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jeudi, 24 janvier 2019

Le business du halal aurait rapporté plus de 7 milliards d’euros en France en 2017

Publié par Guy Jovelin le 24 janvier 2019

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Le business du halal aurait rapporté plus de 7 milliards d’euros en France en 2017

 Lu dans l’Incorrect :

Ce marché ne concerne plus uniquement le commerce de la viande mais s’est étendu à de nombreux autres domaines juteux : voyages, supermarchés, cosmétiques et même la finance dite islamique. Halal signifie « licite ». À travers les siècles, de nombreux juristes musulmans se sont intéressés à la distinction du licite et de l’illicite, mais c’est dans les années 1980 que sont nés les premiers labels « halal ». Dans son essai Marché du Halal ou l’invention d’une tradition, Florence Bergeaud-Blackler affirme que le marché du halal est né de la rencontre d’une perception rigoriste de l’islam et du néolibéralisme, le premier codifiant un modus operandi de l’abattage des bêtes et le second développant ce marché doté d’un véritable potentiel économique.

Du halal autorisé, on est vite passé au halal imposé. En 2017, un sondage IFOP/Institut Montaigne affirme que 70 % des musulmans de France ne consomment que de la viande halal. Dans certains rayons, le consommateur n’a pas le choix et ne trouve que du halal. Parfois, il mange de la viande halal sans le savoir puisque « pour des raisons économiques, certains abatteurs ovins et bovins misent sur la logique de complémentarité entre circuits de distribution musulmans et non-musulmans : ils abattent les animaux selon le rite puis vendent les avants et les abats aux boucheries musulmanes tandis que les morceaux arrières sont destinés aux non-musulmans. (…)

 

Source : lesalonbeige

lundi, 09 février 2015

La République donne notre argent aux « victimes » de la Shoah

Publié par Guy Jovelin

Shoah business ! Ça continue toujours 70 ans après la fin de la seconde guerre mondiale. Alors que la France n’a pas géré de camps de concentration et n’a rien à voir avec un quelconque processus d’extermination de populations, les juifs américains continuent d’organiser la quête/le racket.

 

« La SNCF n’a jamais été tenue pour responsable de la déportation. Elle a été un instrument de la déportation. (…) c’est de la responsabilité des autorités françaises » d’en assumer les conséquences, a rappelé la diplomate française. Par conséquent l’entreprise publique SNCF « n’est pas partie dans les discussions (ni) dans la mise en oeuvre » de l’accord.

NDLR : pas besoin de préciser que la rédaction de CI ne peut donner son avis historique sur la question sans risquer une condamnation en vertu de la loi Gayssot de 1990.

Source : http://www.contre-info.com/