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jeudi, 24 mars 2016

Plus d’Union Européenne, c’est plus de terrorisme

Publié par Guy Jovelin le 24 mars 2016

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Chacun se souvient des slogans des socialistes français pour faire passer ce qu’il est désormais convenu d’appeler «l’arnaque de Maastricht». En 1992, Martine Aubry claironnait : «L’Europe c’est plus de croissance, l’Europe c’est plus de prospérité, l’Europe c’est plus de sécurité». Mais en 2016, nous constatons exactement le contraire !

L’Union Européenne post-Maastricht, c’est moins d’Europe, c’est plus de misère insupportable pour tous les européens et c’est aujourd’hui plus de terrorisme. L’Europe se meurt de l’Union Européenne, car le projet de l’Union Européenne est précisément de faire disparaître l’Europe, ce qu’affirme le président hongrois Viktor Orban ce 15 mars 2016. Il ne s’agit pas là d’un paradoxe des mots, mais d’une arnaque portée par les mots de ceux-là même dont le métier est d’en jouer pour abuser les peuples.

Ainsi Viktor Orban, aux premières loges des mensonges de la commission bruxelloise peuplée de fonctionnaires hors-sol à la solde des lobbies économiques, déclare : «Le temps est venu de brandir les drapeaux des nations fières, le temps est venu d’empêcher la destruction de l’Europe et de préserver l’avenir de l’Europe. Le temps est venu de demander à tous les citoyens et toutes les nations européennes, quelle que soit leur affiliation politique, d’être unies, et de s’unir, car l’unité de l’Europe doit être rétablie. Oui, les dirigeants européens et leurs citoyens ne peuvent plus vivre dans deux mondes séparés».

Hors, s’il y a un dirigeant français complètement séparé du peuple français, c’est bien Manuel Valls, lui qui ne cesse d’aggraver la situation pas ses compromissions avec les lobbies communautaristes qui n’ont que faire de la solidarité nationale. Ainsi, il nous rabat les oreilles ce matin même avec un aveu inouï, parlant des terroristes : «Ils sont en nombre, c’est pour ça que la menace est d’une ampleur inégalée» !

Cela fait quarante ans que les socialistes organisent l’importation des communautarismes «terreau du terrorisme», et Manuel Valls découvre ce matin, ô surprise, qu’ «ils sont en nombre» puis que «nous faisons face à un pseudo-État particulièrement organisé avec des moyens avec des individus qui peuvent agir de manière solitaire» ! Mais d’où vient l’État terroriste de Molenbeek ? 100 000 habitants ! Est-il tombé du ciel ? Parachuté par le miracle d’une génération spontanée ?

Blâmons plutôt nos politiques, vendus impénitents qui nous conduisent à notre perte depuis quarante ans, et écoutons le général Soubelet qui déclare au même moment : «Nous sommes en guerre. En fait nous sommes en guerre depuis un certain temps. Cela fait très longtemps que ça dure (…). Évidemment c’est un sujet extrêmement important d’être en guerre. Et la guerre suppose des morts, évidemment. Donc je pense que nous devons adopter aujourd’hui une posture qui est celle de gens qui se battent».

Ce 15 mars 2016, le Président Viktor Orban interrogeait ses concitoyens Hongrois : «Serons-nous un peuple d’esclaves ou un peuple libre ?» Aujourd’hui, nous savons que notre classe politique est en guerre contre nous mêmes qui sommes le peuple français. Les fauteurs de guerre nous gouvernent. Ils sont fabriqué le terrorisme en Irak, en Lybie et en Syrie. Ils ne veulent pas l’Europe des peuples libres, mais une Europe de populations déracinées, abêties et soumises à la misère et à la peur, pour finalement transformer l’Union Européenne en une province peuplée d’esclaves à la solde du capital apatride. Qui serons nous demain si nous laissons Manuel Valls et ses semblables agir ?

Il ne nous reste plus beaucoup de temps pour sauver nos frontières, notre agriculture, et notre armée, peu de temps pour reconstruire notre industrie délocalisée, pour sauver nos familles avortées, pour sauver notre école instrumentalisée et pour sauver notre avenir solidaire en France. car plus d’Union Européenne, c’est moins d’Europe, c’est plus de casse sociale, c’est moins de libertés individuelles, c’est plus de racket fiscal, c’est moins de croissance et c’est plus de terrorisme.

 

Source : http://24heuresactu.com/

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