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vendredi, 14 septembre 2018

Nimes: « Allah akhbahr » MAIS ce n’est pas un terroriste!

Publié par Guy Jovelin le 14 septembre 2018

Encore un déséquilibre qui a foncé dans la foule à Nimes a crié « allah akhbahr » lorsque des passants l’ont extirpé de la voiture. Parait que des passants l’ont « molesté », son avocat pourra demander des dommages et intérêts!

Mais attention: Surtout, surtout, pas d’amalgame: Le pauvre chauffeur est malade, selon la declaration du collabo de service: Dans un état de « relative confusion mentale » lors de son interpellation, l’homme a été hospitalisé, a ajouté le procureur.

Une enquête pour tentative de meurtre a été ouverte et confiée à l’antenne de Nîmes du SRPJ de Montpellier. La piste terroriste est écartée mais les premiers éléments de l’enquête permettent de retenir un acte volontaire, relate encore Midi Libre.

https://www.ledauphine.com/france-monde/2018/09/14/nimes-...

Source : reseaulibre

Contre le négationnisme- drame Rapatriés d'algérie -1962

 

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Contre le negationnisme- drame Rapatriés d'algérie -1962

"Puisque l’on parle d’AUDIN, je suis très étonné (en réalité pas du tout…) que pas un journaliste n’ait rappelé le nom des décideurs responsables politiques de l’époque :

- - François Mitterand était ministre de l’Intérieur du gouvernement Mendès France, de 1954 à 1955 (lorsque certains assassins de FLN furent guillotinés) puis ministre d’État de la Justice dans le gouvernement de Guy Mollet (socialiste) jusqu’en juin 1957.

- - Lors de l’arrestation d’AUDIN en juin 1957, le Pdt du Conseil était BOURGES-MAUNOURY, radical de Gauche, le Ministre des Armées était MORICE, radical de G, le ministre de l’intérieur était GILBERT-JULES, radical de G et le Ministre de l’Algérie était LACOSTE, Parti socialiste.

C’est bizarre, il n’y avait aucun « extrémiste de droite », aucun « fasciste », aucun raciste, aucun traditionaliste intégriste, et même aucun nazi…

Maintenant une autre initiative que serait aussi intéressante à voir Photo en pièce jointe.

Malheureusement ce n’est pas pour demain.

Les fabuleuses économies du gouvernement Philippe

Publié par Guy Jovelin le 14 septembre 2018

Ah, sapristi de saperlipopette, quelle évolution depuis le mois de juin ! Rappelez-vous, c’était ce mois où, frappé d’une lucidité minutieusement calculée, le président Macron « découvrait » que les dépenses de l’État représentaient « un pognon de dingue » pour, en face, un résultat franchement médiocre…

Après cette fugace prise de conscience, on s’attendait donc à la mise en place de mesures en rapport : allait-on lancer des économies drastiques ? Allait-on auditer les services de l’État et des administrations pour les remettre au niveau de l’argent prélevé ? Allait-on commencer à couper dans les services les moins utiles, les fonctions les plus discutables, les rentes les plus établies et les moins justifiées ? Allait-on se concentrer, enfin, sur l’essentiel et laisser tomber les palettes de superflu ?

Il y avait, on le comprend, mille et une façons de procéder.

Dans ces mille et une façons, insister pour le prélèvement à la source, le Pass Culture ou les limitations à 80 km/h échappe quelque peu à la logique d’ensemble. En revanche, envisager fermement de réduire la voilure considérable de l’État un peu partout dans la vie du citoyen, sur le territoire ou au travers de ses millions de taxes, cerfas et règlements rigolos, cela rentre parfaitement dans ce cadre.

On ne sera dès lors qu’assez peu étonné de lire de temps en temps l’annonce d’une suppression de postes dans l’une ou l’autre administration du Leviathan. Et dernièrement, à la faveur d’un remaniement ministériel écolo-propulsé, on a appris la volonté du chef de l’État de supprimer 1600 postes au ministère des Sports.

