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mercredi, 12 septembre 2018

Plus d’un Français sur quatre n’aurait pas assez d’argent pour manger des fruits et légumes frais

Publié par Guy Jovelin le 12 septembre 2018

Auteur : admin4
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C’est le progrès…

« Alors que le gouvernement doit annoncer jeudi son plan pauvreté mis au point par la ministre des Solidarités et de la Santé Agnès Buzyn, le Secours populaire publie mardi les derniers chiffres de son baromètre sur la précarité, réalisé pour la onzième année consécutive. Cette année, le sondage se penche particulièrement sur l’alimentation. Ainsi, 86% des personnes interrogées estiment qu’éprouver d’importantes difficultés pour manger sain et équilibré représente un signe de pauvreté, révèle cette enquête de l’institut Ipsos.

La plupart des sondés estiment que l’alimentation est une poste de dépense problématique dans leur budget. Dans le détail, 27% d’entre eux disent rencontrer «un peu» ou «beaucoup» de difficultés pour manger des fruits et légumes frais tous les jours, 22% pour consommer du poisson au moins une fois par semaine. Pire, plus d’une personne sur cinq (21%) admet avoir du mal à se procurer une alimentation saine lui permettant de faire trois repas par jour. Payer la cantine des enfants représente également un obstacle financier pour 19% des personnes. La viande, dont la consommation a reculé de 12% en dix ans dans l’Hexagone, ne représente un problème financier que pour 17% des Français. » 

 

Source et suite lefigaro

Quand la gauche cherche à justifier le meurtre de ses opposants

Publié par Guy Jovelin le 12 septembre 2018

Lu dans Présent :

Unknown-31"[L]e 6 septembre, le candidat de droite à l’élection présidentielle brésilienne, Jair Bolsonaro, un député et ancien militaire de 63 ans, a reçu un coup de couteau qui lui a perforé l’abdomen lors d’un meeting à Juiz de Fora (200 km au nord de Rio). La blessure, qui a également touché le foie, est profonde de 12 cm et l’homme politique a perdu deux litres de sang avant de subir une opération de deux heures qui l’a tiré d’affaire, mais qui le met hors de campagne pendant deux mois. La police a rapidement arrêté, avant qu’il ne soit lynché, Adelio Obispo de Oliveira, un socialiste de 40 ans, qui a pour idole Nicolas Maduro, et qui clame que c’est Dieu qui a conduit son couteau.

Commentant l’événement, l’ex-présidente socialiste destituée et ancienne terroriste, Dilma Rousseff, a déclaré en substance que Bolsonaro n’avait reçu que ce qu’il méritait…

Maintenant, les médias officiels européens racontent sur Jair Bolsonaro tout et n’importe quoi, noircissant à souhait un personnage haut en couleur et au verbe franc qui ne leur convient pas. Il est considéré comme « le Trump brésilien » (une insulte sous leur plume) ou « le Trump des tropiques », et il est regardé comme « le candidat de l’extrême droite », sinon pire, c’est-à-dire qu’il pense que c’est la terre qui tourne autour du soleil et non l’inverse. Son slogan de campagne n’est pas fait pour arranger les choses aux yeux de ceux qui aiment à se faire peur : « Le Brésil avant tout, et Dieu au-dessus de tous ! »

Parmi ses autres crimes, Bolsonaro promet d’être dur avec les criminels et les corrompus et, rendant à César ce qui est à César, reconnaît qu’avec la dictature militaire de 1964-1985, le Brésil a connu une période de paix sociale et de prospérité. Opposé à l’avortement, au « mariage » homosexuel et à l’immigration sauvage, il est en faveur de la peine de mort et de la castration chimique pour les violeurs, il a été désigné « l’élu le plus haineux et le plus misogyne de tous les pays démocratiques. » Pour ne rien arranger, ses modèles proclamés sont le général Pinochet et Donald Trump.

A un mois des élections prévues le 7 octobre, et avec les deux principaux candidats hors campagne – l’un derrière les barreaux et l’autre sur un lit d’hôpital – la plus complète incertitude règne sur le pays. Avant son agression, Bolsonaro était crédité par l’institut de sondage IBOPE de 22 % d’intentions de vote, tandis que ses plus proches rivaux, l’ex-ministre de l’environnement Marina Silva et le gauchiste Ciro Gomes, étaient crédités de 12 % chacun ; l’ancien gouverneur de Sao Paulo, Geraldo Alckmin, était crédité, lui, de 9 % ; et le candidat du Parti des Travailleurs et colistier de Lula da Silva, Fernando Haddad, de 6 %. La grande inconnue demeurant la destination des quelque 30 % de votes (hors ceux de Fernando Haddad) que devait recevoir l’incarcéré Lula."

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

C'est psychiatrique...

Publié par Guy Jovelin le 12 septembre 2018

CaptureMichel Onfray était interrogé hier soir sur BFM TV, sur le thème de l'islam de France. A 39mn10, le philosophe athée répond à une question sur l'islam et ses attaques terroristes avec un bel amalgame :

"[...] évidemment qu'il faut avoir des problème psychiatrique pour croire que quand on égorge quelqu'un en criant allah akbar on va récupérer une dizaine de vierges au paradis, mais c'est psychiatrique, aussi, de croire que Jésus peut naître d'une mère vierge, mourir et ressusciter le 3e jour [...]"

Il n'a pas tout à fait tort, puisque le sacrifice d'un Dieu sur la croix ne peut être vu que comme une folie pour les païens :

"nous prêchons un Christ crucifié, scandale pour les Juifs et folie pour les Gentils" [1 Corinthiens 1.23]

Mais que Michel Onfray ne se croit pas à l'abri de la folie, comme le dit l'auteur du psaume 14 :

"L'insensé dit dans son cœur : " Il n'y a point de Dieu !... ""

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige