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jeudi, 20 février 2014

L’homme qui vomissait sur le drapeau français, Jean Zay, entrera au Panthéon

François Hollande annoncera vendredi, dans un discours au Mont Valérien en hommage à la « résistance », les noms des prochains « panthéonisés ». Plusieurs médias ont annoncé que quatre noms ont été choisis. Des choix très politiques : tous ont été engagés politiquement, à gauche ou à l’extrême-gauche, ou dans de très autopromotionnels engagements « humanitaires ». Toutes sont liés à la « résistance ».


Le premier est Pierre Brossolette, militant d’extrême-gauche, franc-maçon, mais aussi cadre de la LICA, l’ancêtre de l’une des plus importantes associations de l’anti-France, la LICRA, quand l’association ne se cachait pas d’être un organe de combat des seuls Juifs. François Hollande a ensuite choisi Germaine Tillion et Geneviève De Gaulle, deux autres « figures » de la « résistance » non-patriote.

Le dernier est l’ignoble ministre de l’Éducation nationale sous la IIIe République, Jean Zay. L’entrée au Panthéon de cet homme qui haïssait la France est une vieille revendication de la secte maçonnique. Le Grand Orient de France (GODF) a multiplié ces dernières années les actions pour imposer cette pourriture au Panthéon. En 2007, le GODF avait publié une plaquette consacrée à ce sujet.

Récemment encore une loge juive exigeait que François Hollande cède. Cela n’a pas été long.

Cet homme, qui déshonore par son nom de nombreux établissements scolaires en France, fut un ministre particulièrement haineux contre les valeurs patriotiques et traditionnelles. Il est resté toute sa vie fidèle à la haine de la France et des Français qu’il exprimait dans un « poème » dont il faut rappeler la teneur.

Il s’intitule Le Drapeau. Il traite du drapeau français. Pour Jean Zay, le drapeau national français est décrit comme « cette saloperie-là », « cette saloperie tricolore », « cette loque », « cette immonde petite guenille », « cet ignoble symbole » « de la race vile des torche-culs ». Un drapeau que cette vermine avouait haïr « férocement » : « Oui, je te hais dans l’âme, je te hais pour toutes les misères que tu représentes […] Je hais tes sales couleurs, le rouge de leur sang, le sang bleu que tu voles au ciel le blanc livide de tes remords. »

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