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dimanche, 07 août 2016

Ma nuit aux urgences d’un hôpital tiers-mondisé de la banlieue parisienne

Publié par Guy Jovelin le 07 août 2016

Publié le 6 août 2016 - par

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Dans la nuit du 4 août sur les coups de 3 h 30 du matin, j’ai eu la chance de faire une immersion aux urgences d’un hôpital d’une banlieue de l’est parisien.

Tandis que les pompiers, très efficaces et sympathiques, remettaient mon fils à l’équipe soignante chargée de lui remettre son épaule en place après une lutte malheureuse contre un moustique, il me fallait me rendre à l’accueil, accueil que je n’ai pas de suite repéré puisqu’il était plongé dans le noir.

J’ai poussé une porte sur laquelle était collé l’inévitable « Vigipirate » à usage purement décoratif puisque personne ne surveille les entrées du lieu où n’importe quel porteur de bombe peut pénétrer sans encombres. Mais il en va ainsi de la plupart des lieux où l’affiche est placardée.

J’ai avancé dans le noir jusqu’à un bureau derrière lequel se tenait un homme d’origine africaine, écouteurs plantés dans les oreilles. Face à lui, deux Africains en kami se tenaient assis, somnolant pendant que s’égrenaient les heures.

Le réceptionniste m’a proposé d’appuyer sur l’interrupteur derrière moi pour éclairer le lieu. C’était en effet plus pratique pour lire les renseignements sur la carte d’identité… Après quelques instants, la lumière s’est éteinte. J’ai à nouveau tendu le bras vers le bouton. A peine avais-je appuyé que l’obscurité est cette fois aussitôt revenue. Dans un gloussement commun avec mon interlocuteur, il m’a dit d’abandonner, que ça ne faisait rien, tout en tapant des choses sur son clavier.

Puis je suis allée m’installer dans une salle d’attente improbable, à mi-chemin entre l’hôpital de brousse et la cantine de l’ex RDA. La seule trace de modernité résidait dans un petit écran télé diffusant en continu des clips vidéos avec le son au maximum. Devant moi étaient assises trois Africaines dont une voilée, la plus âgée dormant, les deux autres tentant de faire de même.

Les peintures, alliant une heureuse association de gris et de marron du meilleur goût, étaient écaillées de partout, des papiers traînaient au sol. Je n’ai pu m’empêcher de penser à ces clichés de maternités algériennes dans un état déplorable. Le lieu où je me trouvais ne pouvait être celui d’un hôpital de France, à voir cet état de décomposition avancée, il n’y avait pas de doute, j’étais dans le tiers-monde.

Un couple est passé dans le couloir, une femme maghrébine entièrement voilée avec son barbu tenant une poussette. Le service de pédiatrie se trouvait en face de la salle d’attente. A un moment donné, j’ai entendu des cris de protestations puis une femme répondre d’un ton sec « calmez-vous, monsieur ! ».

Insupportée par les vociférations musicales de la télé, je suis sortie m’aérer un peu. Quelques personnes ont fait de même, les deux Africains en kamis, un médecin fumant sa cigarette, ainsi que deux juifs portant leur kippa.

Je remarquai trois ambulances marquées « Pédiatrie CHU Avicenne », l’hôpital des musulmans…

A l’intérieur, deux hommes passaient une serpillière qui semblait encore plus crasseuse que le sol. Mon fils m’a raconté un peu plus tard que l’un d’eux chantait du zouk à tue-tête à proximité de la salle de soins où il se trouvait…

Il m’a relaté aussi que la procédure consiste à endormir le patient au dernier moment (il n’en est pas à son premier déboitement d’épaule !). Or là, l’infirmière a commencé à lui poser le masque sur le visage dès son arrivée avant d’être stoppée in extremis par le médecin, lequel parlait un français mâtiné d’arabe faisant que mon fils n’a pas compris la totalité de ce qu’il lui disait.

Une fois les soins achevés, une infirmière lui a dit qu’il pouvait partir, sauf qu’il avait encore le cathéter planté dans le bras…

En le voyant sortir, j’imaginais le voir plâtré ou au moins avec un support de bras. A ma grande surprise, celui-ci n’était maintenu qu’avec un bout de tissu déchiré à la va-vite, large de 3cm. Comme je m’en étonnais, il m’a dit en riant que l’hôpital était en rupture de stock du matériel idoine et qu’il faudrait prendre RV pour en récupérer un. J’en restai estomaquée.

Nous avons quitté les lieux vers 4 h 30 du matin, à pied, lui en chaussons et torse nu, sans savoir où nous nous trouvions précisément, sans transports en commun pour rentrer, sans âme qui vive dans la rue. Par chance, un taxi est passé par là…

Caroline Alamachère

 

Source : ripostelaique

Deux policières belges attaquées à la machette au cri de « Allah Akbar »

Publié par Guy Jovelin le 07 août 2016

Police demonstration

Va-t-on une fois de plus nous parler d’un acte d’un « déséquilibré » ?

En Belgique, deux policières ont été blessées à la machette ce samedi après-midi dans le centre de Charleroi par un individu criant « Allah Akbar ».

Les faits se sont produits à proximité du commissariat de police de Charleroi. L’agresseur a été blessé par balle par un troisième policier et serait décédé selon la télévision flamande VTM.

L’une des victimes souffre de plaies profondes à hauteur du visage et est hospitalisée. La seconde n’est que légèrement blessée. 

