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jeudi, 21 février 2019

La nouvelle frontière transgressée par le lobby Lgbt, les « drag kids »

Publié par Guy Jovelin le 21 février 2019

Pour le lobby Lgbt, les « drag-queen », ces hommes travestis en femmes qui s’exhibent dans des spectacles vulgaires, et même dans des églises tel le travesti-transsexuel-transgenre Thomas Nuewirth, de son nom de scène Conchita Wurst dans la cathédrale de Vienne du cardinal Schönborn, n’étaient pas suffisants. La nouvelle frontière transgressée sont les « drag kids », ces enfants transformés en phénomène de cirque, exhibés travestis en femmes dans des bar gay et dans des contextes hallucinants.

Une vraie violence psychologique infligée à des enfants par des parents consentants. Le plus fameux d’entre ces « drags kids » est un certain Desmond Naples, sur scèneDesmond is Amazing : un enfant de 10 ans qui depuis l’âge de 7 ans est exhibé dans des bars gays, « le futur de l’Amérique » selon le chanteur drag queen RuPaul !

Dès 9ans, il déclara son homosexualité à ses parents, et son désir de s’habiller en femme. Pour comprendre la sexualisation précoce de cet enfant, il faut savoir qu’en décembre de l’an dernier, travesti en femme de manière explicitement sexuelle, il a dansé dans un local gay de Brooklyn pendant que des hommes adultes lui jetaient des dollars. Un des présents commenta par la suite :

« Je suis parti après avoir vu un enfant dansé sur la scène pendant qu’on lui jetait de l’argent. C’était samedi soir et cela m’a profondément dérangé. »

Une autre célébrité « drag kid » est le canadien Nemis Quinn, lui-aussi âgé de 10 ans, et connu sous le nom de Queen Lactatia. Nemis a déclaré :

« Je pense que quiconque peut faire ce qu’il veut dans la vie. Cela n’a pas d’importance ce que pensent les autres… Si tu veux être un drag queen et que tes parents ne le veulent pas, il te faut de nouveaux parents. »

Ainsi comme tu peux changer de sexe si cela te dérange d’être un garçon ou ne fille, maintenant tu peux changer de maman et papa si ces derniers te dérangent… Nous vivons vraiment une époque renversante !

Le phénomène « drag kids » représente une instrumentalisation de la vulnérabilité et fragilité des enfants par le lobby des invertis, en créant un inquiétant business qui esten train de dédouaner des conduites pédophiles. Ces enfants travestis sont des victimes du lobby Lgbt, sacrifiés et devenus des pions totalement asservis au genderdiktat !

« Nous sommes en train d’assister à l’embrassade entre la communauté Lgbt+ et les violences sur mineurs, qui cultive la maladie mentale en promouvant le « drag » dans l’enfant. Pas besoin d’être un ingénieur en balistique pour savoir que tout cela portera au jeu sexuel »

déclaré une ancienne victime d’abus sexuel dans l’enfance.

« Nous voyons aujourd’hui, vraiment sous nos yeux, un déclin moral comme jamais auparavant, une mentalité démentielle qui appelle le mal bien et le bien mal. »

Les paroles évangéliques résonnent claires et terribles :

« Mais celui qui scandalisera un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on lui attachât au cou la meule qu’un âne tourne, et qu’on le précipitât au fond de la mer. » (St Matthieu, 18, 6).

Francesca de Villasmundo

Source : medias-presse.info

jeudi, 28 janvier 2016

DES TRAVESTIS DANS LES COMPÉTITIONS FÉMININES DES PROCHAINS JEUX OLYMPIQUES

Publié par Guy Jovelin le 28 janvier 2016

Résultat de recherche d'images pour "rio 2016"Selon les nouvelles normes adoptées par le Comité international olympique (CIO), les athlètes « transgenres » devraient avoir le droit de participer aux Jeux olympiques et aux autres compétitions internationales sans avoir subi un changement de sexe chirurgical, ce qui équivaut à ouvrir les compétitions féminines aux travestis.

En entrevue avec l’Associated Press dimanche, le directeur médical du CIO a déclaré que la politique avait été changée afin qu’elle reflète l’évolution[ndlr : plutôt la révolution] des mentalités sur le plan scientifique, social et légal concernant cette question.

Ces normes ne sont pas des règles, mais bien des recommandations que pourront suivre ou non les fédérations sportives et les autres organisations. Elles devraient déjà s’appliquer aux Jeux Olympiques de Rio de Janeiro cette année 2016.

Selon les anciennes normes du CIO adoptées en 2003, les athlètes effectuant la transition d’homme à femme ou vice-versa devaient changer chirurgicalement de sexe après avoir suivi deux ans de thérapie hormonale pour obtenir le droit de prendre part aux compétitions. Maintenant, l’opération n’est plus requise.

Les athlètes passant de femme à homme pourront participer aux épreuves masculines sans restriction alors que ceux qui font la transition d’homme à femme devront prouver que leur taux de testostérone est en dessous d’un certain seuil depuis au moins un an avant leur première compétition.

Rien n’est encore prévu pour les athlètes « intersexes » et autres « agender » imaginés par la théorie du genre.

 

Source : http://www.medias-presse.info/