Le mouvement des Bonnets Rouges, créé par des paysans et des nationalistes de Cornouaille et du Léon, dirigés par des gauchistes, a fini à Nantes mené par une femelle sur un char de sodomites financé par la CGT. Conclusion logique s’il en est.
Le collectif de Carhaix, dit des “Bonnets Rouges”, n’est plus que l’ombre de lui-même. L’échec de la mobilisation autour des préfectures et sous-préfectures la semaine dernière a démontré l’énorme erreur commise par les éléments anti-nationalistes et anti-identitaires du collectif. Avec un nom qui revient : Jean-Pierre Le Mat.
Socialisme et antiracisme à tous les étages
Tout a commencé en novembre 2013 à Quimper. Et tout y a fini le même jour. Une seule chose expliquait l’échec à venir : les nombreuses bannières bretonnes et la masse impressionnante des bonnets rouges étaient couvertes par les chants de… Manu Chao, une épave droguée adepte d’un anarchisme folklorique nappé de tiers-mondisme et de promotion de l’immigration.
Qu’un rassemblement populaire composé, quoiqu’en dira ensuite la bande de Carhaix, d’électeurs de droite et d’extrême droite mais aussi d’abstentionnistes, soit formellement organisé comme un happening gauchiste signifiait la fin du mouvement. Ses premiers organisateurs n’étant que des cancres gauchistes, cela ne pouvait finir autrement. Les chiens ne font pas des chats.
Christian Troadec se paya le luxe de signifier à l’envi qu’il “combattait le Front National”, c’est-à-dire l’électorat anti-immigration qui vote de plus en plus pour cette organisation française. Au lendemain des élections européennes, si Troadec avait eu du succès dans les communes rurales du Finistère, il ne pouvait ignorer que le grand vainqueur était le FN, nouveau venu sur la scène politique bretonne. Et ceci sans militants ni organisation. Finis donc les mantras socialistes sur la “Bretagne ouverte sur le monde” et autres “Bretagne terre d’immigration”, sans parler des “Les Bretons ne sont pas racistes, ils ne votent pas FN”. Lire la suite