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mardi, 18 décembre 2018

Universalisme islamique et droit-de-l’hommiste, même combat ?

Publié par Guy Jovelin le 18 décembre 2018

L'immigrationnisme onusien et sa propagande

Par Laurence Maugest, essayiste ♦ La Charia pour l’Islam et l’ordre mondial pour les Droits de l’Homme. Existe-t-il des points de convergence ? Pour Laurence Maugest, contributrice régulière pour Polémia, c’est indubitable.

L’idéologie des Droits de l’Homme a en commun avec l’Islam de se vouer à la création d’un homme « sur-mesure », « construit », corseté dans des règles.

La religion musulmane est une doctrine qui s’immisce dans la vie privée des pratiquants, dans ses moindres recoins, lavage de mains, nourriture,  relations sexuelles…Tout est indiqué dans un calendrier que le bon musulman doit suivre à la lettre.

Curieusement, nous sommes dans l’obligation de noter que l’idéologie des Droits de l’Homme, notamment par les principes de précaution qu’elle sécrète, suit le même chemin.En effet, cette “religion” laïque devient de plus en plus invasive dans nos univers et s’évertue, de jour en jour, à réglementer davantage notre vie intime. Tel l’Islam, les Droits de l’Homme entrent dans nos foyers : des fessées aux enfants, maintenant interdites,au contenu de nos frigidaires, nous obligeant par exemple, à privilégier les légumes et à proscrire de plus en plus la viande.

Ces « avancées » se font toujours sous les coups de butoir de la culpabilité et nous mènent systématiquement à un résultat identique : notre déresponsabilisation « d’être libre ».

Le point de convergence, presque troublant, entre l’intrusion de l’Islam et celle des Droits de l’homme trouve son acmé dans ce qu’il y a de plus intime dans la vie des individus et de plus fondateur dans une société : la relation entre les hommes et les femmes.

Des chemins différents, voire opposés, aboutissent à un résultat identique

La mise à mal de la relation hommes – femmes :

  • Dans le monde masculin musulman, la femme doit se résoudre à « ne pas être », à « se dissoudre », à se dissimuler sous un voile, en dehors du regard de son père, de ses frères et de son mari.
  • L’homme occidental, lui est maintenu par l’épée des Droits de la Femme dans les reins, etne doit plus exprimer son désir.Il sera perçu, de plus en plus souvent, comme un prédateur, à surveiller de près et à maintenir à distance.

Faut-il rappeler qu’aux Etats Unis, les hommes rechignent parfois à monter dans un ascenseur seul avec une femme de peur de se retrouver devant le Juge et de payer un avocat?

Faut-il rappeler que, depuis que les européens rejettent leur histoire qui les a construits, leur avenir est lisible dans le présent des Etats Unis ? Ce qui, évidemment, n’est pas pour nous réjouir sous réserve que l’on ne soit pas avocat.

Trois autres points communs :

  • L’hyper sexualisation des relations hommes – femmes qui se révèle dans une forme d’obsession pathologique qui gomme, au passage, toutes possibilités de rencontresautreset de sympathie en dehors du sexe. Ce qui, avouons-le, est particulièrement réducteur en ce qui concerne la richesse des échanges entre les êtres en général.Ceci relève d’une limitation au corps et réduit à l’animalité notre gent humaine pourvue, pourtant, d’un cortex cérébral qui a fait ses preuves.
  • L’apartheid sexuel qui n’est pas sans rappeler la prophétie d’Alfred de Vigny (*) :

« Bientôt, se retirant dans un hideux royaume,
La Femme aura Gomorrhe et l’Homme aura Sodome,
Et, se jetant, de loin, un regard irrité,
Les deux sexes mourront chacun de son côté. »

  • La judiciarisation progressive des relations entre les hommes et les femmes

Ce dernier point commun entre l’Islam et les Droits de l’Homme « la judiciarisation exponentielle» concerne l’ensemble de la société. En effet, la mode actuelle privilégie, après la délation dans les hashtags en tous genres, les plaintes et les appels à la justice au moindre « dérapage ».  Rappelons-nous avec Rémi Brague que si  « le christianisme est la religion de l’absolu (Hegel),…l’Islam est un système politique  et juridique ». (*)

En cela nous pouvons conclure que l’Islam s’apparente davantage au Droits de l’Homme qu’au christianisme.

Dis-moi ce que tu veux, je te dirai qui tu es

Le christianisme porte en lui une visée universelle certes, mais qui concerne l’au-delà : « Mon royaume n’est pas de ce monde ».

