L’oligarque Marisol Touraine – assujettie à l’impôt sur la fortune – a été maintenue à son poste. Elle est la mère de plusieurs délinquants. L’un de ses fils avait été condamné pour extorsion de fonds ; un autre a fait parler de lui pour une affaire de vol de voiture et pour usage de drogues. Est-ce pour cela que d’importants moyens du ministère dit de la Santé (sic) sont consacrés au bien-être des drogués ?
Le gouvernement, depuis son officialisation en début de semaine, a passé la vitesse supérieure dans la déréglementation, dans les domaines économiques, sociétaux et moraux. Hier, nouvelle provocation, le ministère de la Santé a annoncé la mise en place de « salles de shoot » ces prochaines années sur l’ensemble du territoire au titre de « l’expérimentation ». Ce nouveau texte de loi prévoit qu’elles accueillent les « usagers de stupéfiants et d’autres substances psychoactives, majeurs, qui apportent et consomment sur place ces produits », le tout sous la surveillance de professionnels de santé qui seront donc contraints par le ministère d'aider des individus à se détruire.
Rien n’est prévu pour lutter contre la consommation de drogues : les professionnels de santé seront simplement tenus de « mettre en garde les usagers contre les pratiques à risques, à les accompagner et leur prodiguer des conseils [!]». Ces salles et ces médecins et infirmiers, seront financés avec l’argent du contribuable pour permettre aux drogués, comme les enfants de Marisol Touraine, de se défoncer en toute quiétude.
Marisol Touraine a obtenu que cette loi soit examinée en priorité : elle devrait être présentée en conseil des ministres dès septembre pour être soumise aux députés début 2015.
Les salles de shoot ont été dénoncées par l’Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS), une institution dépendant de l’ONU, comme, au niveau national, par l’Académie nationale de médecine.