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vendredi, 31 août 2018

La Ligue propose de taxer les transferts d’argent des immigrés extra-européens afin de financer des aides aux familles italiennes

Publié par Guy Jovelin le 31 août 2018

 

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

Italie – La Ligue du Nord entend bien utiliser sa participation au gouvernement pour défendre la famille “fondée sur le mariage entre un homme et une femme”, parce que c’est la seule qui “protège et garantit le rôle social de l’éducation des enfants” grâce aux “figures parentales du père et de la mère”. La Ligue a aussi l’intention de promouvoir la natalité. Parmi les projets défendus par la Ligue : écoles maternelles gratuites, aide à l’acquisition du premier logement de la famille, etc.

Et la Ligue met sa politique familiale en conformité avec sa politique visant à mettre fin à l’immigration : les aides aux familles proposées par la Ligue seront réservées “aux citoyens italiens ou d’autres pays membres de l’UE formant une famille”.

D’ailleurs, pour financer “une allocation de soin et de garde pour soutenir les familles dans les dépenses nécessaires comme la prise d’une babysitter”, la Ligue propose de taxer les transferts d’argent effectués par les immigrés extra-européens en instaurant “un droit de timbre sur les transferts d’argent effectués par les agences agréées vers l’étranger” et de prélever 3% sur le montant « transféré à chaque transaction individuelle ayant un montant minimum de 5 euros« .

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 19 janvier 2018

Hongrie : Viktor Orbán annonce vouloir taxer les ONG pro-migrants et utiliser cet argent pour renforcer la protection des frontières

Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2018

 

Hongrie – Le gouvernement hongrois a annoncé sa volonté d’introduire un ensemble de lois visant à taxer les ONG soutenant la migration illégale et à utiliser cet argent pour renforcer la protection des frontières.

Cette nouvelle étape fait suite aux bons résultats de la consultation nationale sur le plan Soros, sur laquelle 2,3 millions de citoyens hongrois ont donné leur point de vue, quasi-unanimement favorable au gouvernement dans sa lutte contre l’influence des réseaux de George Soros.

Voici la note publiée par le Bureau international de la communication du gouvernement hongrois :

« Le gouvernement hongrois s’oppose à l’immigration illégale par tous les moyens possibles. Nous devons renforcer la sécurité des citoyens. Notre objectif est que l’Europe continue d’être le meilleur endroit sur Terre pour vivre. Dans l’esprit de cette vision, le gouvernement a présenté un ensemble de projets de loi au Parlement.

Les dispositions les plus importantes sont les suivantes :

– Toute organisation qui soutient l’immigration illégale en utilisant des ressources financières étrangères sera enregistrée et obligée de rendre compte de son activité.

– Une taxe sera imposée sur le financement étranger des organisations soutenant l’immigration clandestine. Ce revenu public sera investi dans la protection des frontières.

 Il sera possible d’émettre des injonctions contre ceux qui participent à l’organisation de l’immigration clandestine. En substance, de telles injonctions s’appliqueront dans toute zone située à moins de 8 kilomètres de la frontière Schengen. Dans des cas spéciaux, un citoyen de pays tiers pourra être soumis à une injonction restrictive n’importe où en Hongrie. Cette mesure restera en vigueur jusqu’à la fin de la crise migratoire.

Les consultations nationales de l’année dernière ont montré l’opinion presque unanime des citoyens hongrois, légitimant ainsi le gouvernement pour agir en ce sens : 1,7 million de personnes ont pris part et exprimé leur avis lors d’une consultation nationale au printemps dernier, alors que 2,3 millions l’ont fait l’automne dernier. D’après les résultats, les Hongrois veulent que l’immigration clandestine soit traitée une fois pour toutes. Ils demandent une protection renforcée des frontières au lieu de la relocalisation de migrants. Le gouvernement est également soutenu par les 3,3 millions de personnes qui ont rejeté la réinstallation par quotas des immigrants illégaux lors d’un référendum national en octobre 2016. »

 

VisegradPost / Deutsche Welle via fdesouche

vendredi, 26 août 2016

Le gouvernement veut taxer la femme au foyer pour sa protection sociale !

