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lundi, 04 février 2019

Le Grand Débat National et nous (suite… et fin ?)

Publié par Guy Jovelin le 04 février 2019

le grand débat national

Le billet de Franck Timmermans
 
Le Grand Débat National et nous (suite… et fin ?)
 
Une participation aux débats, fut-elle à vos yeux symbolique, pourra être renforcée par une prise de position écrite à vos élus locaux et nationaux, ne sous-estimez pas ce moyen. Étant donné l’intérêt porté au sujet la semaine dernière, je vais aborder d’autres questions parmi les 82 de Macron qui vous permettront de revenir aussi à l’immigration et aux thèmes essentiels.
  • Questions 1 - 2 – 3 et 6 : pour une fiscalité plus juste et l’information des citoyens. Il faudrait y ajouter une information régulière sur la DETTE et revenir aux sources de son escalade. Les politiques doivent rendre des comptes, il faut établir un bilan des politiques menées par les gouvernements. Fillon disait il y a 10 ans « la France est en faillite » personne ne l’a contredit mais nul ne l’a écouté. Il n’y aura pas de fiscalité juste sans le rétablissement préalable d’une priorité sociale des citoyens (voir n° précédent). Commençons aussi par réclamer ce qui nous est dû au lieu d’en faire toujours cadeau : les dettes des pays qui « émergent » mais émargent aussi aux aides de « coopération » à sens unique de la France : les immigrés réguliers ou non qui envoient leurs payes au pays mais profitent de nos aides sociales (double bénef), ceux qui se font expulser X fois pour toucher d’autant les aides accordées, les associations qui bafouent les Lois tout en touchant des subventions, les nababs qui se font soigner gratis en France (Bouteflika etc.), la polygamie pourtant interdite mais qui vampirise habilement notre « modèle » social. Comment faire aussi confiance à l’État : jadis les autoroutes devaient devenir gratuites sitôt les coûts des infrastructures apurés. Rien n’est venu. Il faut désormais donner plus d’autorité à la Cour des comptes, y compris sur le plan judiciaire. Il faut aussi maîtriser les projets pharaoniques des grandes villes et dont les budgets sont toujours minorés. Ils doivent être proportionnés aux besoins mais aussi aux finances et priorités du Pays.
  • Question 7 : intervenir aux § 4 et 5. Recaser ici la suppression de l’AME. En profiter aussi pour réclamer la redéfinition de « l’asile politique » qui ne doit susciter un examen que si le postulant vient d’un pays en guerre civile, d’une dictature ou s’il est victime d’une fatwa. Il est exclu d’accorder ce statut à des Albanais ou des Géorgiens provenant de pays normaux mais où la France a un puissant pouvoir attractif et social sur les mafias locales, balkaniques comme caucasiennes ! En § 5 « autre », vous protesterez contre les subventions abusives accordées à des associations bidon mais aussi aux syndicats alors que les collectivités n’ont pas ce rôle. Ils seront à nouveau représentatifs quand ils se mettront à refaire des adhésions sans vivre aux crochets du contribuable. Ils touchent déjà des subventions de l’Europe…
  • Question 12 : L’État est un mauvais payeur et les entreprises françaises en difficulté à cause de lui doivent pouvoir obtenir immédiatement réparation en présentant leurs factures à la Caisse des dépôts. Il faut dans chaque Préfecture un médiateur social au service des citoyens. Les fonctionnaires ministériels et territoriaux donnent trop l’exemple d’oligarchies et de népotisme ou de clientélisme. Les dynasties fonctionnaires doivent cesser et le mérite doit être réhabilité. Pour les élus issus du Public, il leur faudra renoncer au cumul des retraites.
  • Question 14 : Les échelons administratifs en France ont leur raison d’être et les abus viennent des cumuls et de certains émoluments. Ceux-ci doivent être versés au prorata des présences. Il ne faut pas supprimer davantage de communes car le maillage du Pays est riche et précieux.
  • L’intercommunalité ne doit plus servir de prétexte aux grandes villes pour accélérer leurs appétits d’annexions des alentours. Les collectivités doivent accepter un régime car trop de dépenses de communication, de subventions discutables et d’investissements superflus grèvent les budgets prioritaires (emploi, social, logement, santé, transports pour les Français).
  • Question 16 : Il faut répondre NON car la France n’est pas destinée au fédéralisme et l’État s’est bien assez désengagé comme cela aux dépens des collectivités les plus modestes. Les gouvernements doivent réapprendre leurs rôles régaliens et éviter gabegies et gaspillages sous peine d’infractions budgétaires et de manquements aux engagements condamnables.
