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vendredi, 04 mai 2018

France: Une musulmane veut interdire le drapeau corse « Nous avons demandé de l’aide à une association pour élaborer une pétition. »

Publié par Guy Jovelin le 04 mai 2018

 

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 Bien entendu, pour cette femme les invasions musulmanes et leurs massacres sur territoires européens ne sont aucunement un problème. Au contraire, le fait de s'opposer aux musulmans lui est visiblement insupportable puisque ce drapeau symbolise la résistance des Corses aux Maures musulmans.

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"Je viens d'apprendre avec horreur que sur le drapeau Corse c'est une tête de Maure. Autrement dit un arabe décapité ! Comment peut on laisser à un département Français une horreur pareil comme symbole ?

Je ne répondrais pas au flot d'insultes que je reçois. Sachez que dès ce matin, nous avons commencé avec l'aide de notre asso à élaborer une pétition visant à faire interdire ce drapeau qui est insultant, raciste et violent. Je vous tiendrais informé. Arrêtez d'insulter merci."

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A noter que cette même musulmane prétend que dénoncer les appels au meurtre du coran est... de l'islamophobie (voir image plus bas). En clair s'opposer à la christianophobie et à l'antisémitisme est interdit. Et cette femme se présente en "défenseuse (sic) des droits de l'Homme"...

Ne vous inquiétez pas, Samira a pu bénéficier de tous les avantages possibles des kouffars en France, pays qu'elle remercie à sa manière en militant exclusivement contre les racines chrétiennes.

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Source Twitter via lesobservateurs

vendredi, 15 septembre 2017

Moissac (82) : Le collège privé remet l’uniforme et le lever du drapeau au goût du jour

Publié par Guy Jovelin le 15 septembre 2017

 
 

En cette rentrée, les nouveautés sont nombreuses au collège privé Jeanne-d’Arc de Moissac. Première d’entre elles : l’uniforme. Un sweat à capuche, un pull et un polo bleu marine sur lequel est inscrite la devise de l’école (« Par-dessus tout, la charité ») constituent la nouvelle tenue de tous les élèves. Une décision mûrement réfléchie et discutée au cours de nombreuses réunions, indique le directeur de l’établissement Marc Ternisien. « Il s’agissait d’une demande répétée de nombreux parents. Les élèves ont été consultés l’an dernier et sont globalement contents. »

(…) Enfin, depuis cette rentrée, des « préfets » sont désignés dans chaque classe. Ils sont chargés de faire le lien entre les adultes et les élèves. Des délégués pour tout ce qui concerne la théologie constituent aussi une nouveauté. L’objectif de ces initiatives est de créer un sentiment de fierté et d’appartenance. « À l’école, on apprend les croisades et la colonisation, mais on voit assez peu les réalisations nationales, or, il y a aussi de très jolies choses sans sombrer dans l’angélisme, explique Marc Ternisien. Notre idée est de faire aimer la nation. » L’homme ne craint pas la récupération par certains mouvements : « C’est le drapeau de tous les Français, pas celui d’un mouvement. Cela permet de laisser moins de champs à ceux qui essayent d’en faire une exclusivité politique. »


La Dépêche

mercredi, 24 juin 2015

TOUCHE PAS A MON DRAPEAU !

 Publié par Guy Jovelin

 

z56193.jpgLe bloc notes

de Jean-Claude Rolinat

Certains esprits simplistes ou simplement désinformés, manifestent à Columbia, la capitale de la Caroline du Sud, pour demander que le glorieux  « battle Southern flag » soit amené. Ce drapeau des armées confédérées fut choisi  plutôt que le Stars and bars, l’étendard officiel de la CSA , Confederate States Army, qui ressemblait trop au Stars and stripes des USA, United States of America,  pour se différencier nettement des emblèmes ennemis. Cet héroïque pavillon des armées confédérées, rappelons-le, n’est pas le symbole d’une quelconque suprématie de  blancs mentalement attardés comme ce jeune Dylan Roof, un détraqué de 20 ans qui a froidement abattu dans une église de Charleston 9 personnes de couleur, mais une bannière militaire sous les plis de laquelle des milliers et des milliers de « ventres gris » sont morts au feu. Elle est sacrée comme l’est notre tricolore qui flotte le 11 novembre sur tous nos monuments aux morts. Ses treize étoiles disposées en diagonale – croix de Saint-André – sur fond bleu et rouge, représentent les 11 Etats confédérés de la guerre de sécession (1861-1865), plus le Missouri, non admis officiellement par le Congrès de Richmond, et les nations indiennes du Trans-Mississippi department, les Cherokees, les Choctaws, les Chickasawas, les Creeks et autres Séminoles. Ils savaient ces indiens, ce que les yankees leur feraient subir….