Comme de bien entendu, la nouvelle a fait l’effet d’une catastrophe majeure : tout indique, « étude » d’ « économiste » à l’appui, que ce nombre est bien trop élevé, que le ministère ne s’en remettra pas et que le sport, en France, va péricliter dans un petit couic misérable si jamais ces suppressions devaient effectivement avoir lieu.

Parallèlement, c’est avec la même stupeur et la même panique lisible dans les yeux humides de toute la politicaillerie française qu’on découvre qu’est conservé – malgré tout – l’objectif initial de supprimer 120.000 postes de fonctionnaires d’ici la fin du quinquennat de Macron.

Coupes sombres abominables, austérité sans précédent, destruction de nos services publics, privatisation effrénée, « on est à l’os » : aucune expression ne nous sera épargnée pour bien faire comprendre l’ampleur de ce véritable massacre de la fonction publique !

Et quand bien même les uns et les autres s’accordent mollement à dire qu’il faudra pourtant faire des économies quelque part, tant les gabegies, les dettes, déficits et autres dérives comptables s’empilent dans le pays depuis trop longtemps, personne en revanche ne semble prêt à se retrousser les manches pour mettre en place la moindre mesure concrète de réduction des dépenses. Les coupes de personnel, c’est un peu comme les éoliennes : c’est moche, ça fait du bruit et personne n’en veut dans son pré carré.

Du reste, le nombre de 120.000 postes semble gros mais cache pourtant l’essentiel : la fonction publique, en France, c’est plus de 5.4 millions d’individus, soit 1 emploi sur 5 en France (oui, 20%). La suppression, parfaitement hypothétique à ce stade, de 120.000 postes représente un petit 2.2% en quatre ans, ce qui est tout sauf énorme et se traduit essentiellement par un non renouvellement des départs à la retraite. Question douleur, ce sera en réalité fort modéré.

D’autant que les années passées, la masse salariale dépendante de l’État et de ses administrations nationales ou locales n’a pas cessé d’augmenter, et dans des proportions qui font passer ce 2.2% très ponctuel comme une aimable plaisanterie au regard du cumul, années après années : en 1980, l’emploi public ne représente alors que 17,5% de l’emploi total (pour moins de 4 millions d’agents concernés) et il lui a donc fallu grossir pour dépasser les 5 millions et les 20% de l’emploi total.

 

En comparaison, les 1600 postes du ministère des sports ou les 120.000 destinés à disparaître sur les quatre prochaines années paraissent bien timides.

Et ils le resteront : en pratique, il n’est qu’à voir les précautions oratoires déjà utilisées pour tempérer ces ardeurs dégraissantes pour comprendre qu’il y a fort loin de l’objectif affiché à la réalisation concrète : ces réductions ne sont pas « l’alpha et l’omega » de la politique gouvernementale, et puis de toute façon, une majeure partie de ces réductions devraient être opérées par les collectivités territoriales qui – comme c’est commode – ont une certaine liberté d’administration. Ce qui veut dire que pour la partie nationale, rien n’est écrit dans le marbre, et pour la partie locale, attendez-vous à de gros ajustements.

 

En somme, l’État obèse va peut-être faire un effort, mais ce n’est pas dit. Et vous reprendrez bien un peu de dette ?

Apeuré par le départ précipité de Hulot, Macron n’a pas voulu tenter le diable en s’opposant à Philippe et Darmanin au sujet du prélèvement à la source. Tout comme les mesures idiotes sur la limitation à 80 km/h finiront par coûter cher au pouvoir en place, cette « réforme » qui prend de plus en plus tournure en méforme fiscale va provoquer la colère de beaucoup de Français qui pourront tester, en direct, la puissance de l’État informaticien lorsqu’il calcule et ponctionne l’impôt.