 

Source : medias-presse.info

Le terrible message de Martine Aubry : vivons cloîtrés pour vivre à genoux

Publié par Guy Jovelin le 07 août 2016

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Caroline Alamachère Riposte laïque cliquez ici

Les attentats se multiplient sur notre sol ces derniers temps, avec leurs wagons de victimes. Le point commun de ces attaques meurtrières est qu’elles se font au cri de « Allah akhbar ! » par des guerriers obéissant tous aux commandements coraniques médinois abrogeants, selon une technique pratiquée déjà en son temps par leur inventeur Mahomet. La preuve en est que les auteurs tués se font enterrer selon le rite musulman, que ce soit chez nous ou dans un pays d’origine qui ne les a généralement pas vus naître.

C’est en raison de ces attaques islamiques massives que Martine Aubry vient d’annoncer sa décision d’annuler la Braderie de Lille en septembre, événement mondialement prisé, en raison « des risques que nous n’arrivons pas à réduire ». Quel aveu d’impuissance alors qu’il suffirait de bouter hors de France les fichés S et autres déséquilibrés, radicalisés en prison ou ailleurs.

La maire de Lille avoue donc redouter un attentat d’individus faisant partie de la communauté qui a permis son élection au poste qu’elle occupe. Elle a une responsabilité dans le choix de cet électorat spécifique qu’il convient de traiter avec des égards particuliers, avec des pincettes, en gardant les fesses surtout bien serrées. Martine et ses amis socialistes ont voulu et mis en place cet électorat remplaciste par mépris du prolétariat de base ayant perdu en rentabilité.

La ville avait prévu d’interdire les bombonnes de gaz, stigmatisant par là la communauté islamique, ce type d’attaque étant leur signature la plus connue. Il est donc clair, au moins, que ce n’est clairement pas une attaque de skins d’extrême droite vêtus de t-shirts « #JeSuisJean-Marie » que redoute Mme Aubry-Brochen.

En 2006, elle disait pourtant trouver « génial » d’avoir 35% de Maghrébins dans sa ville, ajoutant qu’elle s’emmerdait ferme avec des gens « tous pareils ». Comprenez avec des Français de racines, car on présume qu’elle ne s’ennuierait pas au Ghana où les gens sont pourtant là aussi tous pareils… Mais ces remplaçants qui l’inquiètent tant aujourd’hui, ceux qu’elle a tant appelés de ses voeux sont, pour certains, aussi dangereux qu’une cargaison de nitroglycérine dans une camionnette circulant sur un chemin caillouteux.

La preuve est une fois encore faite que la France est en état de guerre, occupée par des islamistes comme elle l’était en 39-45 par les Allemands, unique période de cessation dans toute l’histoire de la Braderie (entre 39 et 44), vaste brocante puisant sa première édition au Moyen-Age puisqu’on l’évoquait déjà en 1127, rien de moins. Au XIIe siècle, les valets y vendaient les anciens objets et vêtements de leurs maîtres.

Quelle sera la prochaine étape ? Le couvre-feu à 18h ?

Cet événement est important et son annulation montre l’ampleur des conséquences des attentats terroristes. Ce sont nos traditions populaires qui sont remises en cause.

La gay pride reste autorisée, et Paris Plage bat actuellement son plein sans même de fouille de ceux qui s’y rendent. Une journée Burkini se tiendra à Marseille avec un millier de participantes, et le Tour de France n’a pas été interdit malgré l’afflux de curieux tout au long du parcours. Et que dire de l’Euro et de ses nombreuses fanzones ! A croire que certains évènements seraient plus à risques que d’autres, alors que l’attaque peut surgir à tout moment là où on s’y attend le moins. Par ailleurs, les transports en commun continuent de circuler, y compris à Lille. N’importe quel taré peut entrer sans problème aux urgences d’un hôpital pour y faire un carton sans croiser le moindre vigile malgré une grosse affichette « Vigipirate » à l’entrée. L’accès au Forum des Halles est une vaste blague. Le vigile regarde votre sac d’un œil torve et vous laisse passer quoiqu’il contienne.

L’annulation d’un événement aussi réputé et ancien revient à se coucher devant l’ennemi, à lui offrir son postérieur abaissé en signe de soumission, à se dhimmiser pour mieux se rendre à lui, à lui faire allégeance, à lui donner les clés de la ville de Lille, celles de la France.

Selon le président de la branche des professions saisonnières de l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie, cette annulation revient à « abandonner une partie de notre liberté ».

Les islamistes doivent être contents, ils n’auront même pas besoin de se lever tôt pour bosser à leurs desseins, le règne de la terreur se met en place tout seul. Vivons cloîtrés pour vivre à genoux.

« Même pas peur » qu’ils disaient ! Tu parles ! L’islam gagne, les jours des « mécréants », des « kouffars », sont comptés. Mme Aubry en a sa part de responsabilité. Les graines de cette terreur qui la gagne soudain, c’est aussi elle qui les a semées.

Les Lillois ne pourront pas vider leurs greniers ni récupérer quelques piécettes, les acheteurs ne feront pas d’affaires et ne se délecteront pas de moules-frites, les commerçants qui comptent sur la Braderie pour faire du chiffre en seront pour leurs frais. En 2015, pas moins de 2,5 millions de visiteurs s’étaient déplacés.

Bref. Une fois encore, une fois de plus, avec l’interdiction de la Braderie de Lille, la république en place asservit son peuple en le vendant au plus offrant. « El fath », la conquête, se met en place partout. La France devient terre d’islam et d’interdits.

Merci aux vendus qui la dirigent.

 

Source : synthesenationale