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dimanche, 20 avril 2014

« Toulouse en colère, répétition d’une révolte nationale ? »

Publié par Guy Jovelin

Franck.jpegNotre satisfaction, en ce jour du samedi 5 avril, place du Capitole, aurait pu être totale, à Toulouse ! Hélas une petite foule rassemblée et mobilisée était présente.

Ceci étant cette minorité était là, comme défi à toutes les oppositions gauchistes. Mon ami Guy Jovelin et moi-même battant le pavé et distribuant des tracts pour Monsieur Jean-Claude Martinez tête de liste aux futures européennes ainsi que pour notre Président Carl Lang du « Parti de la France »

Il y avait une sainte colère vis à vis de la politique gouvernementale, du système et du régime tout court.

Hier Paris, aujourd’hui Toulouse, Bordeaux, Montpellier, Lyon…

Les charbons ardents de la grogne populaire s’embrasent, un  seul cri pourrait  caractériser notre révolte : « A bas les voleurs !! » 

Effectivement, nous devons chasser ces menteurs impénitents du pouvoir, ils sont traîtres à leur patrie, puisqu’ils la bradent au profit des suppôts et valets de la mondialisation, complices de la finance internationale apatride !

Nous disons que ce régime abject doit cesser et en finir avec la 5ème République qui n’a que trop duré…

Car les magouilles et compromissions n’ont perdurées que trop longtemps depuis plus de quarante ans.

Pouvoir perfide, inféodé aux lois et loges maçonnes, soumis au nouvel ordre mondial, qui part de la City de New-York jusqu’aux rives du Jourdain !

Assez, nous en avons assez de vos bassesses  et calculs politiciens.

Nous devons déplorer la fange gauchiste réunie pour perturber notre manifestation.

D’extrême gauche, ces révoltés ne sont que les agents du système qu’ils servent par leur extrémisme de pacotille.

Ils sont les serviteurs de la pensée unique absolue, la gauche, ses avatars qui ne répondent en rien aux aspirations du Peuple.

Leur anti-fascisme et anti-capitalisme sont des masques de façade, puisqu’ils sont marxistes par essence et prévoient le nivellement par le bas c’est à dire répartir la misère

La République n’a pas besoin d’un système spartiate, mais plutôt d’un régime de cocagne.

Il est temps d’appeler à la Révolte Nationale et comme dirait Antoine de Rivarol, célèbre pamphlétaire : « Quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir ! »

Ce temps là est venu, compatriotes, levez-vous pour le salut de la France et de ses enfants.

Hauts les cœurs, l’avenir nous appartient, suivez notre drapeau.

Franck Pech

Responsable de la communication du PdF 31