  • Questions 19-20 et 21 : Macron veut imposer visiblement l’apprentissage au numérique pour tous à marche forcée. Nous sommes attachés aux libertés, à l’éthique et précisément au non -fichage des citoyens, prélude à la remise en cause des libertés individuelles. C’est à l’État de s’adapter, d’accompagner toujours les plus faibles, les plus démunis et ceux aussi qui refusent certaines méthodes. L’État ne doit laisser personne sur le bord de la route. Macron est le héraut de Big Brother, il doit être rappelé à l’ordre, celui de la mesure et de la liberté. La grande philosophe Hannah Arendt fustigeait déjà chez ces apprentis sorciers leurs stratagèmes au profit « d’une dégradante obligation d’être de son temps ». Montherlant, à la même injonction, répondait aussi « Il faut toujours aller avec la raison et l’honnêteté, avec, sans ou contre son temps ! ». Tout est là, y compris et surtout notre propre chemin de Résistance face à toutes les oppressions déguisées et futures que préfigurent les folies génétiques. La religion mondialiste qui utilise ce slogan pour mettre en place l’irréversible est une meule diabolique qui broiera finement toutes les oppositions, puis les nations et les esprits libres.
  • Question 25 : Répondre par « l’État lui-même ». Et développez : comment réformer un Service public quand l’État et aucun des Présidents depuis plus de 40 ans n’ont défendu une politique familiale et la natalité. C’est dire si vos Services publics semblent réservés aux populations immigrées pour l’avenir ! Or cela sera encore plus coûteux ! Réformez donc d’abord vos Services autour des besoins de la Famille et non plus des intégrations illusoires. Et que dire aussi de la politique de la Santé ! Santé qui ne figure même pas dans ce texte et qui devrait être du domaine régalien, sans compter ses connexions avec l’alimentation des Français et donc nos ressources agricoles. Où sont les services publics quand des paysans se suicident à cause du fisc ou des contraintes administratives, où est notre autosuffisance alimentaire de jadis sacrifiée sur l’autel de votre Europe technocratique ? Que valent vos persécutions contre une homéopathie populaire et inoffensive quand le régalien privilégie les grands groupes pharmaceutiques sans que les victimes des grands scandales obtiennent réparation et les coupables des condamnations effectives ? Où est la Justice dans ce texte !
  • Question 37 : Répondre OUI ! Je protège ma santé en refusant Linky, en refusant les composts qui attirent les rats alors qu’il n’y a plus de prédateurs, en protégeant les abeilles et les oiseaux contre les glyphosates américains et allemands, en protégeant mes enfants par une alimentation saine et en coupant ma télévision toutes les fois où j’entends vos bobards.
  • Question 47 : Commençons d’abord par refuser tous les accords déjà signés ou à venir avec des partenaires (Canada, USA etc.) qui pénalisent nos entreprises, nos emplois, notre santé, nos produits et notre environnement. Et ce d’autant que les USA ne se privent pas de pratiquer le racket (BNP, Total etc.) et l’interventionnisme politique contre nos capitaux (Iran etc.). 
  • Question 58 : L'abstension est un baromètre utile et symptomatique de la légitimité d’un système. Rendre le vote obligatoire est une atteinte à la liberté et ne résout rien.
  • Question 64: certains sujets peuvent faire l’objet de référendums locaux ou nationaux. Encore faudrait-il que le résultat soit respecté et non bafoué ( Aéroport 44, référendum de 2005…).
  • La Constitution doit en fixer les règles et limites mais aussi punir leur non-respect.
  • Questions 73 et 74 : Pourquoi ne traiter pudiquement que des incivilités ? Parlons pour une fois des victimes, de leurs familles, et de tous les crimes comme de l’échelle des peines. La question passe par une réforme profonde de la Justice, à l’écart de tout modèle américain qui distille vénalité et compromissions au détriment de la vérité et de la juste punition.
  • (Evoquez le rétablissement de la peine capitale, l’application effective des peines, l’expulsion immédiate des étrangers et leurs enfants délinquants, le paiement des indemnisations au jour du jugement, la tolérance zéro et la guerre totale aux stupéfiants et aux zones de non droit).
  • Question 76 : Répondez « les discriminations les plus répandues sont celles contre la France et les Français » ne serait-ce qu’au vu des privilèges exorbitants alloués à toutes les minorités.
  • Question 81 : répondez par « rendre à la famille française ses droits, rétablir celui du sang, protéger leurs successions et promouvoir une politique nataliste ». Tel doit être notre défi.