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jeudi, 12 mars 2015

Un homosexuel a un enfant avec sa mère : au secours ! Ils sont devenus fous ! (par Yannik Chauvin)

 Publié par Johanna

Et voilà ! Le foutoir commence ! Et il n’est pas près de s’arrêter ! Ça se passe en Angleterre, mais, comme la pop music ou le gigot bouilli, ça va traverser le Channel à toute allure.

En Albion, un homosexuel de 27 ans – appelons-le Kyle – voulait un enfant. Il estime y avoir droit, vous savez, ce nouveau droit à la mode qui met le bébé à égalité avec la Porsche, la Rolex ou le ticket gagnant de Loto. Une seule solution, la GPA. Il trouve un ovule disponible, le fait féconder in vitro et se met à la recherche d’un ventre accueillant. Pas simple, et lui n’en pouvait plus d’attendre : « Etre père était une priorité dans ma vie ! » Alors il a demandé à sa mère. Oui ! Oui : La femme porteuse n’est autre que la mère du jeune homme – appelons-la Anne. Vous avez bien lu. Anne a prêté son utérus à son fils, juste le temps nécessaire, et a mis au monde un bébé. Aujourd’hui, l’enfant – appelons-le Peter – a huit mois.

Résumons la situation. Anne est la mère de Kyle, donc la grand-mère de Peter, le fils de Kyle. Anne est également la mère de Peter puisqu’elle en a accouché : donc, elle est à la fois sa mère et sa grand-mère. Anne et Kyle, mère et père du même enfant, ont forcément des liens collatéraux comme en ont une femme et son mari. Dans cette histoire, on flirte avec l’aventure d’Œdipe, sauf que Jocaste, elle, s’est suicidée. À ce train-là, il ne faudra pas bien longtemps pour reléguer l’inceste au magasin des vieilleries.

« J’ai un fils et je suis heureux. Tant que l’on peut assurer un toit, je ne vois pas pourquoi on nierait le droit à certains d’être parents » a déclaré le papa émerveillé. Il a tout compris, Kyle : assumer un enfant, c’est lui donner un toit. Un point, c’est tout. On sent, là, tout le poids de la responsabilité, une certaine forme de renoncement à soi pour se dévouer à l’autre, un devoir d’élever – au sens propre du terme signifiant “l’amener le plus haut possible” – un enfant pour en faire un homme, une tâche de toutes les minutes pendant quinze à vingt ans, et même au-delà, avec ses joies et ses peines.

Anne, de son côté, s’étonne que l’on s’étonne : « Peter n’est pas lié à moi biologiquement autrement que par le fait que ce soit mon petit-fils. » Par décence, je préfère ne pas commenter…

On va bien trouver quelqu’un pour nous raconter que tout cela se fait « pour le bien de l’enfant ».

On vient tout juste de célébrer la journée du droit des femmes. J’aurais aimé que les féministes choisissent de mettre Anne en porte-drapeau. À force d’à force, on court tête baissée dans ce genre d’ineptie, d’absurdité, de reniement. Il y a, dans cette misérable histoire vraie, tous les ingrédients d’une décomposition express de la société. Et ça pue !

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