Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 23 mars 2018

EN ATTENDANT LE GRAND SOIR

Publié par Guy Jovelin le 23 mars 2018

LA HAINE DU BLANC COMME MOTEUR DE L’HISTOIRE. Quel est le point commun entre les viols massifs de jeunes Anglaises par des immigrés à Telford en Grande-Bretagne, le 19 mars 1962, la profanation de la basilique de Saint-Denis par des clandestins appuyés par la France insoumise et l'expropriation sans indemnisation des fermiers blancs en Afrique du Sud, la lancinante, permanente et même de plus en plus affirmée haine du blanc.

En attendant le grand soir

Haine du blanc qui va désormais chasser les Européens de leur propre continent, qui va jusqu'à effacer leurs cultures, leurs œuvres, leurs découvertes. Cette accusation permanente d'avoir commis les pires crimes tout en demandant de payer y compris le téléphone indispensable au clandestin « fuyant la misère ». 

De nombreuses vierges effarouchés ne cessent de nous faire pleurer sur le sort des migrants, des clandestins et autres extra-Européens victimes tant du racisme des Européens présentés comme riches et surtout pillant les richesses de ces migrants, les exploitant pour des revenus de misère. Sans oublier un passé colonial honteux fait de pillage et de mort culturelle. Et ne parlons pas de l'appropriation culturelle, ce crime que des Blancs commettraient en se grimant en Noirs ou en Asiatiques...

C'est avec ce genre de mythes, de fantasmes que ces mêmes vierges effarouchés justifient les agressions commis par des immigrés sur des Européens en niant le caractère raciste anti-Blancs, justifient les massacres commis au nom des luttes anti-coloniales, et pire participe à des actions de profanation de noter culture, de notre histoire et de notre foi ou du moins celle de nos aïeux... Ainsi les élus de La France insoumise, ceux avec qui on pourrait prendre un café, ont aidé des clandestins – donc des gens présent chez nous illégalement – à violé la basilique de Saint-Denis en hurlant « On est chez nous ! » (sic). Et ne revenons pas sur les propos abjects de Clémentine Autain quant à la sépulture des rois de France... Les mêmes aussi qui justifient les camps d'été décoloniaux interdits aux Blancs... 

On voit donc que cette gauche, que ces humanistes font la politique du PIR, ce Parti des Indigènes qui proclame sa haine des Blancs sans qu'il ne soit interdit en France, ce parti qui trouve des alliés de fait et de cœur chez les partisans de Mélenchon, ce parti qui trouve des relais médiatiques, ce parti qui montre bien que pour ces gens le moteur de l'histoire ce n'est pas la lute des classes, ni la lutte des opprimés contre les oppresseurs, mais bien la haine des Blancs. Blancs qui pour ces gens doivent disparaître, à commencer des pays et du continent dont ils sont originaires et créateurs. 

C'est pourquoi la lutte contre l'immigration et m^me pour la remigration est une lutte primordiale pour la survie des peuples européens.  

  

Arnaud Malnuit 

vendredi, 03 avril 2015

Luc Fournié : ignominieuse condamnation d’un Français ayant défendu sa vie et son bien contre les criminels étrangers

Publié par Johanna 

 

Tout le procès a montré que Luc Fournié est un homme profondément gentil, compréhensif, altruiste. Apprécié de tous ses proches, de ses voisins, de ses clients, les policiers qui ont épluché la vie de ce Français pour trouver un élément à charge n’ont rien trouver. Luc Fournié a connu une vie difficile, mais à fait face avec courage à toutes les épreuves de la vie. C’est un Français, travailleur acharné, préoccupé du bien public, s’intéressant et se préoccupant de la vie des autres. Il vient pourtant d’être condamné à une très lourde peine : sept ans de prison pour avoir défendu le fruit de son travail et sa famille.

Sa vie a basculé le 14 décembre 2009.

Ce jour-là, deux racailles étrangères, poussées par la haine du Blanc, considéré comme un ennemi bon à dépouiller, frapper, attaquer – ou pire – à volonté, et l’appât du gain pénètrent dans son magasin, en pleine nuit.

Le bar-tabac de Luc Fournié, situé à Lavaur, à une quarantaine de kilomètres de Toulouse, a été la cible quatre jours plus tôt d’une première tentative, hélas tristement habituelle dans cette région gravement touchée par l’invasion. Plusieurs criminels, pour pénétrer dans la réserve du magasin, ont scié les barreaux d’une fenêtre, avant de s’enfuir.

Ils revinrent dans la nuit du 14 au 15 décembre 2009. Menacé et se sentant légitimement en danger de mort, Luc Fournié avait ouvert le feu, pour défendre sa vie, son bien, sa famille, contre des racailles étrangères venues le piller et l’agresser. L’une d’elles avait été éliminée.

Malgré la personnalité de M. Fournié, bien qu’il soit clairement dans cette affaire la victime, bien que tout montre qu’il s’agit de légitime défense, il a été mercredi soir reconnu coupable d’homicide. Pourtant, même l’avocat général avait requis l’acquittement. Il avait constaté comme chacun que la riposte avait été « nécessaire, simultanée et proportionnée ».

« [M. Fournié, terrifié, abandonné par les gendarmes, n’a voulu que protéger] sa vieille maman de 87 ans, sa sœur et son neveu. Faire quelque chose, c’est une preuve d’amour, un devoir de chef de famille. Il vit ce drame qu’il n’a pas provoqué, cette constellation de hasards. Il est encore dans la brume et il y restera à jamais. Il est déjà très largement puni. Vous devez l’acquitter » avait confirmé l’avocat de la victime française.

Mais une fois encore, la justice du gouvernement d’occupation consacre le droit des criminels étrangers à attaquer les Français et interdit à ceux-ci de se défendre. La justice de Christiane Taubira aurait préféré qu’il se laisse agresser, peut-être torturer et tuer, sans réagir. Il est à noter que les gendarmes, prévenus de la première attaque contre le magasin, n’avaient évidemment rien fait.

La famille du criminel africain était défendue par un dénommé Simon Cohen.

Par comparaison, hier, deux autres procès pour meurtre se sont achevés. En Allemagne, le malade homosexualiste Detlev Günzel qui avait tué, puis dépecé et probablement mangé certaines parties du corps de sa victime n’a écopé que de huit ans de prison.

En Bretagne, deux asociaux, une mère et son fils, étaient jugés pour avoir, sur fond de très grande consommation d’alcool, massacré l’ami de la mère. Le fils a été condamné à huit ans de prison, la mère à trois ans.

L’affaire est d’autant plus grave qu’elle intervient quelques jours après un autre scandaleux jugement qui démontre le caractère profondément corrompu et étranger de leur justice. Le 16 mars 2011, trois autrescriminels africains avaient violé le domicile d’un homme de plus de 80 ans dans le sud-ouest. La racailleavait volontairement ciblé un homme très âgé et très malade, souffrant de la maladie de Parkison, de surcroît durant un épisode de crue. Pour avoir simplement tiré des plombs sur les criminels étrangers, alors qu’il avait été l’objet de multiples attaques sans que jamais ni la justice ni la police n’interviennent, il a écopé de deux ans de prison. Plus incroyable : il devra verser 6.500 euros aux criminels qui l’ont attaqué.

Source