Ainsi, plutôt que de vraies réformes de fond (et de fonds), courageuses et profondes, Macron s’est rapidement embourbé dans les bricolages technocratiques propulsés par Philippe, sa clique énarchique et les pesants ronds-de-cuir l’accompagnant (dont Darmanin représente l’archétype frisé). En lieu et place d’une sévère cure d’amaigrissement de l’État, Macron s’est très promptement rangé aux mesures les moins piquantes, les pilules les plus faciles à faire passer. Sabre au clair et monté sur son petit poney électoral, il a vaillamment trottiné les premières semaines de pouvoir, mais s’est épuisé bien vite. À présent, le voilà broutant en rase campagne, déclamant des discours creux croyant que ceux-ci intéressent la prairie autour de lui.

Au bout d’un an, la République qui croule sous les dettes, les déficits, la perte de repères et les abandons de toutes parts est à nouveau orpheline de toute volonté de remettre les choses d’équerre. Les objectifs fixés en début de quinquennat sont tous revus à la baisse les uns après les autres, passant de modestes à humbles et s’approchent maintenant du pusillanime avec une application qui frise la psychiatrie lourde.

De même qu’il n’y a pas davantage de réformes que de simplification de quoi que ce soit, il n’y a pas davantage d’économie et d’austérité que de beurre en broche. La fête continue, sans faiblir.

Dès lors, ce pays est foutu.

 

Source :ndf

Montauban (82) : Un collégien fiché S interpellé pour vouloir faire le djihad

Publié par Guy Jovelin le 14 septembre 2018

 
collégien
Un adolescent de 16 ans a été interpellé mardi 11 septembre. Scolarisé en classe de troisième au collège Ingres, à Montauban, il est entendu au commissariat de Toulouse par les enquêteurs chargés de l’antiterrorisme.

Il n’a que 16 ans mais inquiète déjà les policiers depuis un an. Un collégien a été arrêté au domicile de ses parents, mardi 11 septembre, à Montauban. Sur ses réseaux sociaux, il pose habillé en combattant islamique et fait part de ses vœux de prendre part au djihad, en Afghanistan. Une enquête préliminaire a été ouverte pour « association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste » et est menée par le parquet antiterroriste de Paris.

Lire aussi : Des islamistes toulousains forment des enfants kamikazes

Selon le site La Dépêche, les enquêteurs de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) tentent de mettre au clair ses réelles déterminations de départ en zone afghane. Toujours selon le quotidien, le jeune adolescent, qui redouble cette année sa troisième, a expliqué durant ses premières auditions, vouloir partir en voiture au mois d’octobre ou novembre, vers le Proche-Orient. Si selon lui, tout est prévu, les spécialistes de l’antiterrorisme le soupçonnent de vouloir dissimuler un projet d’attentat dans la région ou en France.

Lire aussi : Toulouse est la deuxième ville abritant le plus d’islamistes

Fiché S depuis un an, il aurait lui-même révélé sa radicalisation à un membre du personnel du collège Ingres de Montauban. Il confiait s’être fait enrôler sur les réseaux sociaux. Une déclaration qui pousse le principal de l’établissement à donner l’alerte au plus vite. Le département du Tarn-et-Garonne compte une centaine de fichés S.

Le même jour, un individu majeur d’origine tchétchène a également été interpellé à Béziers.

La rédaction d’Infos-Toulouse. 

 

Source : infos-toulouse

Gastronomie. Esquisse de sociologie gastronomique à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 14 septembre 2018

   
gastronomie

Crédit photo : DR

Que serait le patrimoine français sans la gastronomie ? La ville de Toulouse n’est pas épargnée par l’implantation de restaurants promouvant la malbouffe. Et si cela avait une explication sociologique ? 

Voici que l’été touche à sa fin et les touristes rentrent chez eux. Encore cette année la France a pu rayonner par sa gastronomie. Cette culture de la table française remise à l’honneur durant toute la période estivale est-elle encore aussi présente dans le quotidien des toulousains ?

Toulouse reste encore un haut-lieu de la gastronomie du sud-ouest : ambiance chaleureuse, cuisine au canard : les adresses combinant la recette d’un bon repas ne manquent pas dans notre ville. Cependant, comme partout en France les enseignes y prolifèrent aussi. Ces monstres de la cuisine rapide et normalisée ne manquent pas, répondant seulement à une demande croissante. Qui aujourd’hui n’a pas encore côtoyé ces géants de la globalisation ou du repas sur le pouce ? Sacro-sainte réponse à un ventre qui grogne, une envie de gras, un planning ou un budget serré.

