Toto pourra dire à ses enfants : «j’ai connu le bon vieux temps où la France birait de ses sbires plénipotentiaires». Les sbires de la descente aux Enfers se sont déchaînés jusqu’à ce que la ministre du tourniquet national démissionne. Enfin ! Libération mérite son nom, car la libération du siège est totale. Ainsi, un autre pourra en arroser le coussin de ses flatulences magistrales, et birer à son tour sur le siège, voire en dessous ou à coté, si Dieu lui pète vie. Madame Utopia 2050 a donc jeté son dernier désaccord à la volée, histoire de soulager le vent d’Ohm. Tout le monde en respire mieux.
Par un con munichois, nous apprenons que «Madame Christiane Taubira, Garde d’Esso, Ministre de la juste hisse et ho et ho ho ho ho ho, a remis ce 27 janvier 2016», probablement secouée par la gîte. Nous lui conseillons le bicarbonate de soude pour faciliter la reconversion. Selon la même source, elle remettait «le dais-miction de ses toilettes au président de la République, qui l’a accepté», (…) élément de décharge à ciel ouvert, de source sûre. Voilà pour la version officielle, a peine aménagée pour la rendre présentable.
Maintenant, voyons la version officieuse, celle qui s’exprime sur les twitts de la démise volontaire : «Fière» se dit-elle, car «la Justice a gagné en solidité et en vitalité». Gag ? «Comme celles et ceux qui s’y dévouent chaque jour, je la rêve invaincue». Hallucination ? Dans un autre message, l’ex dame de la colonne Vendôme se désespère à la Proust : «Parfois résister c’est rester, parfois résister c’est partir(…)», pour finalement ne rien dire, une habitude chez la mini. Stop. Conseil Constitutionnel en danger. Stop.
Source : http://24heuresactu.com/