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vendredi, 17 août 2018

Offenbourg (All.) : un médecin poignardé à mort dans son cabinet par un migrant somalien, son assistante grièvement blessée

Publié par Guy Jovelin le 17 août 2018

Par  le 16/08/2018

 

Offenbourg, Allemagne : un demandeur d’asile somalien de 26 ans a tué un médecin de plusieurs coups de couteau, après s’être invité sans rendez-vous à son cabinet.

L’assistante du médecin, également poignardée, a été transportée à l’hôpital dans un état grave. Les motifs de l’attaque sont inconnus. L’assassin a été arrêté par la police après avoir tenté de prendre la fuite. La victime laisse derrière elle une épouse et un enfant.

Welt.de via fdesouche

dimanche, 25 février 2018

Attentats du 13-Novembre: Un médecin ORL de Libourne suspendu pour discrimination et islamophobie

Publié par Guy Jovelin le 25 février 2018

 

ORDRE DES MÉDECINS Il s’en était pris à une femme voilée dans son cabinet quelques jours après les attentats…

C.C.

 
 
Illustration d'un médecin généraliste.
Illustration d'un médecin généraliste. — VALINCO/SIPA

L’ordre des médecins ne rigole pas du tout avec ce genre d’affaire. Sa chambre disciplinaire vient de suspendre six mois (dont trois mois avec sursis) un médecin ORL de Libourne (Gironde) pour discrimination et islamophobie après les attentats du 13 novembre 2015.

« Nous sommes en guerre, il faut savoir dans quel camp vous êtes »

Selon Sud Ouest,, le praticien avait lancé à la mère d’une de ces patientes : « le foulard que vous portez est un signe de non-intégration » avant d’ajouter, « nous sommes en guerre, il faut savoir dans quel camp vous êtes ». Et il ne s’était pas arrêté là, allant jusqu’à signaler cette femme à la gendarmerie de Libourne, pour « dérive islamiste ».

Face à ce comportement, l’instance a donc décidé de le sanctionner. Il a un mois pour faire appel. L’ordre des médecins de la Gironde a relevé quelques cas comme celui-ci après les attentats du Bataclan : « C’est peu sur un total de 8.000 médecins mais déjà trop », confie son président Albert Roche à France Bleu Gironde.

 

Source : 20minutes

jeudi, 29 décembre 2016

Soupçonné de jihadisme, un médecin exerçant à Marseille arrêté en Turquie

Publié par Guy Jovelin le 29 décembre 2016

Décrit comme "solitaire" par ses collègues, l'homme travaillait comme interne depuis trois ans à l'hôpital de la Timone.

AFP
Vue extérieure de l'hôpital de la Timone où exerçait l'interne soupçonné de jihadisme arrêté en Turquie.

TERRORISME - Soupçonné de jihadisme, un jeune interne exerçant en chirurgie orthopédique à l'hôpital de la Timone à Marseille a été arrêté dimanche 25 décembre en Turquie puis remis aux enquêteurs français dans la foulée, rapporte La Provence ce mercredi 28 décembre. Une information confirmée à l'AFP par une source proche de l'enquête.

Âgé de 29 ans, Amine L. a été repéré après avoir tenu des "propos inquiétants" sur son compte Twitter et consulté régulièrement des contenus jihadistes. C'est notamment via Pharos (Plateforme d'Harmonisation, d'Analyse, de Recoupement et d'Orientation des Signalements) que les enquêteurs ont été alertés et ont pu établir son identité.

Il a été signalé à plusieurs reprises sur cette plateforme en 2015, a précisé la source proche de l'enquête. Une enquête préliminaire a ensuite été ouverte à Marseille, puis le parquet antiterroriste s'est saisi du dossier à la suite du départ du jeune homme en octobre vers la Turquie.

"Un type très inquiétant"

"Il menaçait notamment souvent de commettre des attentats, c'est un type très inquiétant", a confié une source au quotidien régional. Que faisait-il en Turquie? Quelles étaient ses intentions? L'interne en médecine est actuellement entendu dans les locaux de la sous-direction antiterroriste (SDAT) à Levallois-Perret pour répondre à ces questions.

À La Provence, ses collègues de l'hôpital de la Timone l'ont décrit comme "intelligent, professionnel et passionné, tout en étant, certes, taciturne et solitaire". "Lorsqu'on évoquait les attentats dans des discussions, [il] était plutôt dans la condamnation de ces actes", apprend-on encore.

L'homme n'avait plus donné signe de vie depuis le mois d'octobre. "Il devait enchaîner sur un nouvel internat, toujours à la Timone, au 1er novembre, mais il ne s'est jamais présenté", a confié un cadre de l'AP-HM au quotidien régional. Les enquêteurs cherchent à savoir si le jeune homme cherchait à se rendre à Syrie. Sa chambre d'interne a été perquisitionnée.

 

Source : huffingtonpost