Ce qui est loin d’être le cas de l’Islam et de son point d’orgue : la Charia qui vise à l’élargissement de la « oumma » (« Communauté mondiale des croyants »).

Les « droits-de-l’hommistes », eux, déploient une énergie considérable à détruire les frontières. Ceci, sous le prétexte que seul « un ordre mondial » assurera l’équilibre politique,  la santé écologique de la planète, la démographie et la sécurité de la population, notamment des femmes.

L’Islam et les Droits de l’Homme poursuivent donc un but similaire, l’universalisme sur Terre pour l’Islam, le cosmopolitisme mondial en ce qui concerne les Droits de l’Homme.

Un problème de taille

Le Monde est vaste et demeure, pour notre bonheur, pétris de diversités et de cultures variées.

Olivier Rey montre que tout ce qui est grand ou plus précisément grandit trop est source d’accidents. Ces aléas concernent le domaine biologique et aussi le champ géopolitique. (**)

Pensons à la superficie de la Russie qui impose à ce pays, depuis des siècles, un régime fort pour éviter le chaos susceptible de naître dans la confrontation des peuples si différents qui la composent.

Si les musulmans peuvent espérer que leurs règles de vie contrôlent la communauté des croyants, les mondialistes, eux, n’ont pas de Coran ou de petit livre rouge pour jouer le rôle de partition sévère et raide  dans un monde disparate qu’ils rêvent d’unifier.

C’est pourquoi, les Droits de l’Homme trouvent ici leur place naturelle et leur rôle de « régulateur des soucis de taille et de disparité ». Ainsi, plus l’empire mondialiste s’étendra, plus les commandements des Droits de l’Homme deviendront rigides, toujours plus répressifs, toujours plus liberticides.

Cela signifie, en définitive, que le démantèlement des frontières, nationales, culturelles, individuelles (en ce qui relève de la singularité des êtres qui est de moins en moins respectée au profit de leur nivellement), nous amène, peu ou prou, à un système politique tyrannique, seul, capable de faire obéir tout ce monde-là !

Nous sommes en train de perdre notre « responsabilité » d’être humain et la grande liberté qui s’y attache. Ce « Libre arbitre » qui nous fut offert par notre histoire gréco-latine et chrétienne sensible au développement personnel qui ne peut s’épanouir que dans une culture enracinée dans l’espace et le temps.

Il y a une membrane fondamentale que les règles islamiques comme les doctrines tyranniques des Droits de l’Homme ne détruisent pas mais, obstruent, bien au contraire,  pour notre malheur, il s’agit de notre relation au monde. Cette membrane osmotique qui, depuis la nuit des temps, ouvre l’homme comme sujet identifié, responsable, curieux et questionnant à l’univers qui l’entoure et aux mystères de la vie. Cet homme debout ne pourra plus être dans un système qui épingle « hors la loi » toutes singularités, judiciarise à tour de bras et surtout, est convaincu de son savoir ce qui inhibe, inévitablement, tout questionnement.

Laurence Maugest
5/12/2018

 

Source : polemia

lundi, 14 mai 2018

Benoît de Valicourt : « Abattre un homme avec un couteau sous prétexte qu’il est terroriste est une atteinte aux droits de l’homme et à notre démocratie »

Publié par Guy Jovelin le 14 mai 2018

Par  le 13/05/2018

mercredi, 22 février 2017

Selon ce magistrat, "on n'arrête pas les voyous avec un format A4 des droits de l'Homme"

(Photo doc Frank Muller)

Le procureur de Toulon répond aux phénomènes de "police bashing" en réaffirmant son soutien aux forces de l'ordre.

"Quand on interpelle des voyous, ça ne se fait pas avec un format A4 de la convention européenne des droits de l'Homme." Bernard Marchal, procureur de la République à Toulon, a rendu un hommage appuyé aux forces de l'ordre, éclaboussées ces dernières semaines par des soupçons de violences policières en région parisienne.

"Même si dans notre pays, on est grincheux à l'égard des policiers et des gendarmes, pour ma part j'en suis assez fier", a indiqué le magistrat lors d'une conférence de presse organisée par la préfecture sur le bilan de la délinquance dans le Var. "La déontologie existe dans les actions de la police et de la gendarmerie."

Et d'insister sur la réponse pénale que le parquet entend apporter aux faits de violences et de rébellion dont les policiers et gendarmes sont régulièrement victimes. "Les forces de l'ordre doivent se sentir soutenues, c'est ce qui nous permet d'être exigeants sur la déontologie."