Il s’est même trouvé un journaliste ignare pour parler sur une chaine d’infos en continu de « drapeau esclavagiste », alors que l’on sait que la plupart des soldats confédérés n’avaient pas d’esclaves sur leurs propriétés et que ces derniers, dans leur immense majorité, n’ont pas déserté les plantations alors que leurs maîtres étaient au front. D’ailleurs, le général Robert Lee lui-même, prestigieux commandant en chef de l’Armée de Virginie, était décidé à affranchir tous les siens.

Retirer officiellement cet emblème alors qu’il figure sur de nombreux objets usuels, qu’il enjolive les plaques automobiles, qu’il flotte en fanion accroché  à certains pick-up ou à côté des tombes des patriotes sudistes serait, n’ayons pas peur des mots, une profanation ! Imagine-ton d’écarter le drapeau tricolore frappé de la Croix de Lorraine si  un ancien de la 2 ème DB – il aurait de la bouteille ! – tuait neuf touristes allemands, ce qu’à Dieu ne plaise,  ou encore arracher les Croix noires des cimetières militaires Teutons et Germains au prétexte qu’elle ressemblerait trop à la Croix de Fer hitlérienne ? Laissons à l’histoire, la grande, ses drapeaux qui symbolisent le courage et la vaillance d’une petite nation morte au mois d’avril 1865 à Appomattox, charmant hameau tout blanc dans la verte campagne de Virginie.

Jean-Claude ROLINAT est membre de la Société Française de Vexillologie (SFV)

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2015/06/23/touche-pas-a-mon-drapeau-5644601.html

 

lundi, 01 juin 2015

Le drapeau du Parti de la France.

Publié par Guy Jovelin

« Au clocher nous mettrons. Claquant dans le vent notre fanion ! »
Merci à Charles Wolf
https://wolfapocalypse.files.wordpress.com/2015/05/pdf.gif

 
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jeudi, 20 février 2014

L’homme qui vomissait sur le drapeau français, Jean Zay, entrera au Panthéon

François Hollande annoncera vendredi, dans un discours au Mont Valérien en hommage à la « résistance », les noms des prochains « panthéonisés ». Plusieurs médias ont annoncé que quatre noms ont été choisis. Des choix très politiques : tous ont été engagés politiquement, à gauche ou à l’extrême-gauche, ou dans de très autopromotionnels engagements « humanitaires ». Toutes sont liés à la « résistance ».


Le premier est Pierre Brossolette, militant d’extrême-gauche, franc-maçon, mais aussi cadre de la LICA, l’ancêtre de l’une des plus importantes associations de l’anti-France, la LICRA, quand l’association ne se cachait pas d’être un organe de combat des seuls Juifs. François Hollande a ensuite choisi Germaine Tillion et Geneviève De Gaulle, deux autres « figures » de la « résistance » non-patriote.

Le dernier est l’ignoble ministre de l’Éducation nationale sous la IIIe République, Jean Zay. L’entrée au Panthéon de cet homme qui haïssait la France est une vieille revendication de la secte maçonnique. Le Grand Orient de France (GODF) a multiplié ces dernières années les actions pour imposer cette pourriture au Panthéon. En 2007, le GODF avait publié une plaquette consacrée à ce sujet.

Récemment encore une loge juive exigeait que François Hollande cède. Cela n’a pas été long.

Cet homme, qui déshonore par son nom de nombreux établissements scolaires en France, fut un ministre particulièrement haineux contre les valeurs patriotiques et traditionnelles. Il est resté toute sa vie fidèle à la haine de la France et des Français qu’il exprimait dans un « poème » dont il faut rappeler la teneur.

Il s’intitule Le Drapeau. Il traite du drapeau français. Pour Jean Zay, le drapeau national français est décrit comme « cette saloperie-là », « cette saloperie tricolore », « cette loque », « cette immonde petite guenille », « cet ignoble symbole » « de la race vile des torche-culs ». Un drapeau que cette vermine avouait haïr « férocement » : « Oui, je te hais dans l’âme, je te hais pour toutes les misères que tu représentes […] Je hais tes sales couleurs, le rouge de leur sang, le sang bleu que tu voles au ciel le blanc livide de tes remords. »

Source