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mercredi, 22 mars 2017

Affaire Théo : et si ce n’était qu’une vaste fumisterie ?

Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2017

par 21 mars 2017 

Rebondissement dans l’affaire Théo : sa version craque de tous les côtés ! La soi-disant pauvre victime de violences policières modifie son témoignage. « Des contradictions sont apparues avec les images de vidéosurveillance. Des approximations pointées d’ailleurs par la juge d’instruction chargée du dossier.» révèle aujourd’hui Le Parisien qui a eu accès à la dernière audition de Théo. MPI, en s’appuyant sur des informations policières mais occultées par les grands médias, n’avait par attendu jusqu’à maintenant pour remettre en cause la version Théo. Là se situe la différence entre un média de réinformation et un média de désinformation !

Le Parisien, qui n’ose écrire que Théo a fabulé, écrit fort pudiquement : ces contradictions « ne remettent en cause ni la réalité de la blessure ni sa gravité, mais relativisent la qualification de viol et la thèse des vêtements baissés. »

En clair, et en seulement quelques mots, de viol par les policiers point ! De vêtements baissés, point ! Et point c’est tout… Théo, toute sa famille et des banlieues en colère ont, pour le coup, avec force violences, vandalisme, et dégradations, protesté pour un fait que l’on ne peut reprocher aux forces de l’ordre. Et notre président normal François Hollande s’est déplacé au chevet d’un affabulateur.…

Le Parisien relate :

« Les policiers ont-ils volontairement baissé le pantalon puis écarté le caleçon de Théo, ce jeune homme de 21 ans, grièvement blessé d’un coup de matraque télescopique, le 2 février dernier à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) ? Cette affaire dramatique a choqué la France, entraînant la mise en examen de 4 policiers dont un pour viol et provoquant plusieurs nuits d’émeutes dans les banlieues. (…) »

« Le 3 mars dernier, dans le bureau de la juge, le jeune homme reprend le déroulé des faits. La magistrate lui relit ses premières déclarations datées du 2 février. Un fonctionnaire lui aurait «enfoncé le bâton dans les fesses après avoir écarté le caleçon sur le côté» pendant qu’un autre lui «tenait les jambes», un troisième le maintenant «légèrement incliné debout». Cependant, sur la base des vidéos et des constatations effectuées sur le caleçon percé de Théo, la juge remet en cause cette version d’un sous-vêtement écarté au préalable. Lui explique ne pas se souvenir d’avoir mentionné un tel fait. «Comme je vous l’ai dit, la première audition, je n’étais pas en état», se défend Théo, précisant que la commissaire avait insisté pour qu’il témoigne et qu’il n’avait pas relu le procès-verbal.

S’agissant du pantalon, son témoignage évolue aussi. La magistrate note qu’il porte ce jour-là un jogging très lâche, au point qu’il laisse largement voir le caleçon. «Sur la vidéo, fait- elle remarquer, on voit que vous marchez en approchant des lieux, vous remontez votre jogging, et que vous le portez très bas. Est-ce exact ?» «Si tu ne serres pas ton pantalon avec le cordon, logiquement il se descend tout seul. Et puis je prends mes pantalons en XL, ce n’est pas ma vraie taille», concède Théo. Et de poursuivre : «Quand l’un des policiers m’a attrapé, mon pantalon a glissé.» «Ils tiraient vers le bas quand même, mais je ne pense pas que c’était volontaire, précise-t-il. Ils essayaient de me maîtriser. Et comme mon pantalon n’était pas bien attaché, il tombait.» Une certitude aujourd’hui : les policiers n’ont pas écarté volontairement le caleçon de Théo, ni arraché son jogging, ainsi que nous l’écrivions dès le 9 février. »

Le Parisien, pour ne pas totalement perdre la face comme les autres médias du système d’ailleurs qui ont tous soutenu mordicus la thèse de Théo et fait monter les tensions en France, -de vrais petits pyromanes-, conclut

« Il reste maintenant à savoir si le policier a enfoncé la matraque volontairement. Selon le rapport de l’IGPN, la police des polices, «la finalité et les conséquences de ce geste n’étaient pas intentionnelles car il visait la cuisse pour faire plier la jambe de l’intéressé». Théo reste persuadé du contraire. »

Et si la vérité était ailleurs ? Et si la véritable version de toute cette sale histoire était celle parue sur MPI le 3 mars dernier ? Un règlement de compte brutal de caïd de la drogue qui ont réglé son fait au probable indic « Théo » ?

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

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