Publié par Guy Jovelin le 26 août 2016

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Le gouvernement veut taxer la femme au foyer pour sa protection sociale !Ce n’est pas la première attaque – loin s’en faut ! – de ce gouvernement contre la famille, mais c’est en tout cas l’attaque aux répercutions financières la plus importante dirigée principalement vers les familles dont la femme a décidé de ne pas travailler pour s’occuper de ses enfants. Dorénavant, loin d’être récompensée ou du moins laissée tranquille, la famille va être taxée jusqu’à 8% des revenus non professionnels du foyer. Par exemple, une famille qui a un appartement en location devra payer 8% des revenus locatifs soit disant pour assurer la protection sociale de la mère !

C’est une nouvelle façon d’obliger les femmes à aller travailler : voici la conception de la liberté de la femme à la sauce maçonnique !

Le site contribuable.org l’explique très bien :

En toute discrétion, le gouvernement est en train de supprimer le statut d’ayant droit d’un assuré social pour le remplacer par celui de bénéficiaire de la « protection universelle maladie ».

Concrètement, cela signifie l’extension du principe de la CMU à tous ceux qui, jusqu’à présent, bénéficiait de la sécurité sociale en tant qu’ayant droit.

Ainsi, le conjoint qui ne travaille pas et était ayant droit sous le numéro de sécurité sociale de celui qui travaille, sera désormais affilié personnellement à la sécurité sociale, avec son propre numéro, au nom de ladite protection maladie universelle. Outre le fait qu’il s’agit là d’une étape supplémentaire vers l’explosion de la cellule familiale, l’inconvénient de la réforme est qu’elle s’accompagne bien entendu de la création d’une nouvelle cotisation…

En effet, alors que le conjoint ayant droit bénéficiait jusqu’à présent gratuitement de la sécurité sociale, il sera désormais soumis à une cotisation de 8 % s’il perçoit des revenus non professionnels (loyers, redevances, dividendes…) d’un montant supérieur à environ 9 650 € par an.

Ainsi, la femme au foyer qui touche des loyers au titre de ses biens propres, mais aussi au titre des biens de son mari s’ils sont sous un régime de communauté, paiera désormais une cotisation de 8 % sur la part des revenus qui excède 9 650 €, soi-disant pour financer sa sécurité sociale.

Ce qui est pour le moins injuste car, rappelons-le, ces mêmes revenus du patrimoine ont déjà subi 15,5 % de prélèvements sociaux précisément pour financer notre système de protection sociale !

Il s’agit donc, ni plus ni moins, que de la création d’une nouvelle cotisation de 8 % sans aucun droit supplémentaire et sans aucune contrepartie, qui vise avant tout les familles, spécialement celles qui ont choisi d’avoir des enfants et décidé pour cela de valoriser le rôle de la mère au foyer.

Et à n’en pas douter, cette barre de 9650 € sera abaissée au fur et à mesure, tandis que le taux de 8% augmentera petit à petit, le tout fonctionnant comme une mâchoire fiscale de destruction familiale invincible. Si aujourd’hui peu sont concernés, beaucoup le deviendront dans les années qui viennent. La bonne vieille technique du voleur chinois adaptée à la politique…

Pour le moment, une parade pour les mères de famille est de s’inscrire en tant qu’auto-entrepreneur pour réaliser une petite activité rémunérée à domicile et bénéficier ainsi de la protection sociale du RSI. Pour échapper à cet nouveau racket gouvernemental, il faut réaliser par cette activité un chiffre d’affaire de 10% du PASS, soit pour 2016 un CA de 3861 €.

 

Source : medias-presse.info