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dimanche, 01 juillet 2018

La politique d’immigration australienne: modèle à suivre ou déshonneur?

Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2018

Par  le 30/06/2018

 

Au moment où les populistes anti-immigration ont le vent en poupe en Europe et aux Etats-Unis, l’Australie se vante de sa propre politique draconienne, stratégie controversée mais efficace qui a largement dissuadé les migrants de gagner ses rivages.

Depuis l’adoption par les conservateurs au pouvoir de cette ligne dure envers les clandestins voici cinq ans, Canberra s’est attirée à la fois des louanges et des dénonciations acerbes.

Jusqu’alors, des migrants désespérés originaires d’Afghanistan, du Sri Lanka et du Moyen-Orient prenaient la mer à partir de l’Indonésie pour débarquer quasi quotidiennement sur les côtes septentrionales de l’immense pays. (…)

Toulouse : Une église profanée par des militants LGBT

Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2018

 
 
 
 
La chapelle Notre-Dame du Férétra a été victime des bombes de peintures de militants LGBT, à Toulouse. Des slogans appelant à la profanation ont été découvert samedi matin. 

Les militants LGBT s’en prennent aux catholiques. Samedi matin, des graffitis ont été découverts sur les murs de l’une des plus anciennes chapelles de Toulouse. Notre-Dame du Férétra, qui accueille plusieurs centaines de fidèles chaque dimanche, suivant la messe dans le rite traditionnel, enseigné par le pape Pie V, au XVIe siècle, a été victime de dégradations sur son édifices. Plusieurs tags ont été découverts en fin de semaine. Le premier est une injonction selon les militants LGBT qui auraient supposément commis ces actes : « Satan punit les homophobes ». Sûrement une vérité révélée dans un sacro-saint écrit laïco-homo-transsexuel.

Sur un second tag, dévoilé par Autan-Réinfo, une menace est clairement écrite noire sur blanche – enfin sur rose, selon la couleur des briquettes de l’édifice. « Église en feu », « sale prêtre », peut-on lire. Une menace d’une profanation programmée ?

Cette chapelle n’est pas anodine dans l’histoire de Toulouse. Elle a accueillit la dépouille de saint Thomas d’Aquin en 1225. Une nuit durant, le corps du docteur de l’Église a été veillé avant d’être mené jusqu’au couvent des Jacobins, où sont encore visibles ses reliques.

C’est donc une ancienne chapelle, située place Saint-Roch, à l’entrée du quartier Empalot, qui a été victime de personnes malveillantes. Mais qui sont-ils ?

L’enquête avance petit à petit. Si les auteurs ne sont pas identifiés, leur profil ne laisse guère de doute. Un fidèle, ayant constaté les dégradations, confie à Infos-Toulouse : « Ce sont des anarchistes et des militants LGBT. Sur les murs, en plus des slogans pro-gays, il y a le symbole des anarchistes ».

 

Source : infos-toulouse