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La manifestation contre la loi travail qui a eu lieu jeudi a été émaillée d’incidents et de violences. Des affrontements entre les forces de l’ordre et des casseurs ont blessé huit policiers et quatre manifestants. Olivier, un CRS touché par un morceau de pavé et un cocktail Molotov, témoigne. « Un cocktail comme ça que vous recevez dans les jambes, vous sentez la chaleur vous brûler, j’ai cru que j’étais en feu« , a-t-il confié. L’homme a notamment « reçu un morceau de pavé dans la main droite » et a « ressenti immédiatement une douleur« . Le CRS a accusé les casseurs, qu’il a qualifié de « gens déterminés et armés« . Pour lui, « c’est criminel, on lance ça pour tuer ou pour blesser grièvement« .
15/09/2016
Ce jeudi 15 septembre, 1 200 policiers étaient mobilisés cet après-midi à Paris pour encadrer la manifestation contre la loi Travail. Elle a été marquée à nouveau par des violences, il y a eu des blessés et des personnes interpellées. « La manifestation a été émaillée de nouveaux incidents, notamment en toute fin de cortège lorsque les policiers ont donné l’ordre de dispersion. Des cocktails Molotov ont été jetés« .
Des meetings et manifestations se sont déroulés dans 110 villes à travers la France contre la loi travail. À Paris, la CGT a recensé 40.000 manifestants et la police 12.500. Des échauffourées ont éclaté. Un CRS a été brûlé à la jambe par un cocktail molotov.
[...] Un manifestant et cinq policiers ont été blessés, dont un CRS brûlé à une jambe, lors de la manifestation contre la loi travail jeudi à Paris, selon un décompte provisoire de la préfecture de police (PP). Treize personnes ont été arrêtées – dont deux pour violences sur agent de la force publique – avant et pendant la manifestation qui s’est déroulée sous la surveillance de 1200 policiers. Des échauffourées ont éclaté entre CRS et jeunes, avec des jets de cocktails Molotov, des tirs de gaz lacrymogène et des dégradations. [...]
Les CRS, aux ordres de la racaille gouvernementale, ont évacué ce matin, en pleine messe, l'église Sainte-Rita, promise à la destruction par la municipalité socialiste de Paris, enfonçant les portes, molestant les personnes qui assistaient à la messe et traînant par terre le prêtre célébrant la messe en latin.
A l'heure où les prêtres catholiques se font égorgés par des islamistes enragés dans les églises, on voit bien où se situent les priorités de la fange répugnante au pouvoir.
POLICE - Selon nos informations, un homme a été condamné à trois mois de prison ferme pour avoir menacé et insulté des CRS à l'atterrissage d'un avion. Les policiers ont découvert à son domicile plusieurs armes.
Un passager violent a été interpellé à l'aéroport de Lyon après avoir insulté et menacé les policiers.
Photo: BORIS HORVAT / AFP
Un passager a été condamné à Lyon en comparution immédiate, mardi 3 mai, à trois mois de prison ferme pour outrage, rébellion et menaces à l'encontre de policiers, a appris metronews de sources policière et judiciaire.
Les faits remontent au 1er mai. Les policiers de la police aux frontières (PAF) de Lyon sont appelés à l'atterrissage d'un avion pour une altercation entre un personnel naviguant et un passager. A l'arrivée, les échanges avec les policiers se tendent. Des CRS, en poste dans l'aéroport, sont appelés en renfort.
Perquisition
Interpellé non sans difficulté par les spécialistes du maintien de l'ordre, l'homme, résidant à Grenoble, lâche alors : "De toutes façons, ça va se finir à coups de kalachnikov". Placé en garde à vue, les policiers décident de perquisitionner son domicile, au regard de ses propos.
Sur place, ils découvrent un fusil, deux cagoules, une réplique d'arme de poing type Airsoft ainsi que des munitions. Outre les trois mois de prison ferme pour les insultes et les menaces, il doit comparaître prochainement, cette fois-ci devant le tribunal correctionnel de Grenoble, pour détention d'armes.
23/02/2016 – FRANCE (NOVOpress) Les unités des Forces Mobiles (CRS et gendarmes mobiles) sont tellement débordées que Cazeneuve est obligé de centraliser leur gestion pour sacrifier certaines de leurs missions.
C’est une information passée totalement inaperçue dans la presse généraliste , mais qui est pourtant d’une importance capitale : les unités de Forces Mobiles (Compagnies républicaines de sécurité et escadrons de gendarmerie mobile) cessent d’être gérées au niveau zonal et passent directement « sous l’autorité du ministre de l’Intérieur », via une unité de coordination au sein du cabinet du Directeur général de la Police nationale. Cette évolution fait suite à une étude soulignant que « l’augmentation croissante des missions de maintien de l’ordre » ne permettait plus de répondre aux besoins.
Concrètement, cela veut dire que les forces mobiles de police et de gendarmerie, saignées à blanc par la sécurisation de Calais, par les missions Vigipirate et par les innombrables troubles à l’ordre public, ne sont pas assez nombreuses pour répondre aux besoins. Le ministère de l’Intérieur se trouve donc contraint de rationaliser au maximum leur emploi, sacrifiant certaines missions. Dorénavant, les directives sont claires : dans une note adressée aux préfets, Bernard Cazeneuve demande « d’appliquer le principe de stricte suffisance des moyens engagés, de prioriser objectivement les demandes de renforts et d’évaluer […] la pertinence des dispositifs mis en œuvre ».
Débordé par la masse de désordres touchant la France, le ministère de l’Intérieur n’est plus capable de maintenir l’ordre et doit choisir quelles missions sont sacrifiables sans que ça ne se voie trop. Ce qui appelle, au vu de l’augmentation des tensions, à une interrogation primordiale : quand est-ce que les tensions seront telles que l’État ne pourra plus répondre, même aux missions prioritaires ?
Visez la gueule du gnome (directeur de cabinet du Préfet du Pas-de-Calais) qui jappait ses ordres aux mongoliens assermentés chargés de cogner sur les patriotes