Dans le top 5 de la malbouffe en France

Toulouse n’a rien de bien différent des autres grandes villes. Mais, chose pertinente, on remarque qu’elle propose aujourd’hui des cuisines très hétéroclites souvent en adéquation avec le quartier où elles sont installées : adaptation à la population ? Par exemple, on trouvera entre le capitole et Wilson, espace où les diverses langues des visiteurs se mélangent, des enseignes de la globalisation culinaire : Mc Donald, Quick, Starbucks ; les Carmes, quartier plus historique voit quant à lui foisonner les petits restaurants, plus tristement, le boulevard de Strasbourg est colonisé de kebabs et autres mets similaires qui ont proliféré comme des champignons : on compte désormais 86 kebabs à Toulouse (soit 0.2 pour 1000 habitants). Toulouse fait désormais partie du top 5 des villes où le nombre de fast-food et de kebabs est le plus significatif, derrière Paris, Marseille et Lyon.

Cette répartition permettrait-elle d’attribuer une catégorie de population à un quartier grâce aux menus alentours ? D’aucuns diront que ce n’est pas suffisant, d’autres chercheront dès à présent un établissement avec une bonne cuisine locale pour se consoler.

Constance Pinatel


Malbouffe : classement des pires villes de France

Le site my-pharma.info a élaboré en janvier 2018 le classement complet des villes de France avec la plus forte présence d’enseignes de restauration rapide.

  1. Paris (385)
  2. Marseille (91)
  3. Lyon (90)
  4. Toulouse (65)
  5. Bordeaux (59)
  6. Montpellier (39)
  7. Strasbourg (38)
  8. Nice (38)
  9. Lille (38)
  10. Nantes (35)

Ainsi, à Toulouse, on décompte 13 restaurants McDonald’s, 11 Subway, 6 Domino’s Pizza, 4 Paul, 4 Mie Caline, 4 Starbucks, 3 Brioche dorée, 3 KFC, 3 La Croissanterie, 3 Speed Burger, 1 Pizza Hut, 1 Pomme de pain, 1 O’tacos, 1 Bagelstein. Le site Internet écrit aussi compter 5 Quick et 2 Burger King, mais la fermeture de trois Quick ont depuis annoncé leur fermeture en faveur de deux Burger King qui n’ont pas encore ouvert.

Combien de kebabs à Toulouse ? 

Le site internet s’est aussi intéressé au nombre de kekabs dans les principales villes françaises. 86 sont dénombrés dans la ville rose. C’est presque 0,2 pour 1000 habitants. https://infogram.com/kebabs-2018-classement-villes-franca...

  1. Paris (467)
  2. Lyon (132)
  3. Toulouse (86)
  4. Marseille (82)
  5. Nantes (77)
  6. Strasbourg (76)
  7. Lille (75)
  8. Montpellier (74)
  9. Bordeaux (59)
  10. Le Havre, Reims et Saint-Étienne (55)

Que fait la municipalité ? 

Dans un entretien accordé à Actu Toulouse en février 22018, Jean-Jacques Bolzan, adjoint à la mairie de Toulouse, explique lutter contre « les commerces communautaires » : « Dans le quartier Arnaud-Bernard, par exemple, il y a un nombre important de ‘commerces communautaires’ avec la présence de boucheries halal et de kebabs. L’opération ‘Commerce d’avenir’ permet d’apporter un peu de diversité : des commerces complémentaires à l’offre déjà existante. »

Lire aussi : Suivez le coq : le label d’établissements garantie non-halal

Concrètement, le pouvoir de la mairie est d’utiliser son droit de préemption. « Un Établissement public foncier local (EPFL) achète pour le compte de la ville des locaux commerciaux, les rénove, avant de les proposer à la location à des commerçants. Cela représente, en moyenne, un investissement de 70 000 euros. », explique l’élu.

 

Source : infos-toulouse