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lundi, 07 mai 2018

C’était un 7 mai… 1954 : chute de Diên Biên Phu

Publié par Guy Jovelin le 07 mai 2018

Auteur : admin4

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« Nous sommes ces soldats qui grognaient par le monde Mais qui marchaient toujours et n’ont jamais plié… Nous sommes cette église et ce faisceau lié Nous sommes cette race éternelle et profonde… Nos fidélités sont des citadelles »

Charles Péguy

Après 6 mois de lutte héroïque[1] et une résistance acharnée face à des troupes supérieures en nombre et en matériel, bombardée sans cesse dans l’enfer de la cuvette, l’armée française (comprenant des légionnaires, des paras, des troupes coloniales, des combattants indigènes), dut  décréter le cessez-le-feu.

C’est toute une chevalerie massacrée vainement, et les coupables (secrétaires d’État, président du Conseil…) se lavaient déjà les mains du désastre dont ils étaient responsables.

A l’issue de cette bataille, 11721 combattants de l’Union française furent faits prisonniers. En 4 mois, les deux tiers de ces captifs du Viêt-Minh moururent…

Il s’agissait aussi d’une lutte idéologique contre l’ennemi intérieur qu’est le communisme, qui, représenté à l’époque par le PCF, collaborait ardemment avec le Viêt-Minh et s’est rendu responsable de la mort de nombreux soldats français :

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 References 

illustrée notamment par les nombreux blessés et amputés qui ne voulaient pas quitter le front, ou par les soldats qui voulurent être parachutés pour rejoindre leurs camarades à Dien Bien Phu alors que tout le monde savait que cela ne pouvait désormais que très mal se finir

Source : contre-info

mercredi, 07 mai 2014

Il y a 60 ans : la chute de DIEN BIEN PHU

Publié par Guy Jovelin

« Nous sommes ces soldats qui grognaient par le monde
Mais qui marchaient toujours et n’ont jamais plié…

Nous sommes cette église et ce faisceau lié
Nous sommes cette race éternelle et profonde…

Nos fidélités sont des citadelles »

Charles Peguy

Livres sur « l’Indo » ici

Par ailleurs Roger Holeindre, ancien d’Indochine et d’Algérie, Président du Cercle National des Combattants, a publié ces jours-ci une « lettre ouverte aux antimilitaristes traitres à leur pays aux pleureuses professionnelles et aux défaitistes… jamais lassés de raconter des inepties » :

« Le centenaire de la déclaration de la guerre de 14-18 a permis à toute cette chienlit de déverser aussitôt, par médias interposés, des tombereaux de mensonges et de lamentations sur le sort des poilus de la Grande guerre… qui soi-disant… devait être la dernière. Bien sûr, notre président de la République, entre deux rendez-vous galants, y a été aussi des sa pleurnicherie. Mais, comme pour les premiers cités, pas un mot de bravoure… de patriotisme… d’élan national. Il n’y avait donc en 1914 que des “veaux” menés à l’abattoir !

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