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mardi, 26 janvier 2016

Un otage de l’Hyper Cacher a essayé d’escroquer des éditeurs parisiens

Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2016

25 janvier 2016 par Lionel

« J’ai vraiment été très con et je me suis fait chopé (sic), j’ai vraiment honte… » C’est ainsi, selon Le Point, qu’a réagi Patrick T, ami de « Jo » -ce dernier étant ex-otage de l’hyper Cacher de Vincennes-, après l’échec de sa tentative d’escroquerie d’éditeurs.

Tout a commencé quelques semaines après les attentats de janvier 2015. Patrick T., qui se fait passer pour un communicant, démarche les éditeurs avec son ami Jo qui aimerait faire publier son témoignage de la journée du 9 janvier. L’accueil est chaleureux et les directeurs de collection sont touchés par le récit de l’ex-otage. Les propositions d’à-valoir affluent : 20 000 euros ici, 30 000 là, 15 000 encore, mais avec un pourcentage plus important sur les ventes. L’intermédiaire, quinquagénaire verbeux, qui pose en lunettes de soleil sur son CV en ligne, insiste pour faire monter les enchères…

Du reste, on notera que les transactions entre BFM et le fonds social juif unifié font accélérer les choses. Il est vrai que ce fonds social a facilement obtenu 60.000 € de la chaîne car, paraît il, celle ci aurait mis en danger les otages… Cependant, officiellement, ce n’est pas l’argent qui motive nos 2 acolytes, et voici ce qu’ils diront, (C’est Jo, l’ex-otage qui parle, bien que le message aurait été écrit par Patrick) : « Je n’en fais pas une question d’argent. J’ai l’intention de redistribuer tous mes droits d’auteur financiers à l’association des victimes de l’Hyper Cacher et à ma synagogue… Pour moi, la meilleure offre financière sera celle qui fera le plus pour la synagogue et l’association des victimes. » Dans le même temps, notre homme, pour faire monter les offres, va jusqu’à falsifier la proposition financière de l’une des maisons avant de la faire suivre à une concurrente, et deux éditeurs ont mordu à l’hameçon.

Hélas, tout a capoté : Ces deux maisons d’édition appartiennent au même groupe, qui a pu se rendre compte de la supercherie. « Quand on a découvert le pot aux roses, explique un directeur de collection, Patrick T. nous a confié qu’il voulait faire signer un maximum de contrats à son auteur, il voulait d’ailleurs qu’on paie les deux tiers à la signature. Leur plan était d’empocher les virements et de fuir en Israël parce que, disait-il, il n’y a pas d’accord d’extradition. »

In fine, le témoignage de Jo sera quand même publié par un petit éditeur. Chutzpah oblige, il ne faut pas croire que notre aigrefin démasqué joue profile bas : Ainsi, nous dit le Point, lors de sa promotion, Jo n’a pas hésité à fustiger les gens malhonnêtes qui tentent de profiter du tragique attentat de l’Hyper Cacher…

 

Source : http://www.contre-info.com/

vendredi, 20 novembre 2015

Mali : les terroristes libèrent les otages qui récitent des versets du coran

Publié par Guy Jovelin le 20 novembre 2015

20 novembre 2015 par Pierrot 

Radisson BamakoCertains otages retenus vendredi par des hommes armés dans un hôtel de Bamako ont été libérés par leurs ravisseurs, déclare à Reuters un haut responsable des services de sécurité maliens. Parmi les personnes libérées figurent notamment des otages capables de réciter des versets du Coran.

Source : http://www.contre-info.com/

mercredi, 04 février 2015

L’État islamique a brûlé vif le pilote jordanien qu’il détenait

 

 

L’organisation islamiste a annoncé que Moaz al-Kassasbeh, l’otage jordanien pilote de chasse, avait été brûlé vif. L’exécution d’une cruauté rare est montrée dans une vidéo revendiquée par le groupe djihadiste.

On y voit le prisonnier dans une cage, sa tunique imbibé de liquide inflammable de même que le sol de sa cage, puis le feu est mis par une trainée de liquide et le captif est brûlé vif. Plus tard, les djihadistes exhibent le corps brûlé.

La semaine dernière, deux otages japonais avaient été décapités à quelques jours d’intervalle.

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