 

Source : varmatin

lundi, 31 octobre 2016

L’Etat Islamique ne fait pas pire que la Révolution française

Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2016

par 30 octobre 2016

genocide_vendeen_revolutionCertains ont du mal à croire à la collusion entre les régimes maçonniques d’occident et l’Etat Islamique financé par ses alliés saoudien et qatari. Les parangons de vertus se drapent dans leurs « principes républicains » pour abattre Assad et soit-disant combattre l’Etat Islamique dont ils soutiennent leurs frères jumeaux que sont Al-Nosra ou Al-Qaida, les ex-terroristes du 11 septembre, devenu pour l’occasion des modérés…

Mais il suffit de faire un peu d’histoire pour comprendre pourquoi les horreurs perpétrées par Daesh n’effraient pas outre mesure la République maçonnique. Quand même, me dira-t-on l’air outré, vous oubliez les gens brûlés vivants ou noyés dans des cages de fer en public ? Vous oubliez les tueries de masse et les égorgements mis en scène comme à Palmyre ?

Certes non, mais comme nous allons le voir, la République Française n’a pas fait moins pire, et a même sans doute dépassé en horreur l’Etat Islamique comme le rappelle Reynald Secher, docteur ès lettres, écrivain, scénariste, et auteur du concept de mémoricide, quatrième crime de génocide :

La France aime donner des leçons au monde notamment dans le domaine des droits de l’homme, au titre qu’elle en serait à l’origine. Elle oublie de dire qu’en même temps, elle est aussi l’actrice du premier génocide idéologique en Vendée commis au nom de ces mêmes droits.

Dans ce cadre, il s’agissait de créer l’homme nouveau, ce qui passait obligatoirement par la disparition de l’homme ancien qui devait accepter d’être régénéré ou de disparaître. C’est à ce titre que la Révolution a éliminé la famille royale, une bonne partie du clergé, de la noblesse et, entre autres, des habitants de la Vendée militaire.

À l’heure actuelle, grâce à la découverte de documents originaux signés de la main même des auteurs de ces crimes, c’est-à-dire les membres du Comité de salut public et notamment Robespierre, Carnot, Barrère, etc. Nous avons reconstitué à la fois la pensée, les méthodes utilisées, les moyens déployés afin de mener à terme cette folie.

Ce crime est légal car conçu et mis en œuvre directement par le pouvoir exécutif et voté par la chambre des députés. Il se décompose en trois grandes étapes : du 1er août 1793 au 21 janvier 1794 avec l’utilisation de l’armée « masse » ; du 21 janvier au 13 mai 1794 avec le recours des colonnes infernales mobiles ; du 13 mai à la chute de Robespierre avec de nouveau l’utilisation de l’armée « masse ».

Mais éliminer une population conséquente évaluée à 815 000 habitants n’est pas chose aisée surtout, comme le déplorent les politiques, celle-ci refuse de se laisser massacrer, et pire, se défend. Tout dans ce crime de masse a été essayé, y compris l’horreur absolue comme l’utilisation de gaz, de fours… On y retrouve l’indicible comme les tanneries de peaux humaines, la fonte des corps pour la graisse…

Crime politique, crime honteux, crime inavouable, politiques comme historiens officiels, au nom de l’unité nationale, de l’idéologie et de la politique ont tout fait non seulement pour le masquer mais aussi pour inverser les causes et les conséquences faisant en sorte, qu’avec le temps, les bourreaux sont devenus les victimes et les victimes les bourreaux.

Alors de la Révolution française d’inspiration maçonnique à l’Etat Islamique…il y a des degrés où l’horreur n’a plus de classification…

 

Source : medias-presse.info

mardi, 22 septembre 2015

Humour : l’Arabie saoudite présidera aux standards internationaux des Droits de l’homme

Publié par Guy Jovelin le 22 septembre 2015

21 septembre par Pierrot

Le panel des Nations unies chargé de nommer les hauts-fonctionnaires qui établissent les standards internationaux en matière de Droits de l’homme sera présidé par l’Arabie saoudite à partir du 21 septembre 2015.

L’Arabie saoudite est un État propriété de la famille Saoud. Le wahhabisme est la religion unique, toutes les autres religions y sont interdites. Les femmes n’ont pas le droit de sortir dans la rue sans être voilées et accompagnées par un homme de leur famille. La consommation d’alcool est interdite. Etc.

Source : Réseau Voltaire