La réforme des rythmes scolaires, imposée par l’ancien ministre franc-maçon de l’Éducation “nationale” Vincent Peillon, validée par Benoît Hamon et reprise par la Marocaine Najat Belkacem, doit être généralisée à la rentrée dans toute la France. Décriée de toute part, la nouvelle ministre a réaffirmé qu’il n’y aurait aucun débat sur le sujet, aucune adaptation, usant d’un discours dictatorial rappelant les heures les plus sombres de notre histoire :
« La loi s’appliquera partout et il n’y aura pas d’exception. […] Je ne nie pas qu’il puisse y avoir des difficultés […] Toute réforme entraîne des frottements [sic] ici ou là parce qu’il faut s’adapter au changement. […] Je serai à l’écoute pour que les choses se passent au mieux. Mais je le dis, il y a une obligation scolaire, il faut que les communes respectent la loi et nous ne tolérerons aucune exception. La loi s’appliquera. Si ce n’est les maires qui l’appliquent, alors ce seront les préfets » a menacé la Maghrébine. Elle s’est par ailleurs totalement déchargée de toute responsabilité sur le dos des élus locaux : « Il relèvera des élus locaux que les choses se passent bien » a-t-elle osé avant-hier soir sur le plateau d’une chaîne de télévision privée.
Un sondage réalisé par l’institut CSA et publié hier témoigne de la profonde hostilité des Français à cette réforme, qui va en s’accroissant. Elle est considérée comme « mauvaise » par 60 % des personnes interrogé.
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