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dimanche, 28 janvier 2018

Valenciennes : après avoir agressé sexuellement 4 filles dont une de 15 ans, le réfugié afghan repart libre

Publié par Guy Jovelin le 28 janvier 2018

Mis à jour le 27 janvier 2018 Auteur par admin4

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Un « migrant » afghan de 22 ans, en France depuis plus d’un an et hébergé dans un foyer valenciennois, a été laissé libre par les magistrats après une série d’agressions sexuelles commises sur quatre filles âgées de 15 à 24 ans.

La Voix du Nord :

Le mode opératoire est sensiblement le même. Il les accoste et exerce des attouchements, les embrasse, leur lèche le visage et les invite chez lui. L’une d’elle sera même mordue au visage. Mais l’agresseur sera piégé par sa dernière victime âgée de 20 ans.

À 16 h 45, dans le tram, il s’installe près d’elle, lui prend son téléphone et rentre son numéro pour qu’elle puisse le rappeler. Il devient insistant et déplacé, elle décide de descendre. Il n’abandonne guère, la suit, puis la plaque contre un mur pour l’agresser. Elle sera sauvée par l’arrivée d’un groupe de jeunes.

Après avoir déposé plainte et en accord avec les enquêteurs, la victime le rappelle et lui fixe un lieu de rendez-vous où il sera interpellé. Les investigations permettent le rapprochement avec trois autres faits. Faire face à leur agresseur est un moment difficile, c’est visible, pour les victimes assises près de leur avocate.

Sur le chemin de l’école

Le soutien des parents leur est nécessaire lors de l’audience. M.A., lui, le prévenu, répond à la présidente Pollet par le truchement d’un interprète. Me Honnart se dit effrayée. Quatre victimes agressées sur le chemin de l’école ou du travail en quelques jours. Le procureur Colomar dénonce un comportement de prédateur. Il requiert dix-huit mois ferme, l’interdiction de séjour dans le Nord et l’inscription au FIJAISV (fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes). Le tribunal le suivra sur tous les points, troquant le ferme pour du sursis.

Le prédateur sexuel étranger est donc libre.

 

Source :  breizatao via contre-info

samedi, 14 octobre 2017

Oloron (64) : une femme de 78 ans entre la vie et la mort, poignardée par un réfugié afghan

Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2017

 

Le réfugié afghan qui a agressé une Oloronaise de 79 ans ce vendredi était connu pour des problèmes psychiatriques. Sa garde à vue à la gendarmerie d’Oloron s’est poursuivie jusqu’à 4 heures du matin.

On en sait un peu plus sur l’homme d’une vingtaine d’années qui a donné plusieurs coups de couteau à une femme de 79 ans dans un appartement de la rue Revol, ce vendredi. Selon nos informations, ce réfugié afghan, hébergé au premier étage du Bialé par l’Ogfa, bénéficiait d’un suivi psychiatrique. « Ce n’est pas normal que l’Etat ne nous ait pas mis au courant de l’état instable de cet homme », estime le maire d’Oloron Hervé Lucbéreilh. « Il faudra vérifier l’itinéraire qui a conduit cet e jusqu’à Oloron, puisque sont trajet semble bien différent de celui des autres migrants afghans. »

(…) La République des Pyrénées


Un réfugié afghan d’une vingtaine d’années a poignardé une femme âgée de 79 ans alors qu’elle se trouvait à son domicile. Le jeune homme a été arrêté par les gendarmes d’Oloron.

La victime était consciente à l’arrivée des pompiers, mais son état de santé s’est dégradé lors de son transfert à l’hôpital de Pau. Selon le parquet, elle est toujours « dans un état très critique » ce matin.

Il était environ 18h30 vendredi soir quand l’homme, un réfugié afghan âgé de 19 ans, s’est présenté au domicile de cette dame, âgée de 78 ans. Il vivait à côté de chez elle, dans un appartement prêté par l’Ogfa, l’organisme de gestion des foyers de l’amitié. Ils étaient voisins, ils se voyaient régulièrement. Il serait entré chez elle, et lui aurait asséné plusieurs coups de couteau. On ne sait pas pourquoi pour l’instant. Ce sont les colocataires de cet homme, des réfugiés eux aussi, qui ont prévenu les gendarmes selon La république des Pyrénées, qui révèle le drame ce matin. L’homme a été interpellé dans la rue.

France Bleu

 

Source : fdesouche