« Il existe des versions contradictoires, des questions se posent. Nous voulons savoir si la version de la police est confirmée par les bandes des caméras de vidéosurveillance situées à l’extérieur et à l’intérieur du commissariat. J’espère que le dispositif de vidéosurveillance n’a pas malencontreusement été victime d’une défaillance technique. Ce serait curieux » a déclaré Jérémie Assous, l’avocat de la famille du terroriste islamiste Bertrand « Bilal » Nzohabonayo. Ce dernier a blessé plusieurs policiers à coups de couteau le lundi 20 décembre à Joué-lès-Tours après avoir pénétré dans le commissariat de la ville. Selon les policiers, il avait caché un couteau dans son dos. Il était suivi par une cellule spécialisée dans les cas de radicalisation et son frère était connu comme un islamiste dangereux.
Malgré cela la famille nie les motivations du jeune criminel. Cette famille d’étrangers venus du Burundi, qui est issue des classes « supérieures » de la société burundaise, s’est attaché les services du très médiatique avocat Jérémie Assous. Il prétend s’appuyer sur deux « témoins » qui affirment que le criminel étranger avait été impliqué dans une altercation avec des policiers peu avant l’attaque.
L’autopsie comme l’examen des blessures subies par les policiers a pourtant confirmé la version des fonctionnaires de police. Jérémie Assous, lui, s’appuie sur une mauvaise photo publiée sur internet… Il s’appuie également sur le témoignage de ses parents, dont la crédibilité transparaît avec les propos de sa mère :
« Bertrand a toujours été un bon garçon [NDJN : rappelons que le gentil garçon était connu pour de nombreux crimes et délits, dont extorsion, vols, recel et trafic de drogues]. Mais en tout cas, je ne le croisais jamais dans une tenue musulmane, ou avec la grande barbe qu’on lui voit en photo. Je ne peux même pas l’appeler Bilal, le prénom musulman qu’il s’était choisi » a-t-elle déclaré, niant jusqu’à la réalité de photos et son inversion à l’islam. Lire la suite
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