups de couteau sa petite-amie blanche, qui était également enceinte. La justice lui a reconnu toutes les circonstances atténuantes possibles, osant déclarer qu’il était lui-même dans « une situation difficile à cause de son origine culturelle et religieuse ». Des psychologues sont déjà invités dans les médiats pour « expliquer » le crime, pour que chaque Allemand puisse comprendre que les meurtriers ne sont pas réellement coupables.
C’est la prime à l’invasion : si un Allemand commettait un crime de ce genre, tous les médiats d’Allemagne évoqueraient l’affaire, les occupants provoqueraient des émeutes – comme l’a prouvé le cas dernièrement de Dresde, où il s’est finalement avéré que l’assassin d’un jeune colon Érythréen était l’un de ses congénères –, et le coupable serait encore plus sévèrement puni. Si le coupable est étranger et la victime blanche, c’est le contraire.
« Qui peut faire une chose pareille ? » ose se demander un internaute, alors que le crime est signé.
Le maire de Berlin, un traître qui favorise chaque jour la haine de l’Allemagne et l’invasion, s’est ignoblement prétendu « choqué » de ce que lui et tous les républicains complices ont créé et